Et tout ça parce qu'il ne maîtrise pas les bases de la physique ondulatoire...
Toutes ces attaques à la personne, ces insultes, ces ironies lourdingues, parce que sa compétence est carencée en physique ondulatoire, et qu'il ne sait pas ce que c'est qu'une onde stationnaire !
A quoi tiennent les empoignades sur Usenet !
Il s'agit du FG que vous suivrez plus loin :
Bonjour,
J'ai du mal à comprendre la notion de polarisation verticale ou horizontale
de la lumière. Si une lumière est polarisée verticalement et que je tourne
la source de 90 degrés, ne deviendra t-elle pas polarisée horizontalement ?
Si c'est le cas, la nature "verticale" ou "horizontale" de la polarisation
n'est pas une propriété intrinsèque de la lumière elle-même mais une
propriété de l'ensemble d'une expérience.
D'autre part, quand on parle de polarisation parallele ou perpendiculaire,
est-ce encore la même chose que verticale ou horizontale ?
Merci
Fredo
Ce sont en effet des formulations très étranges, et lourdement
illogiques.
"Vertical", "horizontal" se réfèrent à la direction de la gravité
locale, proche de la surface d'un astre, ici la Terre.
Or la lumière n'en a pas grand chose à cirer, de la gravité. Elle peut
nous parvenir de quasars lointains, en ayant été légèrement déviée par
des astres lourds près desquels elle est passée, qui n'ont eu aucune
influence sur sa polarisation.
Là, cette formulation paresseuse amalgame tout : l'objet physique et les
habitudes du professeur, inféodé à la surface de la Terre.
Sauf en champ très proche de l'émetteur ou de l'absorbeur, la lumière
n'est polarisée en champ électrique que perpendiculairement à sa
direction de propagation. Les champs très proches ne sont abordables
expérimentalement que dans le domaine des ondes radio, fort loin des
fréquences luminiques.
Si la lumière est polarisée plane, on connaît des milieux condensés,
notamment des cristaux organiques, qui en font tourner le plan de
polarisation.
C'est aussi l'effet Faraday, par un milieu magnétisé.
Tu as raison de parler de propriétés de l'ensemble de l'expérience.
En effet, la lumière n'existe pas en soi, mais est toujours une
population de transactions abouties entre des populations d'émetteurs et
des populations de récepteurs. Les concepts enseignés ont pris un retard
énorme en ne considérant que les seuls émetteurs, et en imaginant une
artillerie depuis les émetteurs-tous-seuls-sans-l'aide-de-personne, car
les récepteurs potentiels sont incomparablement plus nombreux et
équivalents entre eux, que les émetteurs. Sauf bien sûr les miroirs et
les interféromètres, par exemple les deux miroirs d'une cavité laser.
Voilà les conditions expérimentales qui pulvérisent les idéations
d'artillerie corpusculaire depuis les émetteurs-tous-seuls-sans-
l'aide-de-personne.
Pour chaque transaction, émetteur et récepteur doivent être alignés en
fréquence, en phase, en polarisation, et en direction de polarisation.
Ce qui par principe échappe à nos possibilités d'expérimentation, alors
que c'est une contrainte théorique incontournable.
Enfin, tu dois savoir que si la polarisation plane est la mieux connue
avec des moyens expérimentaux accessibles depuis un matériel de lycée,
statistiquement environ la moitié des transactions - autrement dit
"photons" - sont à polarisation hélicoïdale, droite ou gauche, et non
pas plane.
"Jacques_Lavau" <NolavauSpamjac@klub-1ternaite.efferre> a écrit dans le
message de news: 49fcb857$0$292$7a628cd7@news.club-internet.fr...
...
| En effet, la lumière n'existe pas en soi, mais est toujours une
| population de transactions abouties entre des populations d'émetteurs
et
| des populations de récepteurs.
Pas forcément. On sait détecter "au vol" un photon, capturé dans une
cavité. Il n'y a ni émission ni absorption.
Votre mission, si vous l'acceptez, consiste à démontrer vos affirmations.
| Votre mission, si vous l'acceptez, consiste à démontrer vos
affirmations.
http://physicsworld.com/cws/article/news/27320
"Physicists watch the "birth, life and death of a photon"
Physicists in France are the first to watch single photons appear
spontaneously, live a brief life, and then vanish into thin air. The
experiment is the best realization so far of "quantum non-demolition"
(QND) measurements on single photons, whereby the presence of a photon
is determined without destroying it. As well as providing an elegant
demonstration of quantum mechanics, the researchers also believe that
the technique could be exploited in quantum information systems (Nature
446 297).
Detecting a photon usually involves absorbing the photon - and
ultimately destroying it - in a photodetector. However, it is sometimes
possible to make a measurement in a much gentler manner, leaving the
system in more or less the same state as was measured. Such QND
measurements have become commonplace for large systems like atoms -
which can be probed gently using photons. But photons are much more
delicate than atoms, which makes QND very difficult.
Microwave cavity
Now, Michel Brune and colleagues at the Ecole Normal Supériore in Paris
have turned the table and used atoms to make a QND measurement of the
quantum state of a system containing one photon. Brune's system is a
microwave cavity that has been cooled to 0.8K. At this temperature,
there is about a 5% chance that the cavity will be devoid of microwave
photons and a 50% chance that the cavity will contain just one photon
(that has spontaneously appeared from the vacuum, only to vanish less
than one second later).
The presence of a photon is detected by passing a stream of rubidium
atoms though the cavity. These are so-called Rydberg atoms, which have
an electron in a highly excited state and are very sensitive to external
perturbations, such as electric fields. The atoms are prepared such that
they can exist in one of two quantum states ("g" and "e"). If the atoms
cross an empty microwave cavity, most of them will emerge in state g,
whereas if they encounter a photon the majority will emerge in state e.
The atoms are flipped between g and e by a non-resonant interaction with
the cavity field. The photon cannot be absorbed without violating energy
conservation, and instead it leaves its "imprint" on the atom by
displacing the position of the atomic energy levels. A high resolution
spectroscopy method is used to determine the state of the atoms as they
emerge from the cavity. In this way, Brune and colleagues were able to
make hundreds of such measurements on a single photon without destroying
it.
By measuring the state of the emerging atoms, Brune and colleagues were
able to watch as a single photon emerged from the vacuum, lived a brief
life of less than one second, and then vanished. While this phenomenon
was predicted nearly one hundred years ago, this is the first time that
it has been observed directly."
Oui, on avait déjà cité et critiqué cet article ici.
http://deontologic.org/deonto-famille/citoyens/debattre/index.php?topic=356.0Que tu l'aies recopié prouve que ton opinion n'est pas isolée, mais ne
prouve pas sa véracité.
Tu n'as pas prouvé l'absence d'émetteur ni l'absence d'absorbeur final
ni l'absence d'émission ni l'absence d'absorption. Tu as seulement
prouvé qu'ils n'ont pas été clairement identifiés par l'auteur de
l'article, qui de surcroît était culturellement bien dressé à ne pas les
chercher.
Ce lien est suffisant pour que tout esprit de bonne foi admette que
l'assertion "la lumière n'existe pas en soi, mais est toujours une
population de transactions abouties entre des populations d'émetteurs"
n'est pas fondée.
C'est à toi qui l'affirme de le démontrer. La charge de la preuve
t'incombe. Moi j'en ai déjà bien trop fait en apportant ces éléments,
puisque j'aurais pu me limiter à la méthode d'Euclide : ce qui est
affirmé ans preuve peut être nié sans preuve.
> Ce lien est suffisant pour que tout esprit de bonne foi admette que l'assertion "la lumière n'existe pas en soi, mais est toujours une population de transactions abouties entre des populations d'émetteurs" n'est pas fondée.
La citation est tronquée, de façon à être rendue absurde.
Ce procédé est indigne.
> C'est à toi qui l'affirme de le démontrer. La charge de la preuve t'incombe. Moi j'en ai déjà bien trop fait en apportant ces éléments, puisque j'aurais pu me limiter à la méthode d'Euclide : ce qui est affirmé ans preuve peut être nié sans preuve.
Je te rappelle à nouveau que cet article a déjà été discuté ici voici deux
ans. On a déjà discuté ici sa confusion entre les faits et
l'interprétation majoritaire des faits, grossièrement corpusculiste.
Des interprétations majoritaires véhiculées par l'enseignement, prouvées
erronées par la suite, il y a en a déjà eu des palanquées connues de
l'histoire des sciences, et surtout de l'histoire des croyances
préscientifiques. Ça pourrait te rendre prudent, mais visiblement ça ne
suffit pas pour toi.
La loi américaine permet un harcèlement judiciaire par les
contrefacteurs américains d'un brevet d'origine non-américaine : obliger
le détenteur du brevet à redémontrer la vailidité de son brevet tour à
tour devant chacune des juridictions des 48 états.
Tu es en train de me refaire le même coup : puisque tu n'as rien suivi,
tu prétends m'obliger à recommencer une leçon particulière pour toi.
Non, je ne recommencerai rien du tout. Mes articles ont été écrits, ils
sont publiés, j'ai fait mon devoir. Tu te démerdes avec ce qui est déjà
publié.
La discussion est libre et publique.
Ta rhétorique en "suiviste donc de bonne foi, pas suiviste donc de mauvaise foi" est répugnante, de très mauvaise foi.
Autrefois, nous avions sur ce ng Bernard Chaverondier et Didier Lauwaert qui étaient simultanément physiciens, curieux et approfondisseurs.
Ils n'y sont plus, le niveau a baissé très nettement.
| Je te rappelle à nouveau que cet article a déjà été discuté ici voici
deux
| ans. On a déjà discuté ici sa confusion entre les faits et
| l'interprétation majoritaire des faits, grossièrement corpusculiste.
Ce n'est pas ce que j'en ai retenu.
| Des interprétations majoritaires véhiculées par l'enseignement,
prouvées
| erronées par la suite, il y a en a déjà eu des palanquées connues de
| l'histoire des sciences, et surtout de l'histoire des croyances
| préscientifiques. Ça pourrait te rendre prudent, mais visiblement ça
ne
| suffit pas pour toi.
"Ceci peut être une erreur, parce qu'il y en a aussi eu dans le passé"
:-)
Raisonnement fallacieux de ta part. Sortir une banalité ne peut ni
infirmer ni confirmer un cas particulier.
| La loi américaine permet un harcèlement judiciaire par les
| contrefacteurs américains d'un brevet d'origine non-américaine :
obliger
| le détenteur du brevet à redémontrer la vailidité de son brevet tout à
| tour devant chacune des juridictions des 48 états.
|
| Tu es en train de me refaire le même coup : puisque tu n'as rien
suivi,
| tu prétends m'obliger à recommencer une leçon particulière pour toi.
| Non, je ne recommencerai rien du tout. Mes articles ont été écrits,
ils
| sont publiés, j'ai fait mon devoir. Tu te démerdes avec ce qui est
déjà
| publié.
|
| La discussion est libre et publique.
|
| Ta rhétorique en "suiviste donc de bonne foi, pas suiviste donc de
| mauvaise foi" est répugnante, de très mauvaise foi.
blabla.
Et sur la lumière ?
Rien !
Tenter de dénigrer son interlocuteur ou ses méthodes est le symptome
classique de celui qui n'a pas d'argument à lui opposer.
> Tenter de dénigrer son interlocuteur ou ses méthodes est le symptome classique de celui qui n'a pas d'argument à lui opposer.
Je te rappelle à nouveau que nous sommes dix ans après mon article de
1999, et vingt-trois ans après les principaux articles de John Cramer.
J'ai connu leur existence et je l'ai détaillée sur ce ng en août 2003,
voici donc presque six ans.
Depuis, j'ai amplement d'autres chats à fouetter que de recommencer
indéfiniment des leçons particulières pour les retardataires, et la vie
humaine est limitée.
Je remarque régulièrement que les moins armés pour donner des leçons
sont toujours les plus hargneux à vouloir en donner.
Il faudrait accorder du crédit à J Lavau, mais pas à Sébastien Gleyzes,
ni à Stefan Kuhr, ni à Christine Guerlin, ni à Julien Bernu, ni à Samuel
Deléglise, ni à Ulrich Busk Hoff, ni à Michel Brune, ni à Jean-Michel
Raimond, ni à Serge Haroche, physiciens de haut niveau qui ont publié
dans Nature.
Désolé, Lavau, mais je prends des leçons que chez ceux qui ont fait
leurs preuves.
Bin oui, pas grave, quoi, juste 81 ans de retard, et demi. C'est ça faire ses preuves !
Rappel de deux pièces à conviction, et l'un de leurs auteurs est Nobel :
et on en a bien d'autres au sottisier de la quantique.
> Je remarque régulièrement que les moins armés pour donner des leçons sont toujours les plus hargneux à vouloir en donner.
>
> Il faudrait accorder du crédit à J Lavau, mais pas à Sébastien Gleyzes, ni à Stefan Kuhr, ni à Christine Guerlin, ni à Julien Bernu, ni à Samuel Deléglise, ni à Ulrich Busk Hoff, ni à Michel Brune, ni à Jean-Michel Raimond, ni à Serge Haroche, physiciens de haut niveau qui ont publié dans Nature.
>
> Désolé, Lavau, mais je prends des leçons que chez ceux qui ont fait leurs preuves.
Bin oui quoi à la fin ! Aristote et la bible, voilà des auteurs autrement plus prestigieux qu'un obscur ingénieur du génie maritime qui construit des lunettes d'approche et ose les braquer vers le ciel !
Rappel : en deux ans personne n'a jamais, jamais relevé un seul des défis rassemblés à
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/disputatio/viewtopic.php?id=48
ou
http://deontologic.org/deonto-famille/citoyens/debattre/index.php?topic=48.msg713#msg713
ou
http://deonto-ethics.org/quantic/index.php?title=Microphysique_:_ondulatoire_ou_poltergeist_%3F
originellement paru le 15 juin 2007 sur le site des fanatiques du Québec
déguisés en sceptiques :
http://www.sceptiques.qc.ca/forum/viewtopic.php?f=14&t=4089.
Jamais, jamais, jamais personne.
Rappel aussi du sottisier des prestigieux Nobel :
http://deontologic.org/deonto-famille/citoyens/debattre/index.php?topic=887.0
Ah que c'est dur d'être un génie incompris !
Je compatis...
:-)
..
| On ignore à qui tu compatis, et je n'en ai rien à branler.
Je compatis aussi pour ça.
| Tu ne te conduis pas comme une personne digne d'estime.
| Ni même comme un scientifique.
http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Projection
Le jour où tu répondras autrement que par un argumentum ad nauseam aux
objections que les articles de Nature permettent d'opposer à tes
croyances, tu pourras parler de dignité et de science.
Ajoute donc encore d'autres insultes, puisque tu es infoutu de traiter
un problème de sciences, tu vas sûrement m'impressionner. Tu viens de me
traiter de croyant et de génie méconnu, c'est fou ce que tu
m'impressionnes. Tiens, je viens de les ajouter au florilège.
Avant toi, d'autres faibles d'esprit m'ont déjà traité de :
"les intellectuels, les pseudo-intellectuels, les crânes d’œufs incapables de la moindre réalisation concrète, les racistes-pur-blanc, les fonctionnaires, les scientistes étrangers à tout ce qui est humain, les savants-qui-ont-un-ordinateur-à-la-place-du-cœur, les technocrates, les misogynes, les pères absents", les « masculinistes-phallocrates-macho-dominants-dégénérés-fachos-revanchards » (celles là sont de chez Michèle Dayras), les violeurs, les batteurs de femmes, les batteurs d’enfants, les buveurs, les voleurs, les maquereaux, les fous, les simulateurs de la folie, les assassins, les incestueux, les négationnistes, les fascistes, les communistes, les gauchistes, les bourgeois, les exploiteurs du peuple, les alliés du grand capital, les lécheurs de bottes du pouvoir, les addicts aux matches de football… « les vieux » (variantes : les vieux cons, les vieux schnocks) , « les mâles », ce qu’elles prononcent et écrivent « les mecs », et « les psys », au sens de l’offre hégémonique en France, qui est celle des psychanalystes (variante locale : la PNL... selon l'une des obsessions de YBM sur f.s.phy). A ce florilège s'est ajouté en 2004 "les arabes, les islamistes, leurs kollabos...". "Tu doit lire beaucoup de livre Harlequin" (orthographe d'origine), "féministe, pisse-assis", "pseudo-scientifique", "juste des gens qui ont un discours qui semble scientifique" , "les scientistes bornés", "encéphale en décomposition", "vraie femelle", "Super Dingo", "crétin imbécile", "rationaliste demeuré", "Tête de noeud", "psychopathe en état avancé", "fou salement atteint", "Il ne connaît pas l'autodidactisme, le bougre. Un con diplômé" (celles-là sont de Jean-Claude Pinoteau, alias "nietsnie" alias "Pierre de la Davière"), "les crédules de l'évolutionnisme", "les croyants en l'évolution", "les matérialistes bornés et adeptes du génocide et du Goulag" (celles là viennent de créationnistes) , "conformiste, très ordinaire", "tartuffes, inquisiteurs, apparemment scientifique, coupé de l'apprentissage des humanités, logorrhée délirante, délires paranoïaques de vieil homme aigri, incapable d'argumenter posément" (celles-là sont d'Hélène Palma), "vieillard sénile, gâteux, tout à fait banal et sans consistance, intérêt ni envergure, pervers narcissique, mythomane et paranoïaque... existence vide et ratée" (celles-là sont de Jean-Paul Douhait, alias Cascus alias Jeanpapol alias Isaac Menuhin alias pierre szmydt alias Violette Dubois alias jacques dupont dit Jacky alias cassidile dit cascus alias vous dites le savoir" alias derrida alias Ixe alias Jean-Paul alias Incognito alias corbeau alias vendredi...), "vaseux" (celle-là est de Pierre Dumay dit Peyo), "bureaucrate de Bruxelles" (d'YBM encore), "génie méconnu, croyant" (de François Guillet)... A suivre !
| Rappel : en deux ans personne n'a jamais, jamais relevé un seul des
| défis rassemblés à
|
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/disputatio/viewtopic.php?id=48| ou
|
http://deontologic.org/deonto-famille/citoyens/debattre/index.php?topic=48.msg713#msg713| ou
|
http://deonto-ethics.org/quantic/index.php?title=Microphysique_:_ondulatoire_ou_poltergeist_%3F| originellement paru le 15 juin 2007 sur le site des fanatiques du Québec
| déguisés en sceptiques :
|
http://www.sceptiques.qc.ca/forum/viewtopic.php?f=14&t=4089.
| Jamais, jamais, jamais personne.
|
| Rappel aussi du sottisier des prestigieux Nobel :
|
http://deontologic.org/deonto-famille/citoyens/debattre/index.php?topic=887.0François Guillet a écrit :
> "Jacques_Lavau" <NolavauSpamjac@klub-1ternaite.efferre> a écrit dans le message de news: 4a0fc592$0$294$7a628cd7@news.club-internet.fr...
> | François Guillet a écrit :
> | > "Jacques_Lavau" <NolavauSpamjac@klub-1ternaite.efferre> a écrit dans le
> | > message de news: 49fcb857$0$292$7a628cd7@news.club-internet.fr...
> | > ...
> | > | En effet, la lumière n'existe pas en soi, mais est toujours une
> | > | population de transactions abouties entre des populations d'émetteurs
> | > et
> | > | des populations de récepteurs.
> | >
> | > Pas forcément. On sait détecter "au vol" un photon, capturé dans une
> | > cavité. Il n'y a ni émission ni absorption.
> |
> | Votre mission, si vous l'acceptez, consiste à démontrer vos affirmations.
>
> http://physicsworld.com/cws/article/news/27320
>
> "Physicists watch the "birth, life and death of a photon"
>
> Physicists in France are the first to watch single photons appear spontaneously, live a brief life, and then vanish into thin air. The experiment is the best realization so far of "quantum non-demolition" (QND) measurements on single photons, whereby the presence of a photon is determined without destroying it. As well as providing an elegant demonstration of quantum mechanics, the researchers also believe that the technique could be exploited in quantum information systems (Nature 446 297).
>
> Detecting a photon usually involves absorbing the photon - and ultimately destroying it - in a photodetector. However, it is sometimes possible to make a measurement in a much gentler manner, leaving the system in more or less the same state as was measured. Such QND measurements have become commonplace for large systems like atoms - which can be probed gently using photons. But photons are much more delicate than atoms, which makes QND very difficult.
>
> Microwave cavity
>
> Now, Michel Brune and colleagues at the Ecole Normal Supériore in Paris have turned the table and used atoms to make a QND measurement of the quantum state of a system containing one photon. Brune's system is a microwave cavity that has been cooled to 0.8K. At this temperature, there is about a 5% chance that the cavity will be devoid of microwave photons and a 50% chance that the cavity will contain just one photon (that has spontaneously appeared from the vacuum, only to vanish less than one second later).
>
> The presence of a photon is detected by passing a stream of rubidium atoms though the cavity. These are so-called Rydberg atoms, which have an electron in a highly excited state and are very sensitive to external perturbations, such as electric fields. The atoms are prepared such that they can exist in one of two quantum states ("g" and "e"). If the atoms cross an empty microwave cavity, most of them will emerge in state g, whereas if they encounter a photon the majority will emerge in state e.
>
> The atoms are flipped between g and e by a non-resonant interaction with the cavity field. The photon cannot be absorbed without violating energy conservation, and instead it leaves its "imprint" on the atom by displacing the position of the atomic energy levels. A high resolution spectroscopy method is used to determine the state of the atoms as they emerge from the cavity. In this way, Brune and colleagues were able to make hundreds of such measurements on a single photon without destroying it.
>
> By measuring the state of the emerging atoms, Brune and colleagues were able to watch as a single photon emerged from the vacuum, lived a brief life of less than one second, and then vanished. While this phenomenon was predicted nearly one hundred years ago, this is the first time that it has been observed directly."
Tu n'as jamais prouvé que ton interprétation d'artilleur corpusculiste
soit correcte ni prouvée.
Tu as juste rappelé qu'elle est hégémonique, hégémoniquement enseignée.
C'est tout sauf un scoop.
Voici DEUX ans, on avait déjà cité et critiqué cet article ici même.
Synthèse à :
http://deontologic.org/deonto-famille/citoyens/debattre/index.php?topic=356.0
La preuve de l'idéation corpusculiste est écrite en toutes lettres dans l'article : "une propagation d'environ 143 000 km"
La critique de cette phrase au complet :
Autres critique de la lecture abusivement corpusculiste de la rédaction de cet article :
"Ce photon a survécu 0,476 s, correspondant à une propagation d'environ 143 000 km dans la cavité entre les miroirs". C'est mensonger. Ce photon était stationnaire dans la cavité. En effet, le principe de l'interféromètre Fabry-Pérot est que la distance entre miroirs est un multiple entier de la demi-longueur d'onde. Autrement dit, la distance entre les miroirs est exactement 2,93339 mm ou 5,86678 mm ou 8,880017 mm ou 11,73356 mm, etc. Ici 27 mm annoncé, font 9 demi-longueurs d'onde, largement inférieur à la longueur de cohérence de ce photon fort bien défini en fréquence, donc très peu localisable en longueur de train d'onde.
Nous sommes donc en présence d'une onde stationnaire, durant 24 323 millions de périodes, 2,7 milliards d'aller-retour.
Fin de citation.
Autre rappel de cette critique déjà ancienne de deux ans :
Contradiction entre la prétention : "mesure non destructrice" et le mécanisme d'interaction avec les atomes envoyés dans un état excité de Rydberg. Alors qu'ils précisent la fréquence du couplage, donc le quantum d'énergie fourni par le photon à l'atome-sonde. MAIS un autre atome survenant plus tard se fait fournir à son tour ce même quantum d'énergie, et cent fois de suite com'aco... Donc le dispositif de cavité résonante a ravitaillé entre temps le photon qui tendait à devenir désaccordé, pour le réaccorder à nouveau. Mais les auteurs restent silencieux sur ce ravitaillement en vol, dont ils ont pourtant donné les conditions aux limites. Nous décomptons donc déjà deux classes de réactions quantiques qui surviennent durant la durée de vie de ce photon stationnaire : celles qui cèdent un quantum aux atomes de rubidium pour le faire passer de 50 à 51 de nombre quantique principal, et celles entre le photon stationnaire et les plasmons et phonons des miroirs pour restaurer la fréquence de résonance.
Jolie fraude...
Tu n'as pas prouvé l'absence d'émetteur ni l'absence d'absorbeur final
ni l'absence d'émission ni l'absence d'absorption. Tu as seulement
rappelé qu'ils n'ont pas été clairement identifiés par l'auteur de
l'article, qui de surcroît était culturellement bien dressé à ne pas les
chercher.
Tu as involontairement rappelé que l'enseignement, fut-il des sciences,
a du mal à corriger ses bourdes, parce qu'il est fondé sur une relation
inégale, où l'enseignant est juge-et-partie.
Et dans le secondaire, c'est encore pis, c'est l'inspecteur qui est
juge-et-partie. Aussi les bourdes y durent-elles très très très
longtemps.
--
http://deontologic.org/deonto-famille/citoyens/debattre/index.php?topic=356.0
| "Ce photon a survécu 0,476 s, correspondant à une propagation
d'environ
| 143 000 km dans la cavité entre les miroirs". C'est mensonger. Ce
photon
| était stationnaire dans la cavité. En effet, le principe de
| l'interféromètre Fabry-Pérot est que la distance entre miroirs est un
| multiple entier de la demi-longueur d'onde. Autrement dit, la distance
| entre les miroirs est exactement 2,93339 mm ou 5,86678 mm ou 8,880017
mm
| ou 11,73356 mm, etc. Ici 27 mm annoncé, font 9 demi-longueurs d'onde,
| largement inférieur à la longueur de cohérence de ce photon fort bien
| défini en fréquence, donc très peu localisable en longueur de train
d'onde.
| Nous sommes donc en présence d'une onde stationnaire, durant 24 323
| millions de périodes, 2,7 milliards d'aller-retour.
|
| Fin de citation.
Pas cohérent. Si le photon était "stationnaire", alors on ne pourrait
plus parler de longueur d'onde. Pour définir une longueur d'onde, et
pour qu'il naisse une onde stationnaire, il faut qu'il y ait
propagation.
| Autre rappel de cette critique déjà ancienne de deux ans :
| Contradiction entre la prétention : "mesure non destructrice" et le
| mécanisme d'interaction avec les atomes envoyés dans un état excité de
| Rydberg. Alors qu'ils précisent la fréquence du couplage, donc le
| quantum d'énergie fourni par le photon à l'atome-sonde. MAIS un autre
| atome survenant plus tard se fait fournir à son tour ce même quantum
| d'énergie, et cent fois de suite com'aco... Donc le dispositif de
cavité
| résonante a ravitaillé entre temps le photon qui tendait à devenir
| désaccordé, pour le réaccorder à nouveau. Mais les auteurs restent
| silencieux sur ce ravitaillement en vol, dont ils ont pourtant donné
les
| conditions aux limites.
Tes objections n'invalident pas le principe mis en évidence mais
l'explicitent, à savoir que le photon n'a pas été absorbé et pourtant
détecté, car un atome traversant la cavité n'emporte pas une énergie
h*nu. D'ailleurs tu l'admets implicitement en disant que le photon a été
"désaccordé". C'est bien tout l'art de cette expérience : l'atome a
légèrement interféré avec le photon, sans l'absorber, mais suffisamment
pour qu'on sache qu'il y avait un photon.
>
> Pas cohérent. Si le photon était "stationnaire", alors on ne pourrait plus parler de longueur d'onde. Pour définir une longueur d'onde, et pour qu'il naisse une onde stationnaire, il faut qu'il y ait propagation.
C'est bien la physique de tes seize ans, ça, non ?
Il t'est permis de rouvrir un manuel.
Il s'agit bien d'une onde stationnaire puisqu'elle ne quitte jamais l'interféromètre où elle a été créée et où elle sera absorbée.
> C'est bien tout l'art de cette expérience : l'atome a légèrement interféré avec le photon, sans l'absorber, mais suffisamment pour qu'on sache qu'il y avait un photon.
Retourne aux diagrammes de Feynman. Avant et après l'apex d'interaction
avec un atome de Rydberg, ce n'est pas le même photon.
Sinon, il faut jeter le formalisme de Feynman.
Le ravitaillement en vol, la remise en résonance par des interactions de
phonons, relève aussi du même formalisme et de la même conclusion : pas
le même avant et après.
Ce que le formalisme ne dit pas, et qu'il faut acquérir par d'autres
moyens, sont la durée et le mécanisme précis du ravitaillement par le
dispositif.
Ce que l'expérience a bien redémontré, c'est la seconde quantification :
dans l'interféromètre fermé, il n'y a durablement qu'un nombre entier de
quanta d'action. "Durablement", au sens de "plusieurs périodes".
| C'est bien la physique de tes seize ans, ça, non ?
| Il t'est permis de rouvrir un manuel.
Je te renvoie au site sur la projection.
Quand tu parleras physique, préviens-moi.
| Il s'agit bien d'une onde stationnaire puisqu'elle ne quitte jamais
| l'interféromètre où elle a été créée et où elle sera absorbée.
Il s'agit d'une onde stationnaire, je le dis aussi ; soit tu ne sais pas
lire, soit ne sachant pas comment contrer ce que j'ai dit, tu me fais
dire ce que je n'ai pas dit.
Le fait qu'il y ait une onde de longueur d'onde donnée implique par
définition la propagation de "quelque chose".
Si ce qui se propage n'est pas ce qu'on appelle couramment un photon, il
faudra nous expliquer ce qui se propage.
Si rien ne se propage, il faudra nous expliquer comment tu définis une
longueur d'onde.
...
| > Tes objections n'invalident pas le principe mis en évidence mais
| > l'explicitent, à savoir que le photon n'a pas été absorbé et
pourtant
| > détecté, car un atome traversant la cavité n'emporte pas une énergie
| > h*nu. D'ailleurs tu l'admets implicitement en disant que le photon a
été
| > "désaccordé". C'est bien tout l'art de cette expérience : l'atome a
| > légèrement interféré avec le photon, sans l'absorber, mais
suffisamment
| > pour qu'on sache qu'il y avait un photon.
|
| Retourne aux diagrammes de Feynman. Avant et après l'apex
d'interaction
| avec un atome de Rydberg, ce n'est pas le même photon.
Ah oui ? Tu le démontres comment ?
| Sinon, il faut jeter le formalisme de Feynman.
| Le ravitaillement en vol, la remise en résonance par des interactions
de
| phonons, relève aussi du même formalisme et de la même conclusion :
pas
| le même avant et après.
C'est ton interprétation.
L'établissement d'une onde stationnaire nécessite un certain temps, et
tu l'as même précisé indirectement, celui nécessaire à "2,7 milliards
d'aller-retour".
Un photon disparaîtrait et un autre apparaîtrait, sans interruption,
avec exactement la même phase que le premier, et ce ne serait pas le
même...
Explique-nous alors ce qui les différencie.
| Ce que le formalisme ne dit pas, et qu'il faut acquérir par d'autres
| moyens, sont la durée et le mécanisme précis du ravitaillement par le
| dispositif.
|
| Ce que l'expérience a bien redémontré, c'est la seconde quantification
:
| dans l'interféromètre fermé, il n'y a durablement qu'un nombre entier
de
| quanta d'action. "Durablement", au sens de "plusieurs périodes".
> Il s'agit d'une onde stationnaire, je le dis aussi ; soit tu ne sais pas lire, soit ne sachant pas comment contrer ce que j'ai dit, tu me fais dire ce que je n'ai pas dit.
Je vois, je vois...
La question qui tue : dans un interféromètre de 27 mm, quelle est la taille du photon stationnaire ?
Sa fréquence nous a été précisée :
Longueur d'onde 6 mm.
Période = 6 mm /3 . 108 m/s = 20 ps.
Fréquence : 50 GHz.
Sauf erreur puisque l'article a cessé d'être accessible.
> Le fait qu'il y ait une onde de longueur d'onde donnée implique par définition la propagation de "quelque chose".
> Si ce qui se propage n'est pas ce qu'on appelle couramment un photon, il faudra nous expliquer ce qui se propage.
> Si rien ne se propage, il faudra nous expliquer comment tu définis une longueur d'onde.
Et si tu rouvrais un manuel de physique élémentaire, aux chapitres des
ondes stationnaires, cela commence avec la corde vibrante et l'équation
de Jean le Rond d'Alembert. Tsé, ces solutions en (x-ct) et (x+ct)...
Juste ce qui convient déjà aux cordes de guitare, de clavecin, de piano.
Les guitaristes et les violonistes savent comment faire résonner leur corde en onde entière, voire à trois ventres, à quatre ventres, etc.
En revanche dans les instruments à vents, ce sont des ondes
longitudinales, mais là aussi on manipule des noeuds, des ventres, des
ondes stationnaires, toute cette sorte de choses qui font le B.A. BA du
métier de physicien. Les flûtistes aussi peuvent faire résonner leur
tuyau en deux ventres au lieu d'un. Les clarinettistes n'ont pas le
choix : ils quintoient. Des tuyaux d'orgue sont en quart d'onde.
Qu'en est-il de la bombarde bretonne ?
Rouvre aussi un manuel d'optique, le rôle physique des miroirs, la
grandeur physique qui est localement annulée par le miroir et son état
métallique, la création d'une onde émergente en phase sur l'onde
incidente, et toute cette sorte de choses.
> ...
> | > Tes objections n'invalident pas le principe mis en évidence mais
> | > l'explicitent, à savoir que le photon n'a pas été absorbé et pourtant
> | > détecté, car un atome traversant la cavité n'emporte pas une énergie
> | > h*nu. D'ailleurs tu l'admets implicitement en disant que le photon a été
> | > "désaccordé". C'est bien tout l'art de cette expérience : l'atome a
> | > légèrement interféré avec le photon, sans l'absorber, mais suffisamment
> | > pour qu'on sache qu'il y avait un photon.
> |
> | Retourne aux diagrammes de Feynman. Avant et après l'apex d'interaction
> | avec un atome de Rydberg, ce n'est pas le même photon.
>
> Ah oui ? Tu le démontres comment ?
>
> | Sinon, il faut jeter le formalisme de Feynman.
>
> | Le ravitaillement en vol, la remise en résonance par des interactions de
> | phonons, relève aussi du même formalisme et de la même conclusion : pas
> | le même avant et après.
>
> C'est ton interprétation.
> L'établissement d'une onde stationnaire nécessite un certain temps, et tu l'as même précisé indirectement, celui nécessaire à "2,7 milliards d'aller-retour".
> Un photon disparaîtrait et un autre apparaîtrait, sans interruption, avec exactement la même phase que le premier, et ce ne serait pas le même...
> Explique-nous alors ce qui les différencie.
Ils n'ont pas la même fréquence, dans le même repère du laboratoire !
Et tu oublies l'autre interaction avec les phonons de miroir, pour restaurer la résonance.
>
> | Ce que le formalisme ne dit pas, et qu'il faut acquérir par d'autres
> | moyens, sont la durée et le mécanisme précis du ravitaillement par le
> | dispositif.
> |
> | Ce que l'expérience a bien redémontré, c'est la seconde quantification :
> | dans l'interféromètre fermé, il n'y a durablement qu'un nombre entier de
> | quanta d'action. "Durablement", au sens de "plusieurs périodes".
Ah tiens ?
Obsédé que tu es de ton idéation corpusculaire, de ton "au vol", tu oublies tout ce qui concerne la grandeur physique appelée "action".
Et pourtant, c'est là qu'il y a du grain à moudre.
Je vois, je vois...
| La question qui tue : dans un interféromètre de 27 mm, quelle est la
| taille du photon stationnaire ?
| Sa fréquence nous a été précisée :
| Longueur d'onde 6 mm.
| Période = 6 mm /3 . 108 m/s = 20 ps.
| Fréquence : 50 GHz.
Qu'appelles-tu "taille du photon" ?
La seule chose qu'on constate est la propagation d'une onde
électromagnétique faisant des A/R dans une cavité aux dimensions en
rapport avec la longueur d'onde, de telle sorte que les relations de
phase de chaque passage permettent la formation de ce qu'on appelle une
"onde stationnaire", abus de langage (car par définition une onde se
propage) pour désigner une configuration particulière de champs se
propageant et se superposant.
...
| Rouvre aussi un manuel d'optique, le rôle physique des miroirs, la
| grandeur physique qui est localement annulée par le miroir et son état
| métallique, la création d'une onde émergente en phase sur l'onde
| incidente, et toute cette sorte de choses.
C'est le même principe que dans le cas d'une onde électromagnétique, la
différence étant que dans tes cordes, c'est une contrainte mécanique qui
se propage.
Cette propagation a une vitesse liée au matériau utilisé. Cette vitesse
permet également de déterminer des longueurs d'onde.
Je te demandais : "Si rien ne se propage, il faudra nous expliquer
comment tu définis une longueur d'onde". Je vois que tu bottes en touche
en nous racontant des lapalissades.
...
| > L'établissement d'une onde stationnaire nécessite un certain temps,
et
| > tu l'as même précisé indirectement, celui nécessaire à "2,7
milliards
| > d'aller-retour".
| > Un photon disparaîtrait et un autre apparaîtrait, sans interruption,
| > avec exactement la même phase que le premier, et ce ne serait pas le
| > même...
| > Explique-nous alors ce qui les différencie.
|
| Ils n'ont pas la même fréquence, dans le même repère du laboratoire !
| Et tu oublies l'autre interaction avec les phonons de miroir, pour
Quelle imagination !
Il n'y a pas rupture de la résonnance.
Quels sont les évidences expérimentales qui l'attesteraient ?!
...
| Obsédé que tu es de ton idéation corpusculaire, de ton "au vol", tu
| oublies tout ce qui concerne la grandeur physique appelée "action".
| Et pourtant, c'est là qu'il y a du grain à moudre.
Epargne-nous le blabla, stp. Tu ne sais pas tenir un discours
opérationnel. Les 2/3 de ce que tu racontes, c'est du bruit.
Si tu avais lu, tu aurais compris depuis longtemps que je ne vois dans
le photon aucune particule, mais une onde.
Mais tu ressasses sans arrêt.
Voilà, le piège a fonctionné, l'aveu est fait.
Toute cette controverse futile parce qu'il ne sait pas ce que c'est physiquement qu'une onde stationnaire.
Il était absent du cours quand cela a été traité, et il n'a aucune conscience de ses lacunes.
Il ne sait pas qu'entre deux noeuds fixes distants de un mètre, la taille d'une onde stationnaire est de un mètre, quel que soit l'ordre du sous-multiple de cette distance pour la demi-longueur d'onde. Si l'interféromètre est long de 27 mm, la longueur du photon stationnaire est exactement 27 mm. Quelles que soient la longueur d'onde, et la longueur de cohérence du faisceau (très élevée de toutes façons).
Il est donc impossible à François Guillet de comprendre un laser, et de comprendre un interféromètre. Il n'a simplement pas compris l'article qu'il brandissait comme argument massue, il ne comprend pas la base de la manip.
Mais il lui faut un coupable et du sang sur le parquet ! Et un coupable qui ne soit pas François Guillet....
La question suivante :Cette hargne et cette morgue dues à sa propre ignorance des bases de la physique ondulatoire sont-elle représentatives ?
Les autres controverseurs hargneux et méprisants, sont-ils aussi ignorants que ce François là ?
Il faudra une bien autre enquête pour trancher cette question là.