Et voici la criminalisation inverse :
http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/10-000-%E2%82%AC-de-dommages-et-interets-pour-ne-pas-avoir-fait-lamour-a-son-ex-femme10 000 € de dommages et intérêts pour ne pas avoir fait l'amour à son ex-femme
Publié le lundi 05 septembre 2011 à 16H00
L'affaire, que Le Parisien vient de relater, remonte à 2009. Mais elle est suffisamment cocasse pour que l'on ne résiste pas à l'envie de la rapporter à notre tour. Selon le quotidien, un Niçois aujourd'hui âgé de 51 ans a été condamné en mai 2009 par la cour d'appel d'Aix-en-Provence à verser 10 000 € de dommages et intérêts à son ex-femme pour... "absence de relations sexuelles pendant plusieurs années". Car avoir des rapports sexuels avec son mari ou sa femme est un devoir conjugal inscrit dans le Code civil.
Peu importe l'érosion des sentiments, la fatigue ou la maladie. Le divorcé a avancé toutes ces justifications en vain. Cinq mois plus tôt, le juge aux affaires familiales de Nice avait prononcé le divorce du couple "aux torts exclusifs de l'époux".
Et dans la zone payante du Parisien :
http://www.leparisien.fr/abo-vivremieux/condamne-pour-ne-pas-avoir-assez-fait-l-amour-a-sa-femme-03-09-2011-1590507.php
JUGEMENT
Condamné pour ne pas avoir assez fait l’amour à sa femme
Un divorce de deux Niçois a été prononcé aux « torts exclusifs de l’époux ». Jean-Louis a même été condamné à verser 10000 € à son ex-femme pour « absence de relations sexuelles pendant plusieurs années ».
Catherine Lagrange | 03/09/2011, 07:00 | Mise à jour : 05:50
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Après vingt et un ans de vie commune et deux beaux enfants, Jean-Louis et Monique ont décidé de divorcer. Jusque-là, rien de très original. Voilà même un mariage qui a fait preuve d’une certaine...
Les mecs, vous avez du mal à comprendre ce que sont les relations sexuelles du point de vue de votre propriétaire légitime :
Du point de vue de la propriétaire légitime,
c'est trop haut et c'est trop bas,
c'est trop chaud et c'est trop froid,
c'est trop vite et c'est trop lent,
c'est trop doux et c'est trop dur,
c'est trop long et c'est trop bref,
c'est trop contracté et c'est trop décontracté,
c'est trop tard et c'est trop tôt,
c'est trop mâle et c'est trop efféminé,
...
c'est trop ... et c'est trop ...,
et surtout ça ne rapporte pas assez de pognon.
En revanche, en amours adultérines, ça marche du tonnerre, grâce à la jouissance sadique de bafouer le cocu. C'est ça qui est jouissif !
Un exemple dans Le Monde :
http://www.lemonde.fr/week-end/article/2011/09/02/qu-est-ce-qu-etre-pere_1566087_1477893.html"Marié et papa d'une fille de bientôt 10 ans, j'ai découvert il y a deux ans que je n'étais pas son concepteur. J'ai beaucoup souffert avant de finir par me rallier à l'évidence : je suis sans contestation possible son père. Nous avons expliqué à notre fille cet état de fait.
Aujourd'hui la maman décide de quitter notre foyer pour se rapprocher du géniteur avec lequel elle a renoué. Elle n'exclut pas à terme de se mettre en ménage avec ce garçon et envisage d'élever notre fille au sein de ce nouveau foyer.
J’ai énormément d'appréhensions. Beaucoup d'angoisse. J'ai peur que cette situation complexe soit génératrice de désordres chez notre fille et ne lui permette pas de se construire correctement.
Si je ne doute pas que je resterai à jamais son seul et unique père, l'apparition de son père biologique avec qui elle risque de passer le plus gros de son temps ne risque-t-il pas de la perturber ? N'y a-t-il pas de risque qu'elle finisse par penser qu'elle est le fruit d'une erreur, qu'elle soit tiraillée entre deux affections paternelles, qu'elle se trouve plongée dans un conflit de loyauté insurmontable, que l'image d'elle-même qu'elle est en train de construire soit ternie par tout cela ? Bref, que cette situation lui soit préjudiciable ?"
Et puis c'est bien fait pour sa yeule, à ce type-là, il n'avait qu'à ne pas être le mâle, non mais sans blagues !