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Auteur Sujet: Violence en meute, féminine :  (Lu 1085 fois)

JacquesL

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Violence en meute, féminine :
« le: 01 avril 2011, 03:08:56 pm »
Violence en meute, féminine :
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/nice-les-sauvageonnes-rattrapees-par-la-justice

http://www.nicematin.com/print/484064?title=Nice%3A%20les%20%26quot%3Bsauvageonnes%26quot%3B%20rattrap%C3%A9es%20par%20la%20justice

Citer
Nice: les "sauvageonnes" rattrapées par la justice
Par Christophe Cirone (ccirone@nicematin.fr)
Créé le 03/31/2011 - 09:14

« Elles se déplacent en bande et repèrent une proie. L’une d’elles s’avance vers celle-ci pour lui demander l’heure. La victime sort son téléphone, sans imaginer ce qui l’attend. C’est un Blackberry ? Alors les filles attaquent. Elles la frappent et piquent son portable. »

« Elles », à savoir les « Ghetto youth ». Une bande de gamines, violentes et en perte totale de repères, qui semait la panique depuis des mois dans les quartiers Est de Nice [1]. Ce témoignage d’un agent de l’Education nationale, basé sur des récits de victimes, laisse entrevoir le mode opératoire de cette bande à présent démantelée. Une première s’agissant de filles sur la Côte d’Azur.

« Une famille »

Un portable. Un appareil multimédia. Mais aussi un simple regard de travers ou une tenue vestimentaire pas à leur goût. Il n’en fallait pas plus à la « Ghetto youth » pour passer à l’action. La Sûreté départementale, qui a interpellé dix jeunes suspects au saut du lit (neuf mardi, un hier), leur impute au bas mot 21 agressions. Et sans doute plus encore, certaines victimes n’ayant pas déposé plainte.
Des faits particulièrement inquiétants, s’agissant de gosses âgés de 13 à 16 ans. 12 ans, même, pour celle arrêtée hier. A ce stade, les policiers niçois ont placé en garde à vue huit filles et deux garçons, après deux mois d’une enquête qui aura mobilisé une trentaine de fonctionnaires. Une enquête toujours en cours, du reste, avec en toile de fond le plan national anti-bandes. Pour l’heure, trois gamines doivent s’expliquer ce matin devant la justice niçoise.

Ces « sauvageonnes », ainsi que les ont rebaptisées les policiers, se sont particulièrement “ illustrées ” lors d’agressions qui ont valu à certaines victimes une ITT (interruption totale de travail). « Elles mettent des grosses bagues ou des clés entre les doigts pour frapper. Parfois un gant avec une pierre dedans », affirme Lola*, une de leurs « copines ».

D’après elle, le nom « Ghetto youth » s’inspirerait des garçons, des « grands », dont ces gamines issues de quartiers sensibles (Bon-Voyage et l’Ariane) auraient suivi le mauvais exemple. « Pour elles, c’est une deuxième famille. Il n’y a rien de prévu. Elles savent juste qu’elles vont se battre quand elles partent en ville. A présent, elles cherchent même plus à parler. Elles frappent direct ! Elles sont pas mauvaises, au fond. Ça les amuse... »

Agressions filmées

Terrible amusement, partagé via Facebook où elles postaient les vidéos de leurs « exploits ». Si la police conteste le fait qu’elles aient utilisé des armes, un enquêteur s’avoue « atterré » par leur comportement. « Prises isolément, ce sont des lâches, juste décérébrées et insolentes. Mais elles recherchent la domination, entraînées par l’effet de groupe et un gros manque d’éducation... »

Quelles solutions pour recadrer de si jeunes délinquantes ? Aux magistrats d’en décider à présent. Hormis les trois filles déférées au parquet ce matin, les autres suspects ont été remis en liberté. Trois d’entre eux vont être mis en examen. La justice convoquera les quatre autres ultérieurement.
 
*Le prénom a été modifié.
Photos / vidéos
Auteur : (Photo C. C.)
Légende : D’après cette « copine » de la bande, celle-ci incarnerait une « deuxième famille » pour des gamines adeptes d’une violence volontiers gratuite, qui tissaient leurs liens et diffusaient leurs “ exploits ” via Facebook.
Visuel 1:

URL source: http://www.nicematin.com/article/faits-divers/nice-les-sauvageonnes-rattrapees-par-la-justice

Liens:
[1] http://www.nicematin.com/article/cote-dazur/nice-les-gamines-semaient-la-terreur

La puissance de la meute et leur sadisme leur servaient d'apparence de courage.

Les féminazies des .hyènesdeGuerre ou de SOS-Sexism, ou de sisyphe.org n'agissent pas autrement : la violence de meute et le sadisme, sous couleur de "Nous sommes toutes victimes et devons nous venger !"
L'une d'elles exigeait 11 500 euros de rançon, en récompense de ses flots d'insultes :
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=23&Itemid=46
Elle a perdu.