Bienvenue, Invité. Merci de vous connecter ou de vous inscrire.
Avez-vous perdu votre e-mail d'activation ?

28 avril 2024, 09:05:30 pm

Login with username, password and session length

Shoutbox

Membres
Stats
  • Total des messages: 5084
  • Total des sujets: 2368
  • En ligne aujourd'hui: 81
  • Record de connexion total: 138
  • (14 novembre 2018, 09:31:35 pm)
Membres en ligne
Membres: 0
Invités: 93
Total: 93

Auteur Sujet: Premier bilan positif du dépistage précoce du cancer de la prostate dans les  (Lu 1364 fois)

JacquesL

  • Administrateur
  • Membre Héroïque
  • *****
  • Messages: 4 595
Citer
Le premier bilan positif du dépistage précoce du cancer de la prostate dans les commissariats

du Rédacteur Suprême

En réaction aux critiques injustifiées récemment émises à l'encontre des "procédures normales" de garde à vue, Michèle Alliot-Marie a convoqué la presse bien désinformée ce matin pour présenter le bilan "très positif" de la campagne nationale de dépistage du cancer de la prostate dans les commissariats. La ministre de l'intérieur intervenait avec sa collègue Roselyne Bachelot, co-sponsor du plan de prévention des risques sanitaires, et aussi avec Adolphe-Benito Dubonchoix, conseiller gouvernemental pour les politiques humaines.

* * *

Lors de sa conférence de presse, la ministre de l'intérieur et du profond a défendu avec vigueur les mises en garde à vue encadrées par les "procédures normales". La politique initiée par son prédécesseur Nicolas Sarkozy, "le plus grand ministre de l'intérieur depuis Georges Clemenceau", a selon elle apporté "plus de sécurité et plus de prévention des risques". Les statistiques du temps consacré à la délinquance dans le JT de 20h de TF1, en baisse depuis plusieurs années, ont permis à la ministre de prouver l'efficacité des procédures.

Roselyne Bachelot a exposé quant à elle le volet "sanitaire" des gardes à vue : "une fouille à corps, ce n'est pas seulement une mesure de précaution en application des procédures normales, c'est un acte de prévention essentiel pour le dépistage du cancer de la prostate".

Les deux ministres ont ensuite analysé ensemble le bilan chiffré de ces actions de préventions essentielles : "grâce à la fouille à corps, le cancer de la prostate recule !", s'appuyant sur une étude de l'INSERM révélant les dizaines de dépistages précoces avérées sur le demi-million de gardes à vue annuelles.

Les femmes ne sont pas oubliées puisque la palpation a permis de dépister "de nombreux" fibromes et autres grosseurs suspectes au niveau des seins des suspectes.

Michèle Alliot-Marie a aussi évoqué l'importance de l'apport de la fouille à corps dans la gestion des ressources humaines policières : "grâce au partenariat noué avec le ministère de la santé, nous offrons de réelles perspectives de progression dans leur carrière aux policiers méritants". Détecter les prémices du cancer de la prostate nécessite en effet une formation que les membres des forces de l'ordre n'avaient pas nécessairement au début de leurs carrières. "Nous rendons possibles de véritables perspectives d'évolution professionnelle aux policiers qui pratiquent désormais la fouille au corps avec une méthodologie et une ouverture réelle vers l'écoute des prévenus", s'est félicitée la locataire de la place Beauvau.

Cette conférence de presse bien désinformée a été conclue par Adolphe-Benito Dubonchoix qui a souligné que malgré les avancées réalisées dans la fouille à corps, il reste des progrès à accomplir pour "une meilleure couverture des risques en particulier en élargissant la cible des mises en garde à vue". Les populations contrôlées sont en effet plus jeunes que la moyenne nationale : "il faudra en 2009 mettre en garde à vue des profils plus âgés pour mieux contrôler les risques de cancer de la prostate sur les populations les plus risquées".

 
http://www.desinformations.com/article.php?_a_id=1128