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Auteur Sujet: Arte 29 janvier: retour sur la tragédie de Jonestown (930 morts)  (Lu 1282 fois)

JacquesL

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http://www.arte.tv/fr/semaine/244,broadcastingNum=818039,day=4,week=5,year=2008.html

mardi, 29 janvier 2008 à 21:00
ARTE.TV



Rediffusions :
Pas de rediffusion




Jonestown
(Etats-Unis, 2006, 90mn)

Réalisateur: Stanley Nelson


Comment une communauté chrétienne aux idéaux humanistes a cédé au suicide collectif sous l'influence de son gourou. Retour sur l'une des plus grandes tragédies du monde sectaire, avec des témoignages et des archives inédites.



18 novembre 1978. Juste après avoir inspecté Jonestown, la colonie de la secte du Temple du Peuple créée de toute pièce au coeur de la forêt guyanaise par Jim Jones, le député américain Leo Ryan et les deux journalistes qui l'accompagnent sont assassinés. Trois jours plus tard, alors que l'armée guyanaise investit le camp, on découvre les corps inanimés de neuf cent quatorze adeptes, dont deux cents enfants. Comment une communauté réunie au départ autour d'un projet généreux et humaniste a-t-elle pu basculer dans le suicide collectif ? De la création de sa première église, à Indianapolis en 1956, à la dérive démentielle et totalitaire de son gourou charismatique, le documentaire revient sur l'histoire du Temple du Peuple en s'appuyant sur les témoignages des survivants, des archives inédites tournées en super-huit par les adeptes et des enregistrements sonores des prêches de Jim Jones, dont son ultime et funeste appel au suicide.







INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES



Du paradis à l'enfer
Prêche, fêtes et chants collectifs, voyage prosélyte en bus, vie quotidienne à Jonestown... Retrouvés après le suicide collectif, les "films de familles" tournés par les adeptes et les bandes sonores des prêches de Jim Jones fournissent une matière inédite et cruellement réelle pour retracer le destin de la secte. Des documents dont la tonalité paradisiaque va peu à peu se ternir, comme le racontent les survivants - souvent émouvants. Tel un rêve qui vire au cauchemar, le film décrit, étape par étape, comment l'idée généreuse et progressiste d'une communauté interraciale et solidaire a basculé dans la tragédie par la folie d'un seul homme. Passée de quatre-vingts à mille membres en à peine une année - 1967 -, la congrégation installée en Californie offre à son chef une aura et un pouvoir grandissants auprès des politiques. Une autorité qui monte bientôt à la tête de Jim Jones : de plus en plus paranoïaque, alors que se multiplient les rumeurs de tortures, viols et malversations autour de la secte, il fuit les États-Unis et enferme son "peuple" à Jonestown, cité qui sera pour la plupart leur dernière demeure. Seule une centaine d'adeptes, ayant refusé de boire le poison proposé par leur gourou, échapperont à la tragédie. On les retrouvera errant dans la jungle.




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PS: quand la tragédie a eu lieu, les services secrets (Guardian Office) de la  secte criminelle scientologie ont immédiatement accusé la CIA d'avoir provoqué ce suicide/assassinat en masse. Pour eux, ce n'est jamais la faute des sectes et des patamédecines si les gens meurent et se suicident ou deviennent de dangereux gourous pédophiles et/ou psychopathes comme pour Waco (86 morts) ou la secte des Dix commandements en Ouganda (1000 morts) et d'autres...

Information fournie par Roger Gonnet.
« Modifié: 13 janvier 2008, 01:55:11 am par Jacques »