Personnellement, ce personnage m'est très antipathique. Mais j'ai un mal fou à dire pourquoi, excepté son rôle politique en faveur d'une ou plusieurs sectes, dont la catho, sa licence de théologie, etc. Son projet “confier” la mémoire d’un enfant juif victime de la Shoah à chaque élève de CM2, est simplement monstrueux. Instrumentaliser chaque enfant pour en faire un robot à propagande politique, j'ai déjà connu ça chez les cathos et scouts cathos de Grenoble. Plus jamais ça ! Aucune mère saine d'esprit, aucun père sain d'esprit n'accepterait ça.
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L'obsession totale de la conquête et de l'exercice du pouvoir politique.
Et envoie ses notes aux autres collaborateurs de l'Elysée par mail à 4 ou 5 h du matin.
Bon voilà, j'ai trouvé pourquoi cette femme me fait clignoter au rouge tous les signaux du danger, sur toutes ses photos ou vidéos :
Ce sont les lèvres, amincies et en retrait derrière le menton.
Presque le même signal physique m'avait déjà mis en alerte : les lèvres en retrait derrière le menton mafflu de la candidate Marie-Anne Isler Béguin. Sous couleurs faisant semblant de défendre quelque cause valable, ce que nous avions sous les yeux n'était qu'un monstre froid, calculant comment conquérir le pouvoir. Son slogan de campagne "
Changez de Marianne !", particulièrement égocentrique, prenait ouvertement les électeurs pour des crétins.
Entre temps j'avais assisté éberlué à la transformation physique du visage de ma très charmante épouse, quand elle est ré-entrée en paranoïa à 100 % (soit à partir de la rentrée 1996, quand elle a trouvé la femme de sa vie), et ne cachait même plus ses projets meurtriers : lèvres amincies en couperet, petit liseret retranché derrière les gencives et les dents.
Quelle peut bien être la validité de cette "
morphopsychologie" empirique et spontanée ? L'hypothèse inhérente aux écrits des "
morphopsychologues" est que le phénotype est entièrement déterminé par des conditions développementales. Hypothèse manifestement fausse : personne n'est maître du génotype dont il hérite. Les contre-exemples ne sont peut-être pas majoritaires, mais significatifs.
Les évolutions hormonales de chacun et surtout de chacune étant notables au cours de la vie, faut-il prendre toutes les jeunes femmes aux lèvres turgescentes pour "bonnes", et toutes les vieillissantes à la peau amincie pour des "méchantes" ? Le raccourci serait évidemment abusif. Et pourtant l'humeur et ses troubles sont bien sous la dépendance du cocktail endocrinien sécrété par la personne. L'entrée en désamour, la crise de despotisme de vieillissement, et l'entrée en paranoïa sont de grandes oubliées des études neuro-endocrines. C'est déplorable car le besoin demeure, et reste criant.
Toutes ces réserves faites, je maintiens ma totale défiance envers les deux individus politiques mentionnés ci-dessus. De plus, trente-quatre ans de mariage m'ont durement appris qu'une femme qui ne baise pas, ou le plus mal possible et le plus rarement possible, qui ne jouit pas, et qui ne songe qu'au pouvoir, qu'au pouvoir, qu'au pouvoir, est une femme dangereuse.
Evidemment qu'il y a bien d'autres monstres froids, en politique :
D'autres tentent de faire passer le message sous forme humoristique, à prendre au sérieux :