Bonjour,
Je m'appelle Catherine et j'ai beaucoup de chance ici : je suis la première à m'inscrire sous ce prénom tellement usité ! Donc j'en profite.
Je m'intéresse vivement à la psychologie depuis mon adolescence et depuis quelques années à ces notions de : "perversité narcissique", paranoïa... et autres psychoses souvent orientées vers la nuisance à autrui.
Pour l'instant mes sources documentaires sont plutôt limitées :
"Parents toxiques" de Suzan Forward
"Les gens du mensonge" de Scott Peck
Les ouvrages d'Isabel Nazaré Aga et, bien évidemment, de Marie-France Hirigoyen.
Ce site m'apporte des informations et pistes de réflexion intéressantes.
C'est la maltraitance et le harcèlement dont j'ai fait l'objet durant mon enfance par mon frère, puis à l'adolescence par la femme de celui-ci (paranoïa partagée semble-t-il). Mes recherches m'ont orientée à diagnostiquer un terrain paranoïaque chez mon frère et "pervers histrionique" chez ma belle-soeur. L'une utilisant l'autre comme son bras armé pour nuire à l'ensemble de ma famille (mes parents en ont fait les frais jusqu'à la mort de mon père survenue il y a juste un mois aujourd'hui, ma mère reste seule, consentante entre leurs griffes... terriblement naïve aussi), mais aussi à des personnes extérieures à la famille, d'après quelques informations récoltées. Aussi, un nombre de suicides (suspects ?) assez anormal a été observé dans l'entourage amical et professionnel de cette personne... insaisissable évidemment.
Je n'expose ici qu'un résumé très succint des méfaits de ces gens et de l'iceberg colossal caché sous ces quelques mots. Comme toujours avec ces êtres vides d'humanité, l'imbroglio est extrêmement complexe, les techniques de brouillage raffinées et les cibles choisies pour leurs qualités : plus on est plein, dense, riche intérieurement et plus on intéresse ces êtres creux, avides de l'énergie de leurs proies. Ce sont des escrocs de l'âme, des vampires de l'esprit...
Les professionnels de la psychologie et de la psychiatrie sont d'une incurie monstre à leur sujet et leur discours nuisible à son tour, sinon pervers. Par un retournement adroit de la relation des faits, la victime devient consentante sinon complaisante voire tenue pour responsable des nuisances... Kafkaïen, digne des pires années noires du stalinisme. Schizogène. Terrible que des professionnels censés aider leurs patients et agir dans l'intérêt de ceux qui souffrent en viennent à accuser les victimes. Maintenant, ceux-là, je les ai repérés, j'ai appris, et je commence à réagir dès que ces discours dangereux réapparaissent. Je ne laisse plus faire. On retrouve ces discours tordus jusque dans la cour des écoles où les enfants maltraités par leurs petits camarades se voient refuser l'aide des adultes sous le prétexte qu'ils doivent "apprendre à gérer" eux-mêmes l'altérité : où va-t-on ? Si même les enfants ne peuvent plus compter sur les adultes pour les protéger des agressions d'autres enfants ?! Ce poison idéologique pourrit toute les couches de notre société.
Pour mieux me présenter, je m'appelle réellement Catherine, j'ai 46 ans, 3 enfants, je vis maritalement avec le père de mon 3e enfant.
Mes centres d'intérêt sont :
La peinture, l'art contemporain, l'architecture et l'histoire de l'art.
Les sciences humaines, la psychologie, Jung, la symbolique et l'astrologie humaniste.
Les zèbres, c'est à dire enfants dits "précoces" et les adultes dits "ex-précoces". La gestion des problèmes inhérents à la surefficience intellectuelle (névroses et psychopathologies incluses).
Les champignons.
Et mille choses encore, ce qui m'a souvent valu d'être accusée de "touchatoutisme" forcené, mais j'assume maintenant (il m'a fallu du temps !).
Professionnellement, je suis une paria puisqu'artiste peintre et astrologue : des métiers réprouvés, suspects ou pitoyables selon les circonstances, au même titre que péripatéticienne, pâtissière, sorcière ou psychanalyste (on met tout le monde dans le même sac, on secoue et on obtient des transformations à caractère alchimique fort intéressantes pour ceux qui veulent bien s'y intéresser).
J'aime bien faire la cuisine aussi.
La vie est belle !
Cordialement,
Catherine.
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