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Auteur Sujet: L'écrivain, sa responsabilité sociale, et son atelier.  (Lu 1850 fois)

JacquesL

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L'écrivain, sa responsabilité sociale, et son atelier.
« le: 15 février 2007, 12:59:31 pm »
L'écrivain, sa responsabilité sociale, et son atelier.

Posté le: Jeu 16 Sep 2004 - 15:57

Avant Jean-Jacques Rousseau, l'opinion générale était que l'enfant était une petite bête sale et vicieuse qu'il fallait dresser. Après Rousseau, on se mit à admirer les enfants.
On dit que l'abolition de l'esclavage fut décidée par Lincoln après lecture de La case de l'oncle Tom.
On sait que l'abolition du servage en Russie fut inspirée au tsar Alexandre II par les Récits d'un chasseur, d'Ivan Tourgueniev.

Sur un versant plus hédonique, Gilles Vigneault expliquait qu'à Natashq... heu ! À Saint-Dilon, les gens étaient tous poètes, mais ne savaient pas écrire, qu'il étaient tous musiciens, mais ne savaient pas la musique, et qu'il leur prêtait son art, afin de donner grande audience à leurs vies et à leurs paroles.

Si je poursuis sur l'idée que notre responsabilité sociale d'écrivains et d'intellectuels est de faire évoluer le Monde en bien, là où les mécanismes politiques en place s'en révèlent bien incapables, et que notre responsabilité est de faire évoluer la conscience publique, alors se posent les questions de l'efficacité et des compétences techniques pour cela.

J'ai déjà emprunté à un autoursier une phrase définissant l'éthique mieux que ne le font les intellectuels. Aujourd'hui j'emprunte à Errol Bruce, officier de marine de sa Gracieuse Majesté, les principes des ordres à la mer, mais transposables dans toute entreprise humaine, ainsi que dans l'action de l'écrivain. Les principes suivants viennent des pages 82 et 83 de « Deep sea sailing », traduction « La croisière en haute mer », parue en 1958 aux Editions Plaisance.

Vous devez indiquer sans ambiguïté indiquer qui doit exécuter l'ordre, ce qui doit être fait, et quand cela doit être fait – et rien d'autre. Sont de bons ordres : « Tout le monde à amener la grand-voile », ou « Tout le monde à amener la grand-voile, dès que la bordée d'en bas aura capelé ses cirés ! ». Une directive laisse plus de latitude à la discussion et à l'individualisme, et peut intervenir bien plus souvent que les ordres vrais : cela dépend des circonstances qui pèsent sur vous. Voici une directive efficace et correcte : « Bosco,  j'aimerais que les focs humides soient montés sur le pont pendant que nous avons le vent portant ». Cette directive confie au bosco la responsabilité d'exécuter ce travail, et signifie que le skipper ne supervisera pas lui-même l'opération. Le bosco a latitude de répondre qu'avant il voudrait terminer cette épissure sur cette écoute ; il pourra aussi demander l'aide du skipper pour monter les voiles humides sur le pont, il en a la délégation.

Voici un exemple de ce qu'il ne faut pas faire : « Holà ! Que quelqu'un amène un peu cette sacrée voile, et qu'on se dépêche, sinon elle va craquer ! ». Cet ordre ne dit pas qui, ne dit pas quelle voile, et comporte quantité de mots superflus, qui prêtent à critiques et moqueries. Il émet une opinion sur l'avenir, qui est discutable, et risque donc d'être discutée. Un capitaine qui parsème ses ordres de jurons et d'insultes divers, met en évidence qu'il n'est pas sûr de lui-même.

Je suggère que nous montions un atelier d'apprentissage de l'écrivain, car je constate que certains d'entre nous dispersent leurs forces dans des invectives, des insultes, des incidentes qui rompent l'attention du lecteur, voire l'indisposent rapidement.

Saba avait répondu le Vendredi 17 Sep 2004 - 21:55 :
Citer
"Je trouve que tu as  là une superbe idée.  Par contre, je dirais que ça prend une certaine humilité pour se prêter à cet exercice.
Pour ma part, je suis prête à y participer.
"
Fin de citation.
« Modifié: 01 mars 2009, 01:30:07 pm par Jacques »

JacquesL

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L'ironiste et le pasticheur.
« Réponse #1 le: 01 mars 2009, 01:36:02 pm »
L'ironiste et le pasticheur.

L'écrivain ironiste et l'écrivain pasticheur ont beaucoup de traits en commun.
Tous deux utilisent en parasites un fleuve de niaiseries et de monstruosités, en détournent le cours, empruntent à sa force et à ses matériaux.
Par conséquent, tous deux ont la même difficulté à se passer de cette dépendance.
Des deux, c'est le pasticheur qui éprouve la plus grande difficulté à se mettre à son compte, à écrire en autonome sur ses thèmes à lui, avec seulement son style propre.
Le pasticheur fait rire d'un écrivain connu, aux oeuvres et au style connus, il en fait ressortir les automatismes. Il est rare qu'il ait à en montrer la monstruosité morale, sauf lorsqu'il pastiche Léon Daudet, bien sûr. Le pasticheur ne met pas ses jours ni sa liberté en danger, sauf brièvement, au temps où le duel se pratiquait encore.

Comme je l'écrivais le 18 août 2004, sous le titre "Préparation d'assassinat, sept ans aujourd'hui ", lisible à l'adresse  http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/Preparation_d_assassinat_sept_ans_aujourd_hui.html, telle que pratiquée par Voltaire, Montesquieu et Swift, l'ironie consiste à se déporter de son propre point de vue, et à exprimer de l'intérieur tout l'inavouable de la stratégie et de la bonne conscience des monstres. Ainsi dans sa Modeste proposition, J. Swift a proposé que les propriétaires terriens anglais, après avoir sucé la moëlle des pères irlandais, dévorent leurs fils en rôti ou en fricassée. Ainsi Montesquieu fit une apologie de l'esclavage des nègres, qui ne laissait plus nul doute sur la monstruosité des justifications en usage en France, et Voltaire laissa des pages inoubliables, vantant la beauté des boucheries héroïques...
L'ironiste d'Ancien Régime mettait tout son talent à déjouer les censeurs du roi, pour dénoncer ce que le régime avait de monstrueux. L'ironiste du 18e siècle mettait ses jours en danger.

Il n'y a aucune frontière nette entre le pastiche, l'ironie, et la simple indignation, tous les intergrades existent. Voltaire a pastiché un édit du Sultan ottoman, interdisant la lecture. Le pastiche était-il bon ? L'important était qu'il fut efficace, que les lecteurs occidentaux partagent l'indignation et le mépris de l'auteur envers ce crime d'état contre la culture. La Bruyère pastichait le style des bellicistes de son temps, mais restait à mi-chemin entre l'ironie et l'indignation, quand il écrivait contre la guerre et la gloire : "Que si l'on vous disait que tous les chats d'une même contrée..."

Dans tous les cas, l'ironiste s'attaque tout seul, à un monstre puissant et dangereux. A un monstre qui détient de forts pouvoirs de censure pour protéger son hégémonie.

Bâfreur et négligent, gouvernant par bouffées, Louis XVI n'avait rien d'un psychotique dangereux, mais il était au sommet d'un système d'exploitation psychotique et sans grands scrupules. Louis XVI individuellement ne méritait pas la mort. Son grand-père non plus, baiseur de harem, guère moins négligent (laissant tomber sa marine en ruines, par exemple, alors qu'il en avait un besoin militaire vital), n'était pas individuellement un psychotique dangereux... Tous deux furent à la tête d'un gaspillage phénoménal, ruinant la nation au profit de quelques privilégiés. Ce que le jeu entre les ironistes de l'époque, et la censure royale pour les étouffer, mettait en évidence, c'est que le système d'Ancien Régime vivait dans le déni de réalité, était psychotique dans son entier, se maintenait dans le refus de toute résipiscence

Il n'y a guère besoin de pasticher les monstres féminazies, il suffit de les citer, de montrer que leurs écrits restent, pour qu'elles explosent de rage, et cherchent à vous censurer par tous moyens, harcèlements judiciaires inclusivement. Il n'y a même pas besoin de les pasticher pour prouver même au grand public, qu'elles sont psychotiques, il suffit de les citer. Par exemple, si l'on assemble deux de ces paranoïaques (dont une perverse) et une perverse, Andrea Dworkin, Aline d'Arbrant et Valérie Solanas, cela donne :
Citer
Nous détruirons les mâles comme oppresseurs universels. Le mâle est un animal domestique qui, si on le traite fermement, peut être entraîné à faire la plupart des choses. Mais non: appeler un homme un animal, c’est le flatter. Il est une machine, un godemiché ambulant. Je veux voir un homme battu en bouillie sanglante avec un talon haut dans la bouche, comme une pomme dans le groin d’un cochon. Je déclare qu’il y a viol chaque fois qu’il y a des rapports sexuels non initiés par la femme, venant de sa propre affection et désir réels. »"
Source : http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/09/25/dogma-1-la-folie-d-ou-nous-venons.html

Bien sûr, l'assemblage est apocryphe, mais chaque phrase est individuellement authentique, et le tout est authentiquement représentatif de leur maladie mentale collective.
« Les hommes sont des bêtes... je dirais même plus, des godemichés sur pattes ! » Ainsi s’exprimait Ireen von Wachenfeldt, présidente de ROKS (Riksorganisationen för Kvinnojouren i Sverige), un réseau national regroupant 126 foyers-refuges pour femmes battues, lors d’une émission télévisée sur le thème de la violence domestique. Source :  http://francofil.se/nouvelle/filrouge/humeur/humeur07-2005.htm

Un proverbe de cliniciens : "Si vous avez affaire à un service où les gens ne peuvent plus se parler, par exemple où le service du soir fait tout son possible pour contrer ce que le service du matin a fait, alors cherchez le psychotique qui projette sur eux son clivage, et qui à leur insu, les dirige de fait". Ouf ! Nous voici rassurés quand on découvre que le dit psychotique au pouvoir est un des malades internés dans cet établissement-là. Ouf ! Socialement, tout reste dans l'Ordre. Nous sommes moins rassurés, quand l'enquête prouve que le psychotique qui déverse son clivage sur le personnel, est justement le chef du service...

Quand le psychotique est le chef ? Quand la psychotique est la cheffe ?
Cela se prouve à la censure que le chef ou la cheffe fait régner. La censure est l'instrument de base du psychotique en chef, s'il est de variété despotique.
Les écrits de Louise Langevin, sous couverture universitaire, sont typiques de ce despotisme paranoïaque, qui exige de criminaliser tout ce qui ose critiquer leurs délires de féminazies :
http://www.etudesfeministes.fss.ulaval.ca/ChaireClaire-Bonenfant/actualites/docs/internet_antifeminisme.pdf

Citation de: Louise Langevin
Citation de: Louise Langevin
Conclusion
Les sites Web qui affirment défendre les droits des pères et des hommes ou qui proposent une réflexion sur la condition masculine constituent un nouvel outil de communication et un nouveau lieu de manifestation de l’antiféminisme. La synthèse de l’analyse de cinq sites Web démontre qu’ils ne visent pas tant la promotion des droits des pères et des hommes, comme l’affirment leurs concepteurs, mais plutôt le dénigrement du féminisme, des  féministes et des femmes. Comme le dit si bien Descarries, ces sites « tradui[sent] tout un ensemble de préjugés et de peurs collectives sur la façon d’entrer en rapport avec l’autre sexe et d’intégrer les changements provoqués par les luttes du mouvement des femmes ». Ces sites sont aussi la preuve d’une certaine réussite du féminisme.

Le discours haineux, discriminatoire et diffamatoire présent sur les sites analysés peut-il être efficace et avoir des effets pervers? Ces sites ne sont-ils pas l’affaire de marginaux et de groupuscules? Pourtant, même si peu de personnes participent à ces sites, ils ont une influence sur l’opinion publique et sur les élus, dans un contexte où l’opinion publique considère que les Canadiennes sont égales en droit et en fait. Il ne faut pas sous-estimer le pouvoir de dissémination d’Internet, beaucoup plus grand par rapport à d’autres médias, comme les journaux ou la télévision. On ne peut donc pas laisser faire ces cybermarchands de haine.
...
Fin de citation.

Les islamistes aussi, ont exigé et obtenu de l'ONU une résolution qui tente d'imposer aux états cotisants, qu'ils criminalisent toute critique de l'Islam...
Il y a eu des sources plus directes que celle qui suit, mais leur accès n'est plus évident après quelques mois.
Sinon http://www.bivouac-id.com/2008/11/26/lonu-appelle-a-empecher-le-denigrement-des-religions/

Citer
   L’ONU appelle à empêcher le dénigrement des religions

    Par Yann le 26 novembre 2008
    Rappelons que seule une petite minorité des pays membres de l’ONU sont des démocraties respectant les droits de l’homme. Il n’y a donc hélas rien de surprenant à voir l’ONU se faire l’alliée de l’offensive que mène le fascisme islamique contre nos libertés. Fort heureusement pour les droits de l’homme, seules les résolutions du Conseil de Sécurité - où les démocraties occidentales (France, Grande-Bretagne et Etats-Unis d’Amérique) disposent d’un droit de véto - sont contraignantes.

    Une commission de l’ONU a adopté lundi une résolution appelant les Etats à empêcher, y compris par la loi, le dénigrement des religions, et affirmant que l’islam est souvent et faussement associé aux violations des droits de l’Homme et au terrorisme.

    Cette résolution non contraignante, co-parrainée par les pays islamiques avec l’appui du Bélarus et du Venezuela, a été adoptée par 85 voix contre 50, avec 42 abstentions, par la commission des droits de l’Homme de l’Assemblée générale de l’ONU.

    C’est un léger recul par rapport à une résolution similaire adoptée l’année dernière par 108 voix contre 51, avec 25 abstentions.

    Les pays occidentaux, qui voient dans ce texte une tentative de limiter la liberté d’expression, ont tous voté contre. Les pays musulmans, ainsi que la Chine, Cuba et la Russie, ont voté pour.

    Il devrait être également adopté, à une date ultérieure, par l’Assemblée générale, où siègent les 192 Etats membres de l’ONU.

    La résolution “note avec une vive inquiétude que la campagne globale de dénigrement des religions et l’incitation à la haine religieuse en général, notamment la discrimination ethnique et religieuse à l’égard des minorités musulmanes, se sont intensifiées depuis les événements tragiques du 11 septembre 2001“.

    L’Assemblée se déclare “profondément préoccupée par le fait que l’islam est souvent et faussement associé aux violations des droits de l’Homme et au terrorisme.“

    La résolution “exhorte les Etats à appliquer et, au besoin, à renforcer les lois existantes lorsque des actes, manifestations ou expressions de xénophobie ou d’intolérance sont dirigés contre les minorités et les migrants, afin de mettre fin à l’impunité dont jouissent les auteurs de tels actes“.

    L’ONG UN Watch, basée à Genève, a aussitôt condamné l’adoption de ce texte. “C’est la dernière salve d’une série de résolutions de l’ONU qui cherchent dangereusement à introduire les interdits islamiques contre le blasphème dans le vocabulaire du droit international“, a déclaré son directeur, Hillel Neuer, dans un communiqué.

    “Les droits de l’Homme ont été conçus pour protéger les individus, pour garantir à chaque personne la liberté d’expression et la liberté de culte, mais certainement pas pour protéger quelque croyance que ce soit, religion comprise“, a-t-il ajouté.
   Source : Le Monde



http://www.debriefing.org/27206.html : L’ONU veut imposer le délit de blasphème.
http://religions.blog.lenouvelliste.ch/2008/12/02/lonu-veut-elle-imposer-le-delit-de-blaspheme/

Les islamistes et les féminazies ont en commun que tous deux sont des despotes qui cherchent à se faire passer pour des victimes, afin de se garantir tous les privilèges attachés au titre de victimes.
Ils ont en commun d'être également imposteurs à tout instant.
Tous deux sont optimisés pour la guerre. L'Islam a été optimisé pour la guerre de conquête par Muhammad, et ne sait rien faire d'autre,
tandis que le Nouveau Féminisme a été optimisé pour la guerre civile par des avocates, et ne sait rien faire d'autre.
Tous deux ne rêvent que de déchiqueter et brûler tous les résistants.
Les uns utilisent leurs enfants comme bombes humaines pour déchiqueter les non-musulmans.
Les autres utilisent leurs enfants comme aides-bourreaux pour déchiqueter leur père.
...

Par ailleurs,
Citer
le féminisme et le nazisme ont tous deux…

* Discriminé des humains en se basant sur leur code génétique.
* Propagé l’idée que le groupe ciblé était inférieur.
* Propagé l'idée que le groupe ciblé est composé de parasites. (on a qu’à lire n’importe quel ouvrage d’Andrea Dworkin enseigne dans nos universités (Québec) pour le constater).
* Promu toute propagande ridiculisant le groupe ciblé.
* Promu la propagande qui a mené a la mutilation des membres du groupe cible et en rire. Rappelez vous en 1993 de Lorena Bobbit qui a coupé le pénis de son mari.
* Démonisé le groupe ciblé en étiquetant ses membres comme étant des violents, des pervers et des agresseurs sexuels.
* Cherché à séparer le groupe ciblé de leur famille et enfants.
* Promu l’idée que le groupe ciblé est responsable des grands maux de notre société.
* Diffusé des mensonges et de la désinformation au sujet de faits historiques.
* Utilisé la menace et la coercition pour faire taire ceux qui voudraient les dénoncer.
* Propagé le mensonge comme quoi les membres du groupe privilégié est constitué d’innocentes victimes. (“les femmes ont été opprimées tout au long de l’histoire” entend-t-on fréquemment alors que c’est totalement faux.
* Exigé des privilèges spéciaux dans le marché du travail.
* Discriminé le groupe ciblé et propagé leurs idées dans nos écoles, nos universités et dans le marché du travail.
* Perverti le système judiciaire de manière à ce que les membres du groupe ciblé soient facilement “discriminable” dans les cours de justice (Droit de la famille en faveur des femmes).
* Arrangé les choses de manière à ce que les accusateurs du groupe privilégié soient anonymes en cour (lors d’allégations de viols).
* Arrangé les choses de manière à ce que les accusés du groupe ciblé doivent prouver leur innocence, alors que tout autre accusée a droit d’être considérée innocente jusqu’à preuve du contraire.
* Arrangé les choses de manière à ce que les membres du groupe privilégié puissent définir légalement ce qui constitue un “crime”.
* Arrangé les choses de manière à ce que le groupe privilégié définisse de façon capricieuse comment la loi doit voir certains cas.
* Arrangé les choses de manière à ce que les membres du groupe ciblé soient punis plus sévèrement que les membres du groupe privilégié. (les cas de violence conjugale par exemple).
* Arrangé les choses de manière à ce que les membres du groupe ciblé soient responsables des choix des membres du groupe privilégié (les cas de fraude en paternité, où des hommes qui ne sont pas le père de l’enfant doivent continuer à payer la pension alimentaire de l’enfant qui n’est pas d'eux).
* Arrangé les choses pour que les membres du groupe privilégié qui ont blessé ou même tué des membres du groupe ciblé reçoivent l’indulgence d’un tribunal et ce, sans mérite autre que d’être membre du groupe privilégié.
* Arrangé les choses pour que les membres du groupe ciblé soient punis plus sévèrement pour des infractions banales (des soi-disant cas de violence conjugale et de harcèlement sexuel).
* Arrangé les choses pour que les membres du groupe privilégié obtiennent des droits sur la propriété du groupe cible pour nulle autre raison qu’ils ou elles étaient membre du groupe privilégié (pension alimentaire, domicile familial, garde des enfants).
* Arrangé les choses pour que certains comportements ou discours contre le groupe privilégié soit criminalisés.
* Exigé la soumission à leur idéologie et au gouvernement.
* Contrôlé de façon efficace les médias et les institutions académiques de manière à promouvoir leurs idées malhonnêtes en falsifiant les statistiques. Voir le scandale des fausse statistiques.
* Systématiquement surligné et exagéré les exploits et les souffrances du groupe privilégié tout en minimisant l’importance de ceux qui sont réalisés par le groupe ciblé.
* Erigé des martyrs de la cause. (voir chaque année l’exploitation honteuse du drame de la Polytechnique, commise par des féministes professionnelles. Elles ne parlent jamais du cas Laurie Dann qui un an avant le drame de la Polytechnique a abattu froidement un nombre impressionnant de petits bébés mâles à cause de son dégoût des hommes…. parce que pour les féministes, tuer des mâles ça se justifie.
* Etabli dans nos universités et nos écoles des cours subventionnés par l’état afin de promouvoir le groupe privilégié aux frais du groupe ciblé.
* Etabli une campagne de haine à long terme visant à promouvoir le groupe privilégié tout en démonisant le groupe ciblé.
Source :  http://harakiri.ca/2009/02/10/feminisme-et-nazisme/

La preuve de sa psychose paranoïaque individuelle est fournie par la dite Louise Langevin, en note de bas de page :
Citation de: Louise Langevin
Citation de: Louise Langevin
2 Louise Langevin, « La rencontre d’Internet et de l’antiféminisme : analyse de sites web qui se disent à la défense des droits des pères et des hommes »
dans Josette Brun, dir., Les interrelations femmes-médias dans l’Amérique française, Chaire pour le développement de la recherche sur la culture d’expression française en Amérique du Nord, Université Laval, 2008. (à paraître)
3
Afin d’éviter que l’auteure du texte soit harcelée par les représentants et les supporteurs des groupes dont les sites font l’objet de la présente étude, aucun site Web analysé et aucun concepteur de tel site ne sera mentionné.
Fin de citation.

Et voilà : elle tiendra secret son éventuel corpus d'études...
Nous avons trop l'expérience des escrocs, des fraudes et des fraudeurs, pour ne pas comprendre que le dit corpus d'études n'existe pas, que toute la prétendue étude est bidonnée, que sa conclusion était écrite avant que la moindre analyse de sites ait jamais commencé.

Simplement ce genre de paranoïaques "adaptées" cherche d'abord à protéger les subventions dont elle vit, en parasite faisant semblant d'être scientifique.
Elle réclame donc de criminaliser tous les témoins gênants et indésirables, afin qu'aucune des victimes du féminazisme judiciaire et du féminazisme médiatique ne puisse plus jamais communiquer son expérience aux autres victimes.


Outre le pastiche et l'ironie, existe-t-il des moyens positifs pour combattre ces imposteures professionnelles ?
Oui, et nous l'avons fait :
Code de déontologie,
pacte de non-prolifération de la haine entre associations parentales, et professions oeuvrant autour de la famille.
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=19&Itemid=1

Comment l'avons-nous rédigé ? Nous avons pris le contre-pied de ce qui se faisait dans ma famille d'origine sous la direction d'une misandre victimaire (mais avec femme de ménage), ma mère, de prendre le contre-pied de l'"action psy" menée par ma soeur contre son frère, de prendre le contre-pied des actions menées par mon épouse devenue paranoïaque perverse et par son avocate qui l'a toujours été, de prendre le contre-pied des pratiques de divers paranoïaques dirigeant des forums, etc.
Prendre le contre-pied, seulement ? Non bien sûr, il fallait choisir quelques grands principes d'éthique et de santé mentale, et avoir une idée claire du cycle de vie familiale à mesure de votre âge dans la vie. Notre dette est inappréciable envers deux guides d'action principaux : Milton H. Erickson, et Iván Böszörményi-Nagy. Il fallait agir en ingénieurs et en psychothérapeutes, menant une action de prévention, énonçant une politique de prévention en matière de santé mentale. Cela passe par l'éthique, que cela vous plaise ou non.
« Modifié: 03 mai 2010, 09:56:09 pm par Jacques »