L'information initiale venait de Andy Kirkpatrick, à l'adresse
https://andy-kirkpatrick.com/blog/view/stay_alive_when_it_all_goes_to_shit: ”
stay alive when it all goes to shit”.
C'est à dire les trucs de la survie quand tout va de travers. "
Bivy Bag: The Blizzard bag is a great alternative to a breathable or tin foil bivy bag, as it provides a huge increase in protection and warmth, and is probably the minimum you’d want for winter bivys.".
Le site du fabricant au pays de Galles :
http://www.blizzardsurvival.com/product.php/100/blizzard-survival-bagEt pour le tube biplace :
http://www.blizzardsurvival.com/article.php/5/blizzard-survival-tube mais il semble que le fabricant ne le propose plus, et ne donne plus de prix.
La technologie comprent trois feuilles réflexives successives réunies par des élastiques. La plus externe est étanche, les deux internes sont microporeuses, et il faudra sécher l'espace intersticiel à fond après usage.
Toutefois chez un revendeur autrichien (
medical SCA), ce tube et ce sac de survie étaient soldés, aux prix HT de 29 € et 25,75 €, dans leur première version, argent à l'extérieur. La moins vendable, mais de loin la plus efficace.
Le tube, annoncé pour 540 g. Il me semble qu'avec ça, un guide aurait sauvé la vie de sa cliente, morte de froid dans le trou de neige où ils étaient réfugiés.
Le sac de couchage, annoncé pour 350 g :
Le sac est étroit, annoncé vers 78 cm de largeur maxi, et pour toutes les photos de secourisme ou d'usage militaire pour évacuer un blessé, l'accent est mis de préférence sur des couvertures que l'on referme longitudinalement, plus ou moins perfectionnées.
La mauvaise surprise est la TVA plus le port : prix final 82,40 €.
La bonne surprise est que le vendeur a ajouté en plus le gilet-haume de survie, toujours en version argentée, la plus ancienne, sans aucun semblant de manche.
Répartissons les prix : le gilet-haume me revient à 24 €,
Le sac de couchage individuel à 27,50 €,
Le tube biplace à 30,90 €.
Chacun vient dans un emballage sous vide en polyéthylène.
Le gilet avec deux emballages : 240 g.
Un seul emballage : 230 g.
Déballé : 213 g.
C'est stocké sous vide depuis des années, et déplier cela est une longue bataille, où l'on se demande quand on aura le dessus.
Quand enfin on a réussi le déploiement, et qu'on l'enfile, on a vite la tête au chaud, et les bras au frais, par comparaison avec le torse.
Pour ma taille, ça descend à mi-cuisse. On peut à la rigueur laisser les bras à l'intérieur, mais faire la tortue en ramenant ses genoux à l'intérieur me semble du domaine du rêve. Surtout avec les genoux de mon âge.
Ce haume est rigide et bruyant, la meurtrière de vision est étroite, l'activité résiduelle possible est réduite. C'est bien de la survie, en usage exceptionnel.