Effectivement, c'est une bonne question.
J'avais déniché cette proposition étonnante
si vous lisez l'anglais (
http://superluminalquantum.org/STAIF-2007article.pdf)
En français, d'après ce que j'ai compris, cette proposition consiste à imaginer l'électron comme le lieu de la trajectoire d'une charge ponctuelle qui tourne en boucle.
Il me semblait avoir constaté que cette trajectoire proposée se fait sur un tore croisé (qui n'a pas de problème a être peigné, d'ailleurs). Mais peut-être me trompé-je.
Sinon, à part la charge, qu'est-ce que cela pourrait-être ?
La masse ? Des ondes de matières ? Mais qu'est-ce que la masse, est-elle toujours l'inertie ?
Pas clair.
Qu'y a-t-il d'autre. Une charge magnétique ?
Je sais que pour vous la charge magnétique n'a pas bonne presse.
On peut également imaginer que l'électron soit une goutte de
plasma plongé dans un éther. Sa charge électrique est légèrement inférieure à celle de l'éther environnant, d'où qu'il s'y forme une cellule de plasma. Comme il est sans cesse perturbé par le milieu environnant, la cellule de plasma de l'électron vibre à une
fréquence de Langmuir.
Ou alors reprenons l'idée de rotation harmonique de Leibniz : le système solaire est animé d'un mouvement d'ensemble. Tout le système solaire est entrainé dans une action circulaire (selon les lois de Kepler plutôt elliptique) disons Ether+Matière comme l'a retrouvé Maurice Allais. Prenons l'idée que l'éther n'est rien d'autre que le plasma interplanétaire, donc potentiellement conducteur de courant.
L'héliosphère du système solaire n'est qu'une grande cellule de plasma, animé d'un mouvement mécanique de rotation. Supposons que la densité électronique rapporté à la quantité de matière qui s'y trouve doivent être constante (rapport optimal entre masse/charge : disons le noyau du Fer) en chaque lieu.
Imaginons un lieu qui, à l'instant t, ne suive pas l'action uniforme circulaire de ses voisins (perturbation mécanique au système solaire), il a une action antagoniste.
En un point d'application, il subit l'inertie de l'ensemble (masse).
Imaginons un lieu qui, à l'instant t, ne soit pas dans le rapport (masse / charge) de ses voisins (perturbation électrique interne). Il s'y forme une cellule de plasma de densité particulière, entourée par une double-couche. L'espace étant faiblement conducteur, cette structure est assez stable. Mais elle continuellement perturbée et vibre.
Bon je m'éparpille....
Je ne sais pas, il me semble que Broglie à beaucoup recherché cela (la thermodynamique cachée), mais comme l'interprétation devait n'être que statistique, cela l'a quelque peu mis au banc des scientifiques internationaux. Je ne sais pas ce qui vibre, ni pourquoi ça vibre.