Rien qu'a voir la réforme scolaire au québec et tout le débat autour du bulletin. Sur papier, sur le moment ça parait bien, mais en réalité nous somme en train de enfants qui seront tout croches.
L'autre raison est la monté du feminisme dans les millieu de l'éducation. Prenez justement la reforme et les histoires de faut pas choqué les élèves avec des notes, la compétition c'et pas bon pour un enfant et le nombre de garçon qui se font donnez du ritalin. L'école n'est plus faite pour les garçons. Les programmes d'aide s'adresse aux filles, les garçon on les gèle. Un petite pillule et hop, plus de problème. Cela se réflete sur les matières mais aussi sur la façon d'enseignez. Mes prof feminin m'ont toujours enseignez en disant c'est comme ca parceque c'est comme ca. Jamais d'explication valide. Mes profs masculins en majorité eux expliquait pourquoi les choses était comme elle l'était. UN exemple tout simple. Mes cours d'économie familliale. on faisait de la bouffe et la prof nous montre qu'il faut "brassé" tel crème de tel ou tel façon (Battre, fouetté, brassé ect). J'ai beau lui demandé pendant la moitié du our, pourquoi? Qu'est-ce que cela change que je fouette celle-ci et batte celle-la, ca reponse a toujours été parceque c'est comme cela que cela se fait. Aucune raison valide. Ce n'est que lorsque j'ai travaillez en cuisine que le chef m'a appris le pourquoi. C'est au niveau chimique que la transformation opère, et l'apport d'air est différent selon les techniques de melangeage
Les profs feminin ont de la misère avec la logique. Les femmes ont plus de facilité avec ce qui est appris par coeur. Les garçons c'est le contraire. J'ai jamais pus retenir mes tables de multiplication tant que je n'avais pas compris pourquoi 2x3=6. J'ai l'impression que c'est pour cela qu'au niveau de l'enseignement de moins en moins de philo, psycho, de création sont donné. C'est pas des cours ou l'on peu apprendre les chose par coeur, il faut travaillez avec sa logique, sa déduction.
Dommage, l'orthographe de Jonathan Lavoie, je corrigerai si je trouve le temps. Mais fort pécis sur le conformisme borné qui domine de nombreuses professeures. Y compris à l'université.
http://www.politiquebec.com/forum/viewtopic.php?t=22121Mâles ou femelles n'enseignent pas du tout la même chose.
Je ne parlerai pas de mixité d'élèves, car je ne l'ai connue que comme parent d'élèves.
Je parlerai de la grosse différence entre un enseignement féminin, et un enseignement masculin, tels que je les ai rencontrés la plupart du temps. Bien sûr, il y a des exceptions, on arrive toujours à en trouver une pour racheter les autres.
Mon biais personnel ? Il y en a deux.
Créatif, je jauge la formation à la créativité, au savoir poser les questions auxquelles on n'a pas encore de réponses.
Bouc émissaire, souffre-douleurs tout au long des classes primaires, je suis naturellement sévère envers le conformisme et la lâcheté. J'en ai trop souffert.
Je trouve les profs femmes beaucoup plus conformistes, obsédées de place dans la hiérarchie sociale, voire socialement cyniques. Elles sont souvent plus disciplinées, voire mieux organisées, mais anxieuses, et punitives envers l'esprit d'aventure et d'exploration masculins.
Parmi les combles du cynisme :
Une prof d'histoire de ma fille aînée, leur fait partager son mépris : "De toutes façons, des guerres, la seule chose à retenir, c'est qui l'a gagnée !". Bin wi quoi ! Savoir repérer à coup sûr le vainqueur, celui qui rapporte vraiment quand on ôte sa culotte avec...
L'équipage de Swordfish qui a placé sa torpille au but sur le croiseur Pola, et a gagné la bataille du cap Matapan, ne mérite aucune considération féminine, puisqu'il en est mort ! L'équipage de Swordfish qui a atteint le gouvernail du Bismarck non plus, puisque son grade et sa solde de survivant, etc. etc... Zéro reconnaissance envers les sacrifiés à qui nous devons tant.
Les profs femmes ont appris pour passer leurs examens et grimper dans la hiérarchie sociale, et surtout pas pour vérifier quoi est faux, ni quoi n'est peut-être pas faux, de peur que ça les mette en conflit avec les chefs et le consensus, et nuise à leur ascension sociale. La curiosité scientifique, elles s'en foutent.
Elles enseignent toutes la même chose : rien que des trucs 100% socialisés et consensuels, sans souci de vérifier l'exactitude expérimentale. Ne comptez pas sur un prof femme pour vous signaler que le consensus est contraire aux faits expérimentaux.
Ne comptez pas trop sur une professeure pour vous signaler qu'un fait enseigné n'est pas encore établi, que la théorie est encore mal fichue et nécessite encore du travail. Plus encore qu'un mâle, la prof est addicte de la relation inégale dans l'enseignement, et cramponnée à ses certitudes, même si leur base est inexistante.
Seul le prof mâle prend le risque d'accepter un défi à la pétanque (il a perdu), ou au foute.
Exceptions bien sûr : Florence Vidal nous a fait deux ou trois leçons de créativité au CNAM (Proverbe final : Respectez vos minoritaires ! Ceux qui inventent ne sont pas nécessairement les plus beaux ni les plus puissants).
Exceptions toujours : Michèle M., prof de physique nucléaire, ne tremblait pas à dire que la masse du neutrino était une question non précisée, affaire à suivre.
Trois exceptions encore, l'une à chimiste à l'IUFM, l'autre en Quantique à Lyon 2, toutes deux lectrices attentives et précises d'un minoritaire. La troisième au L.P. de hmmm, "Nagoumari". Et ? C'est presque tout.
Ce n'est pas pour autant un brevet de courage et d'originalité que je délivre soudain à leurs collègues mâles dans leur généralité, loin s'en faut. Des pusillanimes, il y en a. Il y a aussi davantage de savants fous mâles. En sciences exactes, je ne connais même que des mâles parmi les savants fous.
Et pas tous en raison d'un esprit d'aventure excessif, en revanche toujours par vanité exacerbée. Les femmes délirantes, théoriciennes paranoïaques, ne sont pas en sciences exactes, mais en religion ou en ésotérisme. Ou en féminisme, parbleu !
Par ailleurs, l'évolution historique de l'ensemble des étudiants, et de l'ensemble du corps professoral sur trente ou quarante ans, voire plus si je pouvais me fier aux récits paternels, me semble être allée vers plus de conformisme, moins d'esprit d'exploration, moins de capacités à croiser des techniques et des cultures horizontalement. Une féminisation mentale, même des mâles. Une castration intellectuelle, et pas au sens de l'Affreux Do (la secte freudienne, pour les moins intimes), mais bien selon le sens commun.
Impression subjective, impossible à chiffrer.
...
Allez, une exception à la généralité statistique :
Nous avions trois profs portant le même nom de famille dans l'enseignement de maîtrise de physique, à l'université Lyon 1, Claude Bernard. Deux étaient mari et femme. En physique nucléaire, Michèle était nettement plus audacieuse intellectuellement, plus indépendante et ouverte aux autres que son mari, homme un peu conformiste, un peu pusillanime, "tubé". Mais très honnête. Personne n'a tous les défauts simultanément.
Le cancer ne pardonne pas, et génétiquement, nous sommes tous inégaux. Michèle n'avait pas la phénoménale résistance aux rayonnements ionisants de Marie Sklodowska, veuve Curie.
Ah oui, j'allais oublier : Michèle M. n'était pas militante de la misandrie, mais physicienne.