http://pagesperso-orange.fr/jpdesm/pentagon/francais.htmlJean-Pierre Desmoulins fait là l'analyse de loin la plus détaillée et documentée que j'aie lue.
Dans les versions successives de ce site, j'essaye de formuler plusieurs hypothèses sur le crash du pentagone le 11 septembre 2001, en présentant un certain nombre de matériaux disponibles et leur analyse. La couverture de l'événement et la désinformation est évidente. La thèse officielle du suicide du pirate Hani Hanjour aux commandes d'un Boeing 757 qui aurait frappé la façade du Pentagone dans un vol horizontal parfait ne tient pas. Alors, que s'est il passé réellement ? Ce site tente de mettre en évidence quelques portes cadenassées et d'imaginer ce qui peut se cacher derrière.
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Pentagone le 11 / 9 / 2001 : la fraude ! [Comment naviguer dans ce site] [Comment naviguer dans ce site]
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L'attaque du Pentagone le 11 septembre 2001 a eu moins d'impact sur les esprits que les attaques des deux tours du World Trade Center à New York. Les raisons sont multiples :
* Il y a eu quinze fois moins de victimes à Washington qu'à New York.
* La couverture de l'événement par les medias a été beaucoup moins spectaculaire. En particulier il n'y a quasiment pas d'image de l'avion s'écrasant sur le pentagone, alors qu'il y en a profusion pour les deux tours du WTC.
* Le pentagone est une cible militaire. Son attaque s'apparente plus à un acte de guerre que l'attaque de bâtiments civils qui relève du concept de "terrorisme".
* Les officiels américains ainsi que les medias ont été plus portés à médiatiser les attaques de New York, plus payantes en termes idéologiques, que l'attaque contre un bâtiment militaire dans la capitale du pays, qui fait poser beaucoup de questions sur l'efficacité du dispositif de défense protégeant ce centre vital des Etats Unis.
La manière dont les attaques ont été menées à leur terme à New York, et notamment l'impossibilité pour l'US air force d'intercepter les deux avions attaquants, peut s'expliquer de manière rationnelle, sans faire appel à l'idée de conspiration ou de couverture de l'événement. Par contre les deux crash des vols 93 (près de Pittsburg) et 77 (sur le pentagone), si on les analyse dans les détails, laissent entrevoir de nombreuses questions sans réponse et appellent, naturellement, à la réflexion sur l'éventualité d'une conspiration et/ou d'une couverture de ces événements. Si une telle hypothèse était vraie, il serait donc logique que l'on assiste à un verrouillage des informations sur ces sujets, aussi bien de la part des officiels américains que des médias qui s'autocensurent sur des problèmes sensibles de ce type. On a vu ce phénomène pour l'enquête sur le vol TWA 800, mais cela n'est pas nouveau : il y a trente ans, le vol Paris-Nice d'Air Inter avait été abattu par un missile tiré depuis le centre d'essai de l'île du Levant, et l'affaire avait bel et bien été étouffée.
Ce qui m'a motivé à m'intéresser à l'attaque du Pentagone relève d'un enchaînement de circonstances.
* Début mars 2002, peu après la publication d'un article dans le N? 127 de la "Lettre d'information" d'Emanuel Ratier, ainsi que la publication sur internet de la première version du site web d'Amigaphil, Thierry Meyssan, journaliste d'investigation, fondateur et animateur du "Réseau Voltaire", publie un livre titré "L'effroyable imposture". Les analyses contenues dans la lettre d'Emanuel Ratier et dans le livre de Meyssan, étant les premières publiées, manquent nettement de recul et sont plus basées sur des impressions que sur des faits objectifs. La critique se fait donc virulente, aussi bien de la part des anglo-saxons que de la part des médias français. J'assiste personnellement à une interview de l'auteur à la télévision et l'attitude des journalistes me déçoit fortement : j'attendais un débat sur un certain nombre de questions techniques et précises que le livre soulevait, et j'assiste à une curée médiatique contre un individu, sur des questions qui n'ont rien à voir avec le contenu du livre, ce qui me choque.
* En février 2002, le site web "asile-citoyens.org", dont le webmaster est le fils de Thierry Meyssan, publie une série de photos sur une page titrée "Hunt the Boeing", reprenant certains des arguments du livre de son père, tendant à montrer qu'il n'y a pas eu de crash d'un Boeing sur le Pentagone. Cette page a un énorme impact sur les internautes américains. En effet, le livre de Meyssan n'est pas encore traduit en anglais, et ce petit site est la première publication en anglais d'un doute sur la version officielle.
* Comme pour démentir les assertions de ce site et le livre de Meyssan, une série de photos est donnée en mars 2002 à Associated Press. Le Washington Post et la chaîne CBS, qui les publient, précisent qu'elles émanent du département de la défense, et ont été prises par la caméra de sécurité qui se trouve dans la guérite de contrôle à l'entrée du parking nord du Pentagone. On voit sur ces photos ce qu'on peut interpréter comme l'arrrivée d'un avion et son explosion sur la façade du Pentagone.
* Thierry Meyssan publie en juillet 2002 un second livre sur le 11 septembre 2001, titré "Le Pentagate", se concentrant sur l'attaque du Pentagone. Le livre contient de nombreuses analyses, mais met en évidence deux faits :
1. La scène de l'extérieur du Pentagone ne ressemble pas à la scène du crash d'un avion de ligne.
2. L'explosion que l'on voit sur les photos de la caméra de surveillance a été provoquée par un explosif solide et non par l'impact de l'avion et de son carburant sur le bâtiment.
* Les médias se déchainent à nouveau contre Thierry Meyssan et, comme lors de la publication de son premier livre, éludent les questions posées pour discréditer le personnage du journaliste lui-même.
* Les rares hommes politiques français qui s'aventurent à prendre position, ne serait-ce que pour dire qu'il y a des bizarreries dans cette affaire et qu'il convient de faire une enquête sérieuse, tels Alain Lipietz du parti vert, reçoivent de la part de certains de leurs amis politiques une volée de bois vert. Je dois dire que, connaissant un peu les positions politiques d'Alain Lipietz, l'entendre traiter de faciste ou d'antisémite est pour moi quelque chose de totalement grotesque et, une fois de plus, complètement en dehors de la problématique. Je commence alors à penser que les medias et l'establishment politique tentent d'imposer au public, dont je fais partie, une "pensée unique".
La photo ci-dessous, une des premières prises après le crash, avec sa mise en situation (en jaune les bords de la photo, en violet la trajectoire de l'avion) est en couverture du livre "Le Pentagate". Meyssan argumente que l'on devrait avoir beaucoup plus de dégâts sur la façade, que la pelouse aurait dû être endommagée de manière spectaculaire par le crash et qu'elle devrait être jonchée de gros débris.
La photo ci-dessous, la troisième de la série publiée par Associated Press, montre l'explosion de l'avion contre le mur du Pentagone. Pierre-Henri BUNEL, un expert militaire français, qui a rédigé un chapitre du livre de Thierry Meyssan en commentaire de cette photo, explique pourquoi cette explosion est due à une bombe et non au kérozène contenu dans les réservoirs d'un avion de ligne.
Le travail de Thierry Meyssan et surtout les réactions que la publication de ses livres a suscitées m'ont poussé à mener mes propres investigations.
Résumé au galop :
Les images de la caméra de surveillance ont été trafiquées. Suppression de la plupart des images, notamment toutes celles qui ont enregistré l'avion. Un infographiste a ajouté la fumée attribuée à un réacteur, et ajouté la tache prétendue être la dérive.
Les dégats en façade sont compatibles avec un Boeing 737, et avec un 757.
Mais pas du tout les dégâts à l'intérieur, ni le coup de chalumeau qui a percé le 6e mur extérieur. La caméra de surveillance a bien enregistré l'explosion d'une bombe, les sismographes aussi, et les nombreux témoins militaires ailleurs dans le bâtiment.
Jean-Pierre Desmoulins conclut à une charge militaire dans la soute de l'avion. Lui insiste sur un perforateur perce-bunker en uranium appauvri, et donne de nombreux indices. Eric Bart préfère une charge creuse, une grosse...
La trajectoire, reconstituée par compilation détaillée de tous les témoignages, est étonnamment basse et diffiile, par exemple avec évitement acrobatique de l'hôtel Sheraton. Une trajectoire bien plus simple, droite et un peu plus haute, peut-être à la portée de Hani Hanjour, aboutit directement dans le bureau de Donald Rumsfeld, ce qui n'aurait pas fait les affaire du dit Donald Rumsfeld. Tandis que la trajectoire choisie est à la portée d'un pilotage électronique, et présentait quelques avantages :
- Suppression de la tête du renseignement de la Navy, convoquée justement dans une salle du rez-de-chaussée à l'endroit percuté.
- Suppression du pilote du Boeing, témoin et expert gênant s'il eût été en vie, Charles Burlingame.
DEBUT :
Beaucoup de faits, hors des circonstances de l'attaque du pentagone elle-même laissent penser que les attaques du 11/9 étaient prévues et qu'une énorme opération de verrouillage a eu lieu, incluant le vote par le parlement américain du "patriot act". Le scenario construit à partir des faits decrits ci-dessus, de mes réflexions, incluant la manière dont j'ai personnellement vécu cette journée du 11 septembre, est basé sur les prémisses suivants (voir détails des horaires).
1. Ben Laden a préparé une attaque dans laquelle quatre avions seront détournés.
2. Les officiels américains sont prévenus de cette attaque, par plusieurs sources, la plus sérieuse étant le ministre des affaires étrangères des talibans, qui voulait ainsi ouvrir une négociation avec les Etats Unis.
3. Il est décidé de laisser cette attaque se dérouler, tout en essayant de limiter les pertes en vies humaines, afin de créer un choc psychologique sur la population américaine et de créer les conditions nécessaires à l'ouverture d'un conflit au moyen orient.
4. Le Boeing 757 du vol 77 a été préparé. Il est chargé avec une bombe à uranium appauvri, ou une bombe composite de type Broach, placée dans le compartiment à bagages.
5. Le 11 septembre, quatre avions sont détournés en même temps. Ce détournement peut être réalisé réellement par des terroristes d'Al Quaida ou bien être fait de manière électronique en utilisant une technologie de contrôle à distance, ou encore une combinaison de ces deux hypothèses (voir plus bas).
6. Conformément aux procedures, le NORAD reçoit l'information du FAA.
7. Un avion détourné heurte la première tour du WTC. Dans le quart d'heure qui suit, tout le monde a l'information : je l'ai reçue en France sur mon lieu de travail, la femme d'un collègue ayant reçu un mail d'une personne qui regardait CNN aux USA, et ayant téléphoné à son mari.
8. Un second avion détourné heurte la seconde tour du WTC. Tout le monde à ce moment là, y compris les français qui suivent les événements en direct sur internet, sait que cela n'est pas un accident mais une attaque.
9. Le NORAD, qui évidemment avait au moins la même information que le public en France, est d'une certaine manière verrouillé par la conspiration.
A partir de là, trois options sont possibles, développées séparément ci-dessous.
Option 1 (MIHOP 3) : Le scenario du détournement électronique pur
Ce scenario se déroule de la manière suivante :
1. Le Boeing 757 du vol 77 a été préparé. On l'a équipé d'un système de pilotage à distance,
2. Un C 130 vole dans les environs, avec le pilote de cet appareil télécommandé à son bord. Il suit de près cet avion, prenant en charge la dernière partie de la trajectoire sur un écran video.
3. La video manquant un peu de résolution, alors que la vitesse de l'avion à plein gaz augmente, il ne voit pas les poteaux d'éclairage public dans la zone du carrefour entre les autoroutes 27 et 244, et les touche. Le choc n'est pas destructif pour l'avion mais tord les poteaux et en arrache certains de leur support, l'avion manquant probablement de peu de s'écraser dans la pelouse avant le pentagone. Le pilote parvient toutefois à stabiliser la trajectoire.
4. Au moment de l'impact, le C 130 dégage et s'éloigne de l'explosion.
Option 2 (LIHOP) : Le scenario du détournement humain
Ce scenario se déroule de la manière suivante :
1. L'avion est détourné par Hani Hanjour et ses complices, dirigé vers Washington DC.
2. Hani Hanjour voudrait s'écraser sur la maison blanche, mais il est trop haut lorsqu'il arrive sur la ville pour reconnaître sa cible et piquer sur elle.
3. Il fait un virage serré pour revenir sur le centre de la ville. Etant peu habile, il perd de l'altitude durant ce virage, et se trouve si près du sol vers la fin, peut être ébloui lorsqu'il se dirige face au soleil levant, qu'il manque de peu de s'écraser avant d'avoir vu sa cible.
4. Il comprend qu'il ne sera pas capable de frapper la maison blanche, mais juste en face de lui se trouve le pentagone, bâtiment énorme avec une forme caractéristique.
5. Il met les gaz à fond, criant "Allah ou akbar", et se concentre sur le pilotage de son avion pour le diriger droit sur le bas de la façade du pentagone.
6. Il ne voit pas les lampadaires au carrefour des routes 27 et 244. Le 757, lancé presque à pleine vitesse, tord certains lampadaires et en arrache d'autres de leur support, le poids et la vitesse de l'appareil le maintenant sur sa trajectoire.
Option 3 (HIHOP) : Le scenario de "l'exercice anti-détournement"
1. Les autorités US, averties du détournement multiple planifié par Al Qaeda, decident d'expérimenter une nouvelle technologie qui permet de prendre le contrôle à distance d'un avion détourné et de le ramener au sol en toute sécurité.
2. Les pilotes des vols sont avertis de l'opération. Charles Burlingame, le pilote du vol 77, est choisi pour avoir participé à quelques opérations secrètes, et pour avoir participé en tant qu'expert à l'analyse du scénario du crash d'un avion de ligne sur un bâtiment cible.
3. Quelques huiles et certains experts des des sociétés qui ont travaillé sur les technologies anti-détournement s'enregistrent sur les vols, probablement poussés à le faire pour montrer qu'ils croient dans leur technologie.
4. Charles Burlingame, qui avait projeté d'assister à un match de baseball à Anaheim, en Californie, avec son épouse Sheri, lui dit de ne pas embarquer avec lui sur le vol 77. Son frère Brad, qui rapporte ce fait, dit qu'il a expliqué qu'il n'avait pas pu obtenir une bonne place pour le match.
5. Hani Hanjour et son équipe détournent le vol 77. Peut être de manière soft, puisque le commandant de bord et quelques passagers savent que cela va se produire. Peut être de manière hard, si certains gros bras de l'équipe de pirates perdent leurs nerfs et veulent faire couler du sang pour contrôler les passagers par la terreur.
6. Le scénario se continue, l'avion (comme les deux autres des vols 11 et 175) est mis sous contrôle électronique. Un C130 de la Navy, embarque les équipements de contrôle à distance et le "pilote". L'opération est supervisée par une équipe du renseignement de la Navy, depuis un local situé au rez de chaussée de l'aile Ouest du Pentagone.
7. Le système de défense aérien est mis délibérément en stand-down, probablement en simulant un dysfonctionnement bureaucratique, à moins que cela ne fasse partie d'un exercice planifié à l'avance, et cela pour que l'expérience puisse se dérouler.
8. A bord de l'avion, Hani Hanjour découvre que l'avion n'est plus sous son contrôle, et se voit probablement informer par le commandant que l'avion est maintenant sous contrôle à distance, et qu'ils n'ont plus qu'à attendre que l'avion soit au sol pour discuter, calmement, avec les autorités, qui seront indulgentes avec les pirates si aucun mal n'est fait aux passagers.
9. Charles Burlingame et Hani Hanjour, peut être tous deux dans le cockpit, et ne comprenant ni l'un ni l'autre ce qui se passe, voient leur avion foncer sur le Pentagone pour s'y écraser.
10. La bombe embarquée dans l'avion explose. L'équipe du renseignement de la Navy, dans le Pentagone, est détruite par l'explosion de la charge creuse, le pénétrateur à uranium apauvri, les débris de l'avion et l'incendie du bâtiment.
11. Puisque l'opération est un plein succès pour les trois premières frappes, dans des scénarios identiques, il est décidé de stopper le vol 93 (qui devait s'écraser sur le Capitole), et il est descendu. Cela pourrait être par un missile tiré par avion (un jet d'affaires banalisé) qui le suivait, ou bien, ainsi que le rapporte le Col. Donn de Grand-Pre, par deux missiles "sidewinders" tiré par un chasseur des "Happy Hooligans", une patrouille de chasse sur F 16 de la "North Dakota Air Guard".
12. Le crime est presque parfait, puisque les "acteurs innocents" (ceux qui ont développé la technologie et étaient engagés dans l'expérience, à bord de l'avion ou à l'intérieur du Pentagone) sont tués en même temps que les victimes des attaques, et ne viendront donc pas expliquer qu'il s'agissait d'une expérience détournée.
Fin
1. Le 757 frappe le bâtiment presque à pleine vitesse, disons plus de 700 km/h, s'encastre dans la façade qu'il détruit partiellement, alors que certaines parties de l'avion rebondissent vers l'extérieur à grande distance du point d'impact.
2. La charge creuse, la masse d'uranium appauvri et peut-être l'énergie de certaines pièces lourdes (réacteurs) pulvérisent certaines structures du bâtiment.
3. La charge d'uranium continue sa course sur son inertie, explose lentement et s'enrobe d'un plasma qui lui permet de perforer les murs et les planchers, détruisant des piliers et faisant le trou de sortie "punch out" dans le mur de l'anneau C.
4. A l'exception de certaines pièces lourdes (moteurs, trains d'atterrissage), l'avion est complètement pulvérisé, réduit à une pluie de confettis d'aluminium diront certains témoins pour les parties qui ont rebondi vers l'extérieur du bâtiment, transformé en poudre blanche (alumine) par l'effet du système sprinkler pour la partie de l'appareil qui a pénétré dans le bâtiment.
5. Des bizarreries dans les témoignages, la couverture évidente des éléments du crash par les autorités, poussent le journaliste français Thierry Meyssan à publier ses livres "L'effroyable imposture" puis "Le Pentagate". Le site web "Hunt the Boeing" a un gros succès auprès des internautes, posant la question du crash d'un 757.
6. Les autorités américaines (FBI, DOD, CIA, OSP ?) répondent de la pire des manières possibles aux questions soulevées par Meyssan : par des images falsifiées, d'abord de la caméra de sécurité du parking du Pentagone, ensuite de certains débris montrant des "lettres rouges" et supposées provenir du logo "American" du 757.
7. Les infographistes qui ont falsifié ces images et les officiels qui leur ont commandé le travail ont des compétences limitées aux images 2D. La troisième dimension est inaccessible à leur cerveau. La fraude peut être prouvée en raisonnant sur la topographie, la perspective et l'analyse géométrique.
8. Ceci ruine la thèse officielle du crash purement "civil" d'un Boeing 757. Vu qu'il est probable que l'avion est bien un 757, il reste comme hypothèse valide qu'il transportait une charge militaire.
Arguments pour ce scenario
* Il correspond bien aux témoignages : certains témoins ont dit avoir vu un 757.
* La position des moteurs par rapport à l'axe de l'avion correspond exactement aux dégâts constatés sur la clôture grillagée, le groupe électrogène, le muret de protection de la structure de ventilation.
* Les dommages sur le bâtiment correspondent à la taille d'un 757 si les ailes se sont bien repliées pendant le crash, comme certains témoins le confirment.
* L'explosion, comme on la voit sur la video, et ses effets sur le bâtiment ne peut résulter du crash lui même : une bombe dans la soute à bagages est l'explication la plus probable à ce qu'on voit sur la video de surveillance et aux dégâts que l'on constate.
* L'explosion de la bombe aurait soufflé la queue de l'appareil, l'empéchant de frapper la façade au dessus de la zone d'impact du fuselage, laissant les fenêtres du deuxième étage intactes.
* Certains dégâts à l'intérieur du bâtiment, limités dans leur emprise à une zone étroite parfaitement alignée entre le point d'impact et le trou de sortie "punch out", avec des effets dévastateurs, les bizarreries des rapports des ingénieurs en génie civil sur les dégâts dans le Pentagone, les photos prises de ces dégâts, la présence de déchets d'uranium dans l'atmosphère de Washington dans les jours qui ont suivi, témoignent de la présence d'un "pénétrateur" en uranium appauvri dans l'avion attaquant.
* Il était nécessaire de traffiquer la video originale de la caméra de surveillance du Pentagone, laquelle montrait probablement plusieurs images de l'avion au moment du crash, avec des effets qui ne laissaient que peu de doute sur l'existence d'une explosion interne à l'appareil (queue et autres débris soufflés, ...).
Arguments contre ce scenario
En dehors de quelques arguments techniques (type de bombe utilisé, absence de témoignage précis sur la position de la queue de l'appareil), les principaux arguments contre un tel scenario sont :
* Le fait que le gouvernement des Etats Unis d'Amérique puisse laisser tuer des milliers de citoyens de ce pays pour organiser une opération de propagande est incroyable.
* Le fait que cette opération de propagande aurait inclus l'attaque du centre de commandement des armées du pays avec une bombe à uranium est incroyable.
* Le fait qu'une bombe, probablement d'un type "anti-bunker" sophistiquée, ait pu être placée dans le compartiment à bagages d'un avion de ligne sur l'aeroport de Washington Dulles avant le décollage est incroyable.
* Le fait que la première puissance militaire, économique et technologique du monde, confrontée à un problème de communication sur un thème sensible, décide de réaliser des faux et fasse appel pour cela à un ou des infographistes amateurs ne maîtrisant pas l'intégration de leur travail dans la topographie des lieux, commettant des fautes de géométrie dans l'espace, est incroyable.
Il y a trop de choses incroyables... comme dans le film "The Matrix", le mieux est de prendre la pilule bleue et tout cela va juste disparaître de la réalité. Ou alors, il faut avoir plus d'information pour lever ces doutes. Ces informations existent : les boites noires et les restes de l'avion, les videos, d'autres photos prises à l'intérieur du Pentagone, ... !
Nouveau. Decembre 2006. La fille du commandant Charles Burlingame, Wendy, meurt dans son appartement en feu, aprés avoir été enfermée à l'intérieur par son compagnon. Rapporté par Newsday (05/12/06) et le by NY Times (06/12/06). Un fait divers triste et bizarre. Rien à en dire de plus avant de connaître les conclusions de l'enquête.