La suite de la pratique oblige à distinguer entre les pathologies dues à de simples secrets de famille, et celles provoquées par la participation à des crimes de famille. Participer à des crimes de famille, produit des pathologies autrement plus lourdes.
Par exemple, je n'ai pas encore de preuves que les simples secrets de famille produisent une forte demande en fautes de raisonnement, alors que la répression sur les secrets, ce terrorisme intime et familial, peut fort bien en produire. Là où des secrets de famille ont l'action la plus toxique sur les générations suivantes, est quand ils suscitent une demande perpétuelle en fautes de raisonnements, pour continuer à ne pas savoir et à ne pas comprendre.
Exemple de pathologie due à un simple secret de famille, Georges Rémi, qui signait Hergé :Le psychanalyste Serge Tisseron, en examinant de près "
Le secret de la Licorne", et "
Le temple du Soleil", les détails biographiques du chevalier de Hadoque, les traits uniques de la Castafiore (toujours avec son Air des bijoux) et des Dupont & Dupond, le château de Moulinsard, avait conclu qu'il y avait là la trace d'un secret de famille, qui était mis en scène par Hergé. L'ouverture des archives biographiques l'a entièrement confirmé depuis. La grand-mère Marie Dewigne (= Castafiore), servante dans un château, avait été engrossée par un membre de la famille royale de Belgique. Les jumeaux (Alexis et Léon = Dupont et Dupond) ont toujours été incapables de résoudre le mystère de leur origine. Toxicité modérée dans cet exemple, car le petit-fils, Hergé, n'a rien perdu de sa curiosité d'enfant, ni de son esprit d'aventure. Les aventures de Tintin et Milou, de Jo et Zette et Jocko, de Quick et Flupke sont bel et bien passionnantes.
http://www.psychologies.com/Famille/Relations-familiales/Parents/Articles-et-Dossiers/Les-secrets-de-famille-ils-pesent-sur-notre-destin/Serge-Tisseron-a-decouvert-le-secret-de-HergeLa différence avec les cas dramatiques, est que le secret des "Rémi" était un secret non criminel, juste de convenance sexuelle. Ce n'était pas un crime que ces amours nobiliaires-ancillaires, juste une faute sociale. Il semble bien qu'il y ait eu des conséquences dramatiques non négligeables sur la vie intime d'Hergé : sa relation impossible à la paternité. Impossibilité de paternité physique, incapacité à se choisir une compagne qui soit son égale, en relation d'égalité entre adultes. Incapacité à partager la paternité symbolique de son oeuvre avec ses collaborateurs, à qui il faisait redessiner des albums, tels que "
L'île Noire". Longues périodes de sombre dépression, aussi.
Je suis hélas le témoin privilégié de la dégringolade pathologique de mes propres enfants, à partir de l'âge où ils ont été
recrutés comme aide-bourreaux par leur mère.
Il n'est pas temps de conter cela en détail - de nombreux traits ont déjà été publiés, par exemple à
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/La_separation_d_un_enfant.html ou à
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Parricides_enfants_instrumentalises.html -, et ce sera surtout à eux de conter le détail, quand ils commenceront à guérir de la pathologie commandée et de la séduction par la corruption, mais je ne serai plus là pour le voir.
A la place, examinons plus en détail les endommagements psychiques produits dans un groupuscule devenu depuis hégémonique, par la complicité obligatoire envers les actes commis par Niels Bohr contre Erwin Schrödinger et Louis Victor de Broglie dans les années 1926 et 1927. Pourquoi ? Parce que là au moins les actes sont publics, bien documentés, et que tous les acteurs du temps sont décédés ; la parole est donc légalement libre, quoique dans les faits elle demeure toujours violemment réprimée par les héritiers du groupuscule d'alors ; ils ne reculent devant aucune violence pour préserver aux yeux du public leur secret de famille, un secret criminel.
Le crime dont on n'a toujours pas fini de payer les conséquences très cher, est l'éradication de deux fondateurs de la physique quantique, ou ondulatoire, Louis Victor de Broglie et Erwin Schrödinger, par des moyens fort déloyaux. Détails à
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?topic=1141.0 :
Les procédés employés par Niels Bohr pour vaincre Erwin Schrödinger ?Depuis ce coup d'état au congrès Solvay de 1927, le groupuscule victorieux est devenu hégémonique, et l'on enseigne des oxymorons sans queue ni tête dans toutes les universités. Ça n'a pas sauté, car au moins le formalisme est correct ; c'est la sémantique obligatoire qui marche sur la tête, et qui coûte un prix fou, par sa totale absurdité.
Au lieu d'avoir été élaborée dans les années 1927-1930, ce qui eût été le cours normal d'un développement scientifique, la solution correcte n'a été élaborée qu'en 1986 par John Cramer, sous le nom de
Transactionnal Interpretation of Quantum Mechanics (TIQM). Un retard aussi énorme est complètement anormal.
Liens :
http://mist.npl.washington.edu/tiqm/ :
The Transactional Interpretation of Quantum Mechanics. John G. Cramer
http://mist.npl.washington.edu/npl/int_rep/gat_80/ :
Generalized absorber theory and the Einstein-Podolsky-Rosen paradox. John G. Cramer.
http://mist.npl.washington.edu/npl/int_rep/ti_over/ti_over.html :
An Overview of the Transactional Interpretation. J. G. Cramer.
Nous sommes du reste plusieurs à l'avoir redécouverte indépendamment, ignorants du travail des autres. Cette redécouverte était inéluctable, par l'abondance des faits expérimentaux incompatibles avec les idéations hégémoniques. Et on peut en discuter avec des
groupies du dogme hégémonique ?
Non. Nous sommes couverts d'insultes, de campagnes de calomnies, et de bannissements.
Ce groupuscule devenu hégémonique est resté gouverné par les secrets de ses crimes initiaux, persiste à exiger des fautes de raisonnement monumentales. Il est devenu une église. Ça nous coûte un prix fou.
Après éradication de Louis de Broglie, ils s'ingénient à dénier le caractère cyclique de tout quanton :
http://deonto-ethics.org/mediawiki/index.php?title=Fr%C3%A9quence_intrins%C3%A8que_inobservable%2C_donc_impensable_%3FOr seule la formulation relativiste des équations fait apparaître la fréquence intrinsèque, broglienne, de tout quanton doté de masse. Seule la formulation relativiste permet de constater que la quantique, ou mécanique ondulatoire, n'est rien de plus que la prolongation du principe de Fermat, qui date du 17e siècle. Pierre de Fermat l'a énoncé en 1657 mais n'a soumis son mémoire,
Synthèse pour les réfractions qu'en 1662.
Voilà un exemple typique de la pathologie induite par la participation à des crimes de famille - ici crime de groupuscule, la cour de Niels Bohr, et dans une moindre mesure de Werner Heisenberg, qui visaient avant tout le pouvoir et l'hégémonie.
Exemple du délire produit par cette participation au délire de groupe :
Discussion complète à :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?topic=887.0On a d'autres exemples, d'origines typiquement familiales, de personnalités publiques particulièrement nocives, aux pathologies perverses simultanément dépendantes des crimes familiaux en usage dans leurs familles d'origine, et modelées sur des idéologies perverses qu'elles ont trouvé dans l'air du temps. On a aussi des exemples de leurs fraudes, utilisées pour asseoir leur pouvoir.
Exemple typique de ces enfants élevés en bourreaux, qui restent bourreaux toute leur vie, trop lâches, trop couards pour refuser l'héritage familial, de pratiques criminelles :
http://deonto-ethics.org/impostures/index.php/board,9.0.htmlD'abord
une citation, qu'on va transposer ensuite :
" Ne pas révéler un secret de famille à nos enfants, c’est les condamner à répéter les fautes de leurs ancêtres ", affirme Didier Dumas, psychanalyste d’obédience doltoïenne. Comment expliquer que nos descendants continuent d’être influencés par des faits dont ils n’ont pas connaissance ? " Il faut savoir que l’inconscient est transgénérationnel, explique le psychanalyste. L’enfant se construit par identification, c’est-à-dire en dupliquant littéralement l’inconscient de ses parents, avec son lot de représentations mais aussi de trous formés autour d’une absence de parole, de questions laissées sans réponse ou de secrets traumatiques. " Ce que Didier Dumas, à la suite de Nicolas Abraham, appelle " fantôme ", c’est ce non-savoir qui hante et agit les esprits qu’il habite. " Le non-savoir nous condamne à nous heurter aux mêmes difficultés que nos parents ou grands-parents, et à ne pas pouvoir les dépasser. Seule la parole peut nous délivrer d’un fantôme.
Fin de citation.
Et transposition pour le secret de famille de la physique théorique, depuis 1927 :
Ne pas révéler un secret de famille à nos étudiants, c’est les condamner à répéter les fautes de leurs professeurs, et des professeurs de leurs professeurs. En régime du secret honteux, nos étudiants continuent d’être influencés par des faits dont ils n’ont pas connaissance. L'inconscient est transgénérationnel. Chacun se construit par identifications successives, c’est-à-dire en dupliquant l’inconscient de ses aînés, avec son lot de représentations mais aussi de trous formés autour d’une absence de parole, de questions laissées sans réponse, de secrets traumatiques, et des violences de juge-et-partie pratiquées par ces professeurs compromis. Ce que certains appellent "
fantôme ", c’est ce non-savoir obligatoire, ces fautes de raisonnements obligatoires et préfabriquées, qui hantent et paralysent les esprits qu’il habite. Le caractère obligatoire du non-savoir nous condamne à nous heurter aux mêmes difficultés que nos aînés, et à ne pas pouvoir les dépasser. La liberté de parole n'existant pas, les fantômes des crimes du passé gardent la réalité du pouvoir.