Citation de desinformations.com
> http://www.desinformations.com/article.php?_a_id=1068
> ...
> Julien va raconter son épreuve et comment il tente de recouvrer sa
> dignité, dans un livre, puis un téléfilm qui sera diffusé (après le
> procès) sur TF1 dans le courant de l'année 2009.
C'est curieux, cet histrionisme me rappelle quelqu'un, mais qui ?
Hé parbleu, c'est ma fille aînée, que ça me rappelle, à l'époque où
elle était engagée corps et âme dans la mission parricide que lui
avait assignée sa mère, et où elle tentait tous les coups pour
reprendre tout le pouvoir sur sa commanditaire, et en tirer toujours
plus de sous : "
Vous m'avez détruite, et je vous ferai payer jusqu'à
la fin de vos jours !". Cette corruption au long cours lui tenait lieu
de personnalité, et la dispensait de tout travail scolaire.
Aux dernières nouvelles, le chantage lui rapportait toujours gros,
auprès de sa commanditaire.
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/au_viol2.htg/secret_1991.gifhttp://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/au_viol2.htg/1994_superieure.gifextraits de
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/au_viol2.htmlAutres aveux intéressants car écrits, à :
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Fam_Lavau/proteger_criminalite_feminine.htmlCitation :
> ... "va te faire foutre pauvre con, tu
> n'es qu'un ringard ; dans même pas deux ans, je gagnerai trois fois
> plus que toi". ...
Oui, oui, ça aussi, elle l'a fait, donner des leçons à crédit, se
vanter que dans pas longtemps elle gagnerait plus d'argent que père et
mère, qu'elle les ferait divorcer, et qu'elle assurerait seule
l'éducation de son petit frère (qui n'avait pas loin de seize ans) et
de sa petite soeur... Elle l'a fait, été 1994.
Ce qu'on peut reprocher à l'apologue écrit par desinformations.com,
est qu'il ne met en scène que des parents d'élèves ripoux, qui se
trouvent facilement des complices à l'extérieur. Il n'envisage pas le
cas où c'est le proviseur ripoux qui organise l'hallali au prof, en
truandant les naïfs parents d'élèves qu'il manipule. Il est vrai qu'il
faut le voir pour le croire, tant c'est monstrueux et inimaginable.
Mais à "
Nagoumari" (là où l'on fait des "
nagouts" que les gourmands
connaissent dans l'Europe entière), et au Rectorat, la réalité dépasse
amplement toutes les fictions.
Autrement oui, l'apologue me rappelle bien soit des parents d'élèves
incrédules devant les preuves de la fraude de leur fils (une mère
maghrébine notamment, incapable de se départir de son adoration
pour son fils), soit des demandes de complicité de parents contre des
profs, formulées par de très mauvais élèves, bénéficiant de corruption
d'origine parentale, et cherchant à étendre le bénéfice de leur
corruption, en particulier pour se dispenser définitivement de tout
travail scolaire.