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Auteur Sujet: 100 personnalités contestent la version officielle du 11 septembre  (Lu 11298 fois)

JacquesL

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Posté le 08/09/2005 09:41:59
http://www.voltairenet.org/article15354.html#article15354

100 personnalités contestent la version officielle du 11 septembre


Un an et demi après la publication de L’Effroyable imposture, le doute sur les attentats du 11 septembre 2001 atteint les États-Unis. 40 % des New-Yorkais pensent que l’administration Bush était informée à l’avance, mais a délibérément laissé commettre les attentats. 100 personnalités états-uniennes de tous horizons, dont les candidats libertarien et écologiste à l’élection présidentielle, récusent le récent rapport de la Commission présidentielle et demandent la réouverture de l’enquête. 40 membres de familles de victimes déposeront demain une plainte pénale devant le procureur général de New York de manière à ce que les citoyens puissent prendre le contrôle d’une enquête jusqu’ici verrouillée par l’administration Bush.



100 personnalités états-uniennes et 40 membres des familles des victimes du 11 septembre 2001 ont annoncé aujourd’hui la publication d’une Déclaration pour la vérité sur le 11 septembre, un appel pour une enquête immédiate sur les indices qui suggèrent que des responsables haut placés du gouvernement ont pu laisser délibérément perpétrer les attaques du 11 septembre. Un an et demi après la publication par Thierry Meyssan de L’Effroyable imposture et du Pentagate, un sondage Zogby, réalisé le 31 août, établit que près de 50 % des New-Yorkais pensent que le gouvernement était au courant et a « consciemment échoué à agir » et que 66 % d’entre eux sont insatisfaits du rapport de la Commission présidentielle et réclament une nouvelle enquête sur le 11 septembre.

Centrée sur 12 questions, la déclaration souligne des indices accablants qui ont été improprement examinés ou ignorés par la Commission Kean, allant des délits d’initiés et financements des pirates de l’air aux avertissements de gouvernements étrangers en passant par les systèmes de défense inactifs autour du Pentagone. La déclaration demande quatre actions :
- le lancement immédiat d’une enquête par le procureur général Eliot Spitzer,
- des auditions parlementaires,
- des analyses médiatiques
- et la constitution d’une commission d’enquête indépendante et citoyenne.

La liste des signataires de la déclaration inclut des personnalités de l’ensemble du spectre politique, tels que les candidats aux présidentielles Ralph Nader et Michael Badnarik, des notables tels que David Cobb et Catherine Austin Fitts, membre de la première administration Bush, ainsi que des vétérans de l’administration tels que Daniel Ellsberg, l’ancien haut fonctionnaire du Pentagone qui révéla les mensonges ayant conduit à la guerre du Vietnam, et l’analyste de la CIA à la retraite Ray McGovern. Parmi les signataires figurent également des activistes pacifistes tels que la co-fondatrice de Code Pink Jodie Evans et Kevin Danaher de Global Exchange, l’ancien ambassadeur des États-Unis et chef de mission en Irak Edward L. Peck ; des environnementalistes comme Randy Hayes et John Robbins ; des chefs d’entreprise tels que Paul Hawken et Karl Schwartz, Pdg de Patmos Nanotechnologies, ainsi que le journaliste populaire Ronnie Dugger ou encore la journaliste d’investigation réputée Kelly Patricia O’Meara.

La déclaration est également soutenue par 43 écrivains reconnus, dont l’auteur du best-seller n°1 du New York Times, John Gray, ainsi que par 18 éminents professeurs, historiens et théologiens. Y figurent par ailleurs d’autres personnalités telles que Cynthia McKinney, la parlementaire de Géorgie élue cinq fois, les chanteurs Michelle Shocked et Michael Franti et les acteurs Ed Asner et Mimi Kennedy.

La déclaration a été rendue possible grâce à 911truth.org.


La Déclaration

Nous voulons de vraies réponses sur le 11 septembre

Le 31 août 2004, Zogby International, l’institut officiel de sondages nord-américain de Reuters, a publié les résultats d’une étude montrant que pratiquement la moitié (49 %) des résidents de la ville de New York et 41 % des résidents de l’État de New York pensent que les dirigeants états-uniens avaient une connaissance préalable de l’imminence des attaques du 11 septembre et ont « consciemment échoué » à agir. Parmi les résidents de la ville de New York, 66 % ont demandé un nouvel examen par le Congrès ou le procureur général de New York des questions laissées sans réponse.

Suite à ces informations, nous avons rassemblé 100 personnalités états-uniennes et 40 membres des familles de ceux qui sont morts pour signer cette déclaration sur le 11 septembre, demandant un examen public immédiat des questions laissées sans réponse. Ces dernières suggèrent que des personnes de l’administration actuelle auraient effectivement laissé délibérément les attaques du 11 septembre se produire, peut-être comme prétexte pour la guerre.

Nous demandons des réponses sincères à des questions comme :

1. Pourquoi les procédures opérationnelles standard en cas de détournement d’avion de ligne n’ont-elles pas été respectées ce jour-là ?

2. Pourquoi les batteries de missiles et défenses anti-aériennes officiellement déployées autour du Pentagone n’ont-elles pas été activées lors de l’attaque ?

3. Pourquoi les Services secrets ont-ils autorisé M. Bush à poursuivre sa visite de l’école primaire, sans manifestement se préoccuper de sa sécurité ni de celle des écoliers ?

4. Comment se fait-il qu’absolument personne n’ait été licencié, sanctionné ou condamné pour l’incompétence totale constatée ce jour-là ?

5. Pourquoi les autorités aux États-Unis et à l’étranger n’ont-elles pas publié les résultats de plusieurs enquêtes portant sur les transactions financières qui suggéraient une connaissance préalable de détails spécifiques sur les attaques du 11 septembre, ayant engendré des dizaines de millions de dollars de bénéfices retraçables ?

6. Pourquoi Sibel Edmonds, une ancienne traductrice du FBI qui affirme avoir pris connaissance de mises-en-garde préalables, a-t-elle été publiquement réduite au silence par une injonction judiciaire, sur requête du procureur général Ashcroft et accordée par un juge nommé par Bush ?

7. Comment le vol 77, qui officiellement a percuté le Pentagone, aurait-il pu faire demi-tour et voler en direction de Washington D.C. pendant 40 minutes sans être détecté par les radars de la FAA (Federal Aviation Agency), ni les radars encore plus puissant de l’armée états-unienne ?

8. Comment le FBI et la CIA ont-ils été en mesure de publier les noms et photos des pirates de l’air présumés en l’espace de quelques heures, ainsi qu’inspecter les maisons, restaurants et écoles d’aviation dont on savait qu’ils les fréquentaient ?

9. Qu’est-il advenu des plus de 20 avertissements documentés transmis à notre gouvernement par 14 agences de renseignement ou chefs d’États étrangers ?

10. Pourquoi l’administration Bush a-t-elle étouffé le fait que le patron des services de renseignement pakistanais était à Washington durant la semaine du 11 septembre, et a selon des sources versé 100 000 dollars sur le compte de Mohammed Atta, qui est considéré comme le chef des pirates de l’air ?

11. Pourquoi la commission du 11 septembre a-t-elle échoué à traiter la plupart des questions posées par les familles des victimes, en plus de pratiquement toutes les questions posées ici ?

12. Pourquoi Philip Zelikow a-t-il été choisi comme directeur exécutif de la Commission soit-disant indépendante, malgré le fait qu’il a co-écrit un livre avec Condoleezza Rice ?

Ceux qui demandent une enquête plus approfondie se comptent dorénavant par centaines de milliers, avec parmi eux une ancienne membre de la première administration Bush, un colonel de l’U.S. Air Force à la retraite, un parlementaire européen, des familles de victimes, des auteurs très respectés, des journalistes d’investigation, des leaders activistes pour la paix et la justice, des anciens employés du Pentagone et le Parti des Verts états-unien.

En tant que citoyens états-uniens, nous demandons quatre choses :

- 1. L’ouverture immédiate d’une enquête par le procureur général de New York Eliot Spitzer.
- 2. Des investigations immédiates sous la forme d’auditions parlementaires.
- 3. Une couverture médiatique pour examiner et enquêter sur les indices.
- 4. La constitution d’une initiative d’enquête citoyenne véritablement indépendante.

Étant donnée l’importance des élections à venir, nous pensons qu’il est impératif que ces questions soient traitées publiquement, honnêtement et rigoureusement afin que les États-uniens puissent exercer leurs droits démocratiques en toute connaissance de cause.

Pour finir, nous espérons et nous louons une approche sage et compassionnelle de ce sujet pour que nous puissions cicatriser les blessures infligées en ce jour terrible.


Signataires

Note : Toutes les organisations sont nommées uniquement dans un but d’identification. Les personnes individuelles ont signé cette déclaration en leur propre âme et conscience, non pas pour signifier le soutien de leur organisation.

1. Virginia Deane Abernethy, anthropologue, auteur de Population Politics.
2. Ed Asner, acteur, militant.
3. Marshall Auerback, analyste financier international pour David W. Tice & Associates, Inc.
4. Catherine Austin Fitts, assistante du secrétaire au Logement de la première administratin Bush.
5. Keidi Obi Awadu, animateur de The Conscious Rasta, émission de LIBRadio.
6. Michael Badnarik, candidat du Parti libertarien à la présidence des Etats-Unis.
7. Byron Belitsos, éditeur (Origin Press), auteur de Planetary Democracy.
8. Philip J. Berg, ancien procureur général adjoint de Pennsylvanie.
9. Medea Benjamin, militant, co-fondateur de Global Exchange et de Code Pink.
10. Dennis Bernstein, journaliste d’investigation, animateur de l’émission Flashpoint sur KPFA.
11. Steve Bhaerman dit Swami Beyondananda, écrivain, comédien.
12. Brad Blanton, psychothérapeute, auteur de Radical Honesty.
13. Saniel Bonder, auteur de Great Relief.
14. Dr. Robert Bowman, lieutenant-colonel (cr) de l’US Air Force, fondateur de l’Institute for Space and Security Studies
15. John Buchanan, écrivain, candidat aux primaires républicaines de l’élection présidentielle 2004.
16. Gray Brechin, écrivain, historien de l’environnement, professeur à l’université de Berkeley.
17. Fred Burks, interprète présidentiel pour Bush, Clinton, Cheney et Gore .
18. Norma Carr-Rufino, écrivain, professeur de management à l’université d’État de San Francisco.
19. Angana Chatterji, professeur d’anthropologie.
20. Paul Cienfuegos, co-fondateur de Democracy Unlimited of Humboldt County.
21. David Cobb, avocat, candidat à la présidence du Parti des Verts US.
22. John Cobb, Ph.D., théologien, co-auteur de For the Common Good.
23. Ernest Callenbach, fondateur et directeur de la revue Film Quarterly, auteur de Ecotopia
24. Kevin Danaher, écrivain, co-fondateur de Global Exchange.
25. Stephen Dinan, auteur de Radical Spirit.
26. Ronnie Dugger, journaliste et écrivain, co-fondateur de l’Alliance for Democracy.
27. Rachel Ehrenfeld, directeur de l’American Center for Democracy, auteur de Funding Evil.
28. Daniel Ellsberg, auteur de Secrets : A Memoir of Vietnam and the Pentagon Papers.
29. Jodie Evans, co-fondateur de Code Pink
30. Richard Falk, professeur émérite de Droit international à l’université de Princeton.
31. Michael Franti, musicien, réalisateur de cinéma, militant des droits de l’homme.
32. Janeane Garofalo, actrice, animatrice de talk show sur Air America Radio.
33. Jim Garrison, Ph.D., président du State of the World Forum, auteur de America as Empire.
34. Bruce Gagnon, président du Global Network Against Weapons & Nuclear Power in Space
35. Ric Giardina, écrivain, consultant, conférencier, ancien directeur des marques de Intel.
36. John Gray, auteur du bestseller Men Are from Mars, Women Are from Venus.
37. Stan Goff, vétéran avec 25 ans d’expérience dans les Forces spéciales de l’Army, auteur de Full Spectrum Disorder.
38. Melvin Goodman, chercheur au Center for International Policy, écrivain, ancien analyste senior à la CIA, professeur au Collège de guerre (National War College).
39. Morton Goulder, secrétaire adjoint au Renseignement et aux Menaces sous Nixon, Ford, and Carter
40. David Ray Griffin, professeur de théologie, auteur de The New Pearl Harbor.
41. Doris "Granny D" Haddock, directeur de campagnes de financement, candidat du Parti démocrate à l’élection sénatoriale du New Hampshire.
42. Thom Hartmann, animateur radio ; auteur de Unequal Protection
43. Richie Havens, chanteur, artiste.
44. Paul Hawken, auteur de best-sellers, écologiste, chef d’entreprise, fondateur de Smith & Hawken.
45. Randy Hayes, fondateur du Rainforest Action Network, directuer fédéral de la Direction Conservation.
46. Richard Heinberg, auteur de The Party’s Over, New College of California.
47. Van Jones, directeur exécutif de l’Ella Baker Center for Human Rights.
48. Rob Kall, rédacteur en chef de OpEdNews.com, président de Futurehealth, Inc.
49. Georgia Kelly, directeur exécutif du Praxis Peace Institute
50. Sean Kelly, écrivain, professeur de philosophie et de religion à l’Institute of Integral Studies de Californie.
51. John Joseph Kennedy, candidat aux primaires démocrates de 2004
52. Mimi Kennedy, comédienne.
53. Faiz Khan, Triage Emergency Physician on 9/11, imam adjoint.
54. David Korten, auteur de When Corporations Rule the World.
55. Frances Moore Lappé, auteur de Diet for a Small Planet ; fondateur du Small Planet Institute
56. Scott M. Legere, directeur de radio àTampa (Floride).
57. Rabbin Michael Lerner, rédacteur en chef de TIKKUN Magazine, auteur de Healing Israel/Palestine.
58. Michael Levine, auteur du best-seller Deep Cover, journaliste, 25 ans d’expérience à la DEA
59. Joanna Macy, philosophe écologiste.
60. Enver Masud, fondateur du Wisdom Fund, auteur de The Truth About Islam.
61. John McCarthy, ancien capitaine des Forces spéciales, président de Veterans Equal Rights Protection Advocacy
62. Ray McGovern, ancien analyste de la CIA, co-fondateur de Veteran Intelligence Professionals for Sanity
63. Cynthia McKinney, ancienne représentante de Géorgie au Congrès des États-Unis.
64. Ralph Metzner, écrivain, co-fondateur de la Green Earth Foundation
65. Mark Crispin Miller, critique des médias, professeur à l’université de New York.
66. Joseph W. Montaperto, Département des pompiers de la Ville de New York.
67. Leuren Moret, scientifique, commissaire environnemental.
68. Ralph Nader, candidat indépendant la présidence des États-Unis d’Amérique.
69. Craig Neal, co-fondateur du Heartland Institute, ancien rédacteur en chef de Utne Reader.
70. Jeff Norman, directeur exécutif de Tour of Duty.
71. Jenna Orkin, World Trade Center Environmental Organization.
72. Kelly Patricia O’Meara, journaliste d’investigation.
73. Michael Parenti, auteur de Superpatriotism and The Terrorism Trap.
74. Edward L. Peck, ancien ambassadeur des États-Unis en Irak, ancien directeur adjoint du Groupe de travail sur le terrorisme à la Maison-Blanche (White House Task Force on Terrorism).
75. Peter Phillips, Ph.D., professeur à l’université d’État de Sonoma, directeur du Project Censored.
76. Henri Poole, pionnier d’Internet, administrateur de la Free Software Foundation.
77. Robert Rabbin, écrivain, créateur de TruthForPresident.org.
78. Paul H. Ray, sociologue, auteur de The Cultural Creatives.
79. John Renesch, auteur de Getting to the Better Future.
80. John Rensenbrink, professeur émérite au Bowdoin College, co-fondateur du Parti des Verts des États-Unis.
81. John Robbins, écrivain, fondateur de EarthSave International.
82. William Rodriguez, sauveteur héroïque du 11 septembre, fondateur du Hispanic Victims Group
83. Neal Rogin, écrivain, lauréat du Emmy-award.
84. Allen Roland, psychothérapeute, écrivain.
85. Rosemary Radford Ruether, professeur de théologie féministe au Graduate Theological Union.
86. Michael Ruppert, rédacteur en chef de From The Wilderness, auteur de Crossing the Rubicon.
87. Chris Sanders, fondateur de Sanders Research Associates.
88. Karl W. B. Schwarz, Pdg de Patmos Nanotechnologies.
89. Peter Dale Scott, professeur émérite, auteur de Drugs, Oil, and War.
90. Kevin Shea, pompier au Département incendie de la Ville de New York.
91. Michelle Shocked, parolier, chanteur.
92. Indira Singh, consultant en management des crises et des systèmes informatiques.
93. J. Michael Springmann, avocat, ancien diplomate du Département d’État.
94. Douglas Sturm, professeur émérite à l’université Bucknell.
95. Marjorie Hewit Suchocki, professeur de théologie, écrivain.
96. Chuck Turner, conseil municipal de Boston.
97. James W. Walter Jr., philanthrope, fondateur de Walden Three.
98. Dan Whaley, pionnier du commerce sur Internet, fondateur de GetThere.com.
99. Burns H. Weston, professeur émérite de Droit au Centre des droits de l’homme de l’université de l’Iowa.
100. Howard Zinn, professeur d’histoire, auteur de Histoire populaire des États-Unis, lauréat du prix de l’Association des amis du Monde diplomatique.


Membres des familles des victimes

1. Joanne Barbara, épouse de l’assistant du chef du département des sapeurs pompiers de New York (FDNY)
2. Gayle Barker, soeur de William A. Karnes, WTC (World Trade Center)
3. Michele Bergsohn, épouse de Alvin Bergsohn, Cantor Fitzgerald
4. Derrill Bodley, père de Deora Bodley, passager du vol 93
5. Kathryn C. Bowden, soeur de Thomas H. Bowden, Jr. WTC1, 104ème étage
6. Janet Calia, épouse de Dominick Calia, Cantor Fitzgerald, WTC1
7. Maggie Cashman, épouse de William Joseph Cashman, vol United 93
8. Lynne Castrianno Galante, soeur de Leonard Castrianno, WTC1, 105ème étage
9. Elza Chapa-McGowan, fille de Rosemary Chapa, Pentagone
10. Bruce De Cell, beau-père de Mark Petrocelli, Tour Nord, 92ème étage
11. Ralph D’Esposito, père de Michael D’Esposito, WTC, 96ème étage
12. Loisanne Diehl, épouse survivante de Michael D. Diehl, WTC2, 90ème étage
13. Jonathan M. Fisher, fils de Dr. Gerald Paul "Geep" Fisher, Pentagone
14. Michael J. Fox, frère de Jeffrey L. Fox, Tour 2, 89ème étage
15. Laurel A. Gay, soeur de Peter A. Gay, AA Vol 11
16. Irene Golinsky, épouse de Col. Ronald F. Golinski USA RET, Pentagone
17. Kristen Hall, fille de Thomas Kuveikis, pompier décédé
18. Kurt D. Horning, père de Matthew D. Horning, WTC Tour 1, 95ème étage
19. Jennifer W. Hunt, épouse de William C. Hunt, Euro Brokers
20. Lori, Jerry, and Beatrice Guadagno, soeur et parents Richard Guadagno, Flight 93
21. John Keating, fils de Barbara Keating, passager du vol AA 11
22. L. Russell Keene II, père de Russ Keene III, WTC2, 89ème étage, KBW
23. Peter Kousoulis, dont la soeur est morte dans le WTC
24. Barbara Krukowski-Rastelli, mère de William E. Krukowski, pompier de New York
25. Laura and Ira Lassman, père de Nicholas C. Lassman, mort dans le WTC, tour 1
26. Johnny Lee, époux de Lorraine Greene
27. Alicia LeGuillow, mère de Nestor A. Cintron III
28. Francine Levine, soeur de Adam K. Ruhalter, décédé le 11 septembre
29. Christopher Longing, époux de Laura M. Longing, WTC1
30. Bob McIlvaine, père de Robert McIlvaine, WTC, Merrill Lynch
31. Mary McWilliams mère de FF Martin E. McWilliams- Engine 22
32. Daryl J. Meehan, frère de Colleen Ann Barkow, WTC 1, 105ème étage
33. Elvira P. Murphy, épouse de Patrick Murphy, WTC 1
34. Natalee Pecorelli, soeur de Thomas Pecorelli du vol 11
35. James L Perry, M.D and Patricia J. Perry, parents de John W. Perry, Esq., officier de police de la ville de New York
36. Elaine Saber, mère de Scott Saber
37. Julie Scarpitta, mère de Michelle Scarpitta, WTC 2, 84ème étage
38. Kathleen A. Stanton, WTC sud, survivant blessé
39. Elizabeth Turner, épouse de Simon Turner, décédé le 11 septembre 2001
40. Joan W. Winton, mère de David Winton, WTC, tour sud, 89ème étage
41. David Yancey, époux de Vicki Yancey, American Airlines vol 77


http://www.911truth.org/



Posté le 08/09/2005 09:58:11
http://www.911truth.org/index.php?topic=gallery

Vidéos à : http://truthemergency.us/pages/VideoAudio.html

http://digitalstyledesigns.com/pages/movieMedia.htm

http://www.reopen911.org/video/
En particulier http://www.reopen911.org/video/cte_07.mov 
contien l'analyse du minage des structures des tours, seule hypothèse capable d'expliquer leur écroulement pratiquement à la vitesse d'une chute libre, la pulvérisation de presque tout le béton en poudre fine (pratiquement une cendre pyroclastique) et la projection immédiate des poutrelles à environ 40 m de leur fixation, tout au long de la chute. Du travail de professionnels de la démolition contrôlée d'immeuble. La fin de la vidéo explique quand, à la faveur de quels incidents programmables, a pu se faire ce minage massif à l'insu des travailleurs normaux : la semaine précédente.


http://911research.wtc7.net/
http://911research.wtc7.net/wtc/attack/wtc7.html
Le building 7 aussi, a subi une destruction programmée par minage.

Building 7
The September 11th Attack

Building 7 (also known as WTC 7) was a 47-story skyscraper that stood on the block immediately north of the block that contained the rest of the World Trade Center complex. Building 7 was shrouded in secrecy. Then-Mayor Rudolph Giuliani had a bunker on the 23rd floor.


Fires

Photographs of Building 7 prior to its collapse show only small areas of fire.



Building 7 was not hit by any aircraft, and apparently did not suffer massive damage from the violent destruction of either of the Twin Towers. Small fires were observed in a few different parts of the building prior to its "collapse." Most of the fires were barely visible, and were not hot enough to cause window breakage, at least on the north side of the tower, of which there are photos shortly before the collapse. The largest observed fires were the ones visible on the southeast wall shown in the photograph.

Evacuation

Building 7 was supposedly evacuated around 9 AM. The area around the building was evacuated in the hour before the collapse. Photographer Tom Franklin, who took the famous photograph of firemen raising the American flag, said:
Firemen evacuated the area as they prepared for the collapse of Building Seven. 1

There are no photographs that show large fires in Building 7. Tom Franklin did not take any photos of the building before heeding firemen's orders to evacuate the area. Had there been large fires, one would expect that the professional photographer would have documented them.
Destruction

Building 7 underwent a total structural collapse at around 5:20 PM. 2 Although there were few people in the area to witness its destruction, several videos captured the event. Like the collapses of the Twin Towers, the collapse of Building 7 commenced suddenly and was over in seconds. At first the penthouse, which rests on central columns, began to drop. Within a second the entire building began to drop as a whole, falling into its footprint in a precisely vertical fashion. The destruction of Building 7 looked exactly like a standard controlled demolition.

In under seven seconds Building 7 was transformed from a skyscraper to a tidy rubble pile.



It is commonly believed that "ancillary damage" from the collapses of the Twin Towers led to the collapse of WTC 7. In fact Building 7 was separated from the North Tower by Building 6 and Vesey Street. A photograph of its north facade taken in the afternoon shows isolated small fires, and not even a single window was broken.
References

1. Firefighters Raising Flag at World Trade Center, skfriends.com, 9/13/01 [cached]
2. September 11: Chronology of terror, CNN.com, 9/12/01



Posté le 08/09/2005 10:16:31



 http://911research.wtc7.net/sept11/analysis/anomalies.html

9/11' Anomalies
Anomalies of the September 11th Attack, Its Run-Up, and Response

Accepting the official story of the 9/11/01 attack requires one to accept a long series of anomalies -- extremely improbable events, amazing coincidences, and contradictions.
Run-Up to the Attack
Numerous incidents preceding the attack indicate many people had advance knowledge of the attack.

   * Put Options
     Stock trades bet on the fall in share values for the two airlines whose planes were used in the attack.
         o Put options purchases on United Airlines and American Airlines stock rose to six times normal levels in the days preceding the attack.
   * Avoidance of the Airlines, the WTC, and the Pentagon
     Government officials and executives avoided the targets of the attack.
         o Pentagon officials canceled travel plans on September 10th.
         o San Francisco Mayor Willie Brown received a warning not to fly on September 10th.
         o Scotland Yard prohibited Salman Rushdie from flying on September 11th.
         o Two employees of Odigo, the instant messaging service, received e-mail warnings of the attack two hours before the first assault on the WTC.
         o Ariel Sharon, Prime Minister of Israel, cancelled plans to address Israeli support groups in New York City on September 11th.
         o Business executives, some of whom worked in the WTC, were in Kansas to attend a meeting at Offutt Air Force Base hosted by billionaire Warren Buffett on the morning of September 11th.

Hijacking Scenario
The attack scenario was irrational on the part of the alleged hijackers, and its execution is incomprehensible in light of their behavior. There is no credible evidence that Arab hijackers were involved in the September 11th attack.

   * Attack Plan
     By flying from remote airports and going far out of their way, the attack planners exposed their plan to almost certain ruin, had the air defense system operated normally.
         o The originating airport for Flights 11 and 175 was Boston Logan instead of any of several airports near New York City. This created about 40 minutes of exposure to interception for each flight.
         o Flight 77 flew to the Midwest before turning around to return to Washington D.C.. It was airborne an hour and 23 minutes before allegedly attacking the Pentagon. That would provide ample opportunity for interception even if the air defense system were 95% disabled.
         o Flight 93 flew to the Midwest before turning around to fly toward Washington D.C. Had it reached the capital, it would have been airborne over an hour and a half. The odds of escaping interception with that plan would be infinitesimal under standard operating procedures.
   * Behavior of Villains
     The behavior of the alleged hijackers preceding the attack is inconsistent with skill and discipline needed to have a hope of pulling off such an attack.
         o Mohammed Atta allegedly barely caught Flight 11, a key flight in the event that he was supposedly planning for years.
         o The alleged hijackers partied at topless bars and drank alcohol, despite being portrayed as fundamentalist Muslims, for whom such behavior would be surprising.
   * Evidence Void
     There is no hard evidence that any of the alleged hijackers were on any of the doomed flights, and substantial evidence that some weren't involved.
         o No video of any of the 19 hijackers at any of the three originating airports of the four flights has been made public, except for a video allegedly showing hijackers of Flight 77.
         o None of the alleged hijackers' names appeared on the airlines' passenger lists.
         o At least six of the alleged hijackers have turned up alive since the attack.
         o None of the four flight crews radioed Air Traffic Control about hijackings in progress.
         o None of the four flight crews punched in the four-digit hijacking code.
         o No public evidence indicates that the remains of any of the hijackers was identified at any of the crash sites.
   * Phenomenal Success
     The success with which hijackers allegedly took over four jets with knives and then piloted the jets to small targets is simply miraculous.
         o None of the four flight crews were able to stop the alleged hijackers, in spite of several of the pilots being Vietnam veterans.
         o None of the alleged hijackers were good pilots, yet the three buildings were hit with phenomenal precision.

(Lack of) Military Response
Despite normal intercept times of between 10 and 20 minutes for errant domestic flights, the airliners commandeered on 9/11/01 roamed the skies for over an hour without interference.

   * Failures to Report
     According to NORAD's timeline the FAA reported errant airliners after inexplicable delays.
         o The FAA took 18 minutes to report Flight 11's loss of communication and deviation from its flight plan.
         o The FAA took 39 minutes to report Flight 77's deviation from its flight plan.
   * Failures to Scramble
     Interceptors were only scrambled from distant bases after long delays.
         o Despite the fact that Flights 11 and 175 were headed for New York City, no interceptors were scrambled from nearby La Guardia, or from Langley, Virginia.
         o Despite NORAD's having received formal notification of the first hijacking at 8:38, no interceptors were scrambled from Andrews to protect the nearby Pentagon until after it was hit at 9:37.
   * Failures to Intercept
     Once in the air, interceptors flew at only small fractions of their top speeds, assuring they would fail to intercept the airliners.
         o The two F-15s scrambled from Otis AFB to chase Flight 11 flew at an average of 447 mph, about 23.8% their top speed of 1875 mph.
         o The two F-16s scrambled from Langley to protect the capital flew at an average of 410.5 mph, about 27.4% of their top speed of 1500 mph.
   * Failures to Redeploy
     Nearby fighters on routine patrol duty were not redeployed to intercept the airliners, nor were fighters that belatedly reached Manhattan sent to defend the capital.
         o Two F-15s flying off the coast of Long Island were not redeployed to Manhattan until after the second tower was hit.
         o The two F-15s scrambled from Otis AFB to protect Manhattan could have reached the capital in 9.6 minutes once they arrived over New York City. That was still 34 minutes before the Pentagon was hit.

Building Collapses
On 9/11/01 three skyscrapers totally collapsed with fire given as the sole or primary cause. Fires and bombings have never before or since caused steel-frame buildings to collapse.

   * Building 7
     Building 7 imploded late on 9/11/01. It was not hit by an aircraft.
         o Building 7 experienced total collapse, allegedly because of fires, when no steel-frame building before or since has ever collapsed, totally or even partially, due to fires. Building 7 was an over-engineered 47-story steel-frame skyscraper, standing over 350 feet from the nearest of the Twin Towers. Only small fires burned in it on September 11th.
         o Building 7 collapsed in a nearly perfectly vertical fall, leaving the buildings only 60 feet on either side virtually unscathed.
         o Building 7 collapsed into a remarkably small rubble pile of mostly pulverized remains, when no steel building falling for any reason has ever pulverized itself.
         o Building 7 contained a 23-million-dollar emergency command center, but instead of using it for its ostensible purpose, then-Mayor Giuliani evacuated his team to a makeshift command center as soon as the September 11th attack started.
         o The emergency command center was pulverized along with the rest of the building, even though it was constructed as a bomb-hardened shelter.
         o The remains of Building 7 were rapidly removed and the steel recycled, evidently without any on-site and only extremely limited off-site examination. The rapid disposal operation proceeded despite the fact that no one was believed buried in the rubble, and the tidy rubble pile was not blocking adjacent roads.
   * Twin Towers
     The Twin Towers exploded into dust and shattered steel, a behavior inconsistent with the known behavior of steel structures outside of explosive demolition.
         o The South Tower was struck 17 minutes after the North Tower, and in a less damaging manner, and it had less severe fires, yet it collapsed 29 minutes before the North Tower.
         o The South Tower's core structure was largely undamaged by the off-centered jet impact, unlike the North Tower, yet it collapsed sooner.
         o The South Tower had much less severe fires than the North Tower, and yet collapsed sooner.
         o Smoke from the fires in the South Tower became progressively darker up to the time it collapsed.
         o Firefighters reached the crash zone of the South Tower and calmly described controllable fires.
         o Both towers started to crumble at regions well above the crash zones in the first seconds of their falls.
         o Both towers fell straight down, through themselves, following the path of maximum resistance, a behavior never before observed in spontaneous collapses of any type of vertical structure.

Pentagon Attack
The Pentagon attack occurred well over an hour into the crisis despite its close proximity to Andrews Air Force Base, was alegedly piloted through an extreme and precision attack maneuver by an incompetent, and resulted in the one relatively unoccupied portion of the building being hit.

   * Wide-Open Target
     The Pentagon -- the heart of the military establishment of the world's greatest super-power -- was hit well over an hour into the attack without being protected by any defensive action.
         o The Pentagon is within 11 miles of Andrews Air Force Base, which apparently had two combat-ready fighter wings on 9/11/01.
         o The attack plane was monitored on radar as it approached the capital.
   * Unlikely Super-pilot
     Alleged Flight 77 pilot Hani Hanjour was not up to the task.
         o The spiral dive approach to the Pentagon was such an extreme maneuver that experienced air traffic controllers thought it was military jet. The tree-top final approach skimmed objects in the yard and crashed the plane into the first floor of the building. Experienced pilots have wondered if any human pilot could have executed the maneuver.
         o Hani Hanjour was considered incompetent by his flight school instructors, and was denied rental of a single-engine plane.
   * Evidence Vacuum
     Authorities systematically confiscated or destroyed the evidence.
         o Video recordings from adjacent businesses were seized by the FBI shortly after the attack and have never been seen since.
         o Only five frames of video have been released by the Pentagon (and then only as an unofficial leak) from all the security cameras that monitor its periphery. Those frames show signs of forgery.
         o Investigators were not allowed access to the crash site until well into October.
   * More than Just a Crash
     Was the crash engineered?
         o A photographed scrap of aircraft debris that has markings similar to an American Airlines 757 corresponds to the forward portion of the starboard (right) side of the plane, yet the scrap was far to the left of the plane's path.
         o Eyewitnesses reported the smell of cordite.
         o Several eyewitnesses reported that the jetliner exploded before reaching the facade of the Pentagon.
         o Portions of the facade where the wing ends and tail of a 757 would have collided show no gouging. Were these parts shredded by explosives before they reached the facade?

Death Toll
The death toll of the attack, though horrific, was much lower than it would have been if not for numerous aspects of target selection and timing.

   * Flights
     All four flights were unusually empty.
         o Flights 11, 175, 77, and 93 were only at 47%, 31%, 28%, and 16% occupancy, respectively.
   * World Trade Center
     The towers were attacked before most people had arrived, and were hit high enough to allow most people to escape.
         o When Flight 11 hit the North Tower at 8:46 AM, the World Trade Center buildings were at less than half the occupancy of a typical mid-day.
         o The first tower to be attacked was hit just 15 stories below the top, and trapped people mostly between the 95th and 110th floors.
         o The second tower to be attacked was hit only 30 stories below the top, and the plane missed the core, allowing people to evacuate from above the impact zone. The 17 minutes that elapsed since the first hit allowed many people to escape the second tower while the elevators were still working.
   * Pentagon
     125 people were killed in a building with 20,000 people.
         o The portion of the Pentagon that was attacked, the West Block, was in the process of being renovated, and so was at low occupancy.
         o No high-level Pentagon officials were killed in the attack.

Response
Despite the worst failure in history of the military to protect American civilians, there were no consequences for the responsible authorities, and no honest investigations.

   * Air Defense Failures
     No one was held to account for the numerous unprecedented failures in air defense.
         o General Richard Myers, Acting Chairman of the Joint Chiefs of Staff on September 11th, was confirmed as Chairman on September 13th in spite of being unable to provide any meaningful answers to questions regarding the air defense failures.
         o General Richard Eberhard, commander of NORAD on September 11th, was promoted to head the newly created NORTHCOM.
         o NORAD's press release contradicted early statements by high-ranking officials that no interceptors had been scrambled on 9/11/01.
         o NORAD's vague timeline raises far more questions than it answers, yet officials have never been required to give a full account.
   * Building Collapse Inquiry
     The total collapses of WTC 1, 2, and 7 were the three largest engineering failures in history (based on the official story). How were they investigated?
         o FEMA was given the sole authority to investigate the collapses even though it is not an investigative agency.
         o The investigative team assembled by FEMA consisted of unpaid volunteers.
         o The investigators were not allowed access to Ground Zero.
         o The investigators were not provided with the blueprints of the buildings.
         o FEMA's report states the causes of the collapse "remain unknown at this time". (By the time the report was released the steel had been entirely disposed of.) The fact that Building 7 (supposedly) failed in a way that contradicts 100 years of engineering experience makes it the largest and least understood structural failure in history.
« Modifié: 28 mars 2007, 01:45:59 pm par Jacques »

JacquesL

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100 personnalités contestent la version officielle du 11 septembre.
« Réponse #1 le: 17 février 2007, 11:11:41 am »
Posté le 08/09/2005 10:48:46

Etude métallurgique suggérant l'usage d'explosifs pour la destruction des tours :

http://911research.wtc7.net/wtc/evidence/metallurgy/index.html

Forensic Metallurgy
Metallurgical Examination of WTC Steel Suggests Explosives

Although virtually all of the structural steel from the Twin Towers and Building 7 was removed and destroyed, preventing forensic analysis, FEMA's volunteer investigators did manage to perform “limited metallurgical examination” of some of the steel before it was recycled. Their observations, including numerous micrographs, are recorded in Appendix C of the WTC Building Performance Study. Prior to the release of FEMA's report, a fire protection engineer and two science professors published a brief report in JOM disclosing some of this evidence. 1

The results of the examination are striking. They reveal a phenomenon never before observed in building fires: eutectic reactions, which caused "intergranular melting capable of turning a solid steel girder into Swiss cheese." The New York Times described this as "perhaps the deepest mystery uncovered in the investigation." 2 WPI provides a graphic summary of the phenomenon.

http://911research.wtc7.net/wtc/evidence/metallurgy/docs/WTC_apndxC_img_11.jpg

A one-inch column has been reduced to half-inch thickness. Its edges--which are curled like a paper scroll--have been thinned to almost razor sharpness. Gaping holes--some larger than a silver dollar--let light shine through a formerly solid steel flange. This Swiss cheese appearance shocked all of the fire-wise professors, who expected to see distortion and bending--but not holes.

FEMA's investigators inferred that a "liquid eutectic mixture containing primarily iron, oxygen, and sulfur" formed during a "hot corrosion attack on the steel." The eutectic mixture (having the elements in such proportion as to have the lowest possible melting point) penetrated the steel down grain boundaries, making it "susceptible to erosion."

The page Is There Evidence That Explosive Charges Were Used To Destroy The World Trade Center Towers? [ http://home.pacbell.net/skeptica/9-11bulletpoints.html ]
provides a summary of the FEMA Report's Appendix C, with references to elements and specific chemical reactions color-coded.

Explosive Evidence. The FEMA report titled World Trade Center Building Performance Study, Appendix C (Available at http://www.fema.gov/library/wtcstudy.shtm) “Limited Metallurgical Examination”, shows evidence of explosives used, by way of photographs, microscopic, and chemical examination. They do not draw this conclusion though. Instead, the authors write (in these selected sentences [The coloring of the text is added here. See below for reason]) “Evidence of a severe high temperature corrosion attack on the steel, including oxidation and sulfidation with subsequent intergranular melting, was readily visible in the near-surface microstructure.”... “The thinning of the steel occurred by high temperature corrosion due to a combination of oxidation and sulfidation.”...“The unusual thinning of the member is most likely due to an attack of the steel by grain boundary penetration of sulfur forming sulfides that contain both iron and copper.”...“A liquid eutectic mixture containing primarily iron, oxygen, and sulfur formed during this hot corrosion attack on the steel.”... “The severe corrosion and subsequent erosion of Samples 1 and 2 are a very unusual event. No clear explanation for the source of the sulfur has been identified. The rate of corrosion is also unknown. It is possible that this is the result of long-term heating in the ground following the collapse of the buildings. It is also possible that the phenomenon started prior to collapse and accelerated the weakening of the steel structure. A detailed study into the mechanisms of this phenomenon is needed to determine what risk, if any, is presented to existing steel structures exposed to severe and long-burning fires.”

http://911research.wtc7.net/wtc/evidence/metallurgy/docs/WTC_apndxC_img_7.jpg

References

1. , JOM, 12/01 [cached]
2. The 'Deep Mystery' of Melted Steel, WPI Transformations, spring 02 [cached]



Posté le 08/09/2005 12:29:50
   
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http://www.voltairenet.org/article15395.html#article15395
...
Tribune de Cynthia Mc Kinney et Catherine Austin Fitts :

Quelque chose s’élève des cendres du 11 septembre : le spectre des questions qui hanteront notre pays jusqu’à ce qu’on y réponde.

Plusieurs mois après la publication du rapport officiel de la Commission d’enquête sur le 11 septembre, au moment même où le Congrès commence à appliquer ses propositions de centralisation radicale des forces de sécurité, un nombre croissant d’États-uniens met en doute le récit fait par leur propre gouvernement de ce qui s’est vraiment passé le 11 septembre, et de quelle manière.

Dès le début, l’administration Bush s’est opposée aux investigations et à la transparence. Les familles des victimes du 11 septembre ont dû faire pression sur l’administration et le Congrès pour obtenir une enquête intégrale et indépendante. Elles se sont battues pendant 14 mois, bloquées à chaque étape par la Maison-Blanche.

Les chassés-croisés politiques ont atteint un tel niveau que les survivants de la pire attaque jamais survenue sur le sol américain ont été contraints de manifester silencieusement, munis de chandelles, devant la Maison-Blanche.
Une chapelle ardente pour la vérité
(JPEG)
Cynthia McKinney

En décembre 2002, la Maison-Blanche a finalement approuvé la création d’une commission indépendante, présidée par l’ancien gouverneur du New Jersey Thomas Kean. Cependant l’administration a imposé la nomination d’un panel à sa discrétion, avec un angle de travail restreint aux échecs du renseignement et aux recommandations.

Les familles ont demandé une enquête globale, formulant près de 400 questions qu’elles ont adressées à la Commission Kean. Les membres de la commission ont déclaré qu’ils acceptaient volontiers ces requêtes. Mais leur rapport final a ignoré la plupart des questions et les a laissées sans réponses. Figurant toujours sur le site Internet September 11 Family Steering Committee, ces questions rappellent les échecs de la Commission Kean à notre souvenir de manière frappante.

Désormais ces mêmes questions ont été soumises au procureur général de New York. La semaine dernière, le cabinet new-yorkais d’Eliot Spitzer s’est vu remettre une plainte demandant l’ouverture d’une enquête judiciaire sur les crimes qui restent non élucidés, plus de trois ans après les faits [4].
Ainsi est né le fantôme de la Maison-Blanche
(JPEG)
Catherine Austin Fitts

Conduit par des familles de survivants, des chercheurs indépendants, des journalistes et un nombre croissant de citoyens ordinaires, un « mouvement pour la vérité sur le 11 septembre » en pleine émergence a organisé plusieurs initiatives d’enquête citoyennes sur les événements du 11 septembre au cours de l’année passée. En tant que co-présidentes de la première Commission citoyenne sur le 11 septembre, qui s’est tenue dans la ville de New York en septembre, nous nous sommes vues confier la tâche de répondre aux questions ignorées par la Commission Kean.

Qu’avons-nous appris ? Nous avons pris connaissance d’éléments prouvant que des avertissements spécifiques préalables au sujet des attaques du 11 septembre avaient été émis depuis l’étranger. Nous avons pris connaissance de l’augmentation des enquêtes antiterroristes par le FBI et du manque de réaction durant les attaques de la part de hauts responsables, dont George W. Bush, Donald Rumsfeld et l’actuel chef d’État-major interarmes Richard Myers.

Nous avons appris que la toxicité de l’air à Ground Zero affecte toujours les pompiers, les premiers secouristes ainsi que les résidents de New York, et de quelle manière, durant les jours suivant le 11 septembre, la Maison-Blanche est intervenue pour empêcher l’Agence de protection environnementale de diffuser un avertissement important expliquant qu’il était dangereux de respirer l’air de la partie sud de Manhattan.

Nous avons également appris que, malgré le surprenant abandon de la procédure d’urgence standard en cas de détournement d’avion et pour la défense aérienne lors du 11 septembre, la Commission sur le 11 septembre échoue à lancer un appel pour que des responsabilités officielles soient établies.

Alors que les membres de la Commission Kean parcourent le pays pour défendre les conclusions de leur rapport, nous savons que beaucoup de gens se manifestent pour leur poser des questions audacieuses sur ces problèmes et bien d’autres qui restent en suspend. Mais les gens ordinaires sont dépourvus des pouvoirs d’action judiciaire nécessaires pour faire toute la lumière sur les faits. Les enquêtes citoyennes n’avancent que jusqu’à une certaine limite.

Ainsi, certains parmi ceux qui ont témoigné devant nous à New York ont examiné la possibilité d’une enquête par un jury d’accusation. Les éventuels chefs d’accusation incluent négligence criminelle, manquement aux devoirs officiels, facilitation criminelle, responsabilité par complicité, conspiration et obstruction de la justice par de hauts responsables du gouvernement.

Ces chefs d’accusation, actuellement formulés dans la pétition au procureur général de la ville de New York, peuvent paraître extrêmes. Mais ils reflètent une inquiétude croissante parmi les citoyens. Un sondage effectué par Zogby International auprès de résidents de la ville de New York en août dernier révélait que 49 % d’entre eux pensent que de hauts responsables avaient une connaissance préalable des attaques et ont « consciemment échoué » à les prévenir. 41 % de l’ensemble des résidents de l’État de New York partageaient ce point de vue [5].

Un total de 66 % des résidents de la ville de New York interrogés s’accordait sur le fait que l’enquête sur le 11 septembre doit être rouverte par le Congrès ou par Eliot Spitzer. Une enquête parlementaire qui respecte le caractère pressant de ces questions aurait dû être ouverte depuis longtemps.

Dorénavant nous n’avons donc pas d’autre recours que de faire le pied de grue devant le bureau d’Eliot Spitzer. Tant que les questions sur le 11 septembre laissées sans réponse ne sont pas mises au repos par une investigation indépendante qui ne déclare hors limites aucune voie d’enquête légitime, elles continueront de hanter notre pays et la personne qui siègera à la Maison-Blanche l’année prochaine.



Cynthia McKinney, cinq fois élue au Congrès états-unien en tant que représentante pour le quatrième district de l’État de Georgie, de 1993 à 2003, a remporté les primaires de cette année pour la nomination démocrate à son ancien poste. Elle est donnée favorite pour les élections ayant lieu aujourd’hui. Catherine Austin Fitts est l’ancienne assistante du Secrétaire au logement de l’administration Bush père et ancienne directrice de gestion et membre du conseil d’administration de Dillon, Read & Co. Inc.

[1] « Internet véhicule une rumeur extravagante sur le 11 septembre », par Stéphane Foucart et Stéphane Mandard, Le Monde, 21 mars 2002 ; « 11 septembre : La rumeur révisionniste », Le Point, 5 avril 2002 ; « Crash chez Ardisson », par Daniel Schneidermann, Le Monde, 23 mars 2002 ; « Mensonge à Voltaire », par Pierre Marcelle, Libération, 26 mars 2002 ; « Pourquoi la démonstration de Meyssan est cousue de très gros fils blancs », par Fabrice Rousselot, Libération, 30 mars 2002 ; « Meyssan, une dérive conspirationniste mystérieuse », par Edouard Launet, Libération, 30 mars 2002.

[2] Voir « 100 personnalités contestent la version officielle du 11 septembre », Voltaire, 26 octobre 2004.

[3] Voir « Le programme commun Bush-Kerry », Voltaire, 15 octobre 2004.

[4] Voir « 100 personnalités contestent la version officielle du 11 septembre », Voltaire, 26 octobre 2004.

[5] Voir « Les New-Yorkais refusent la version officielle du 11 septembre », Voltaire, 31 août 2004.
« Modifié: 28 mars 2007, 01:46:52 pm par Jacques »

JacquesL

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100 personnalités contestent la version officielle du 11 septembre
« Réponse #2 le: 17 février 2007, 11:14:57 am »
Posté le 15/09/2005 05:07:50

Réseau Voltaire continue son engagement pour la dénonciation de ce qu'ils pensent un complot américain pour le 11 septembre 2001 :

11 septembre : les pièces à conviction
DVD « Confronting the Evidence »

9 septembre 2005


Les États-uniens eux-mêmes sont de plus en plus nombreux à ne plus croire à la théorie du complot véhiculée par l’administration Bush selon laquelle un organisation islamique secrète aurait perpétré les attentats du 11 septembre 2001 et tiendrait aujourd’hui en échec la Coalition en Irak.

De simples citoyens, des intellectuels, des parlementaires commencent à interroger l’administration. Le multi-millionaire Jimmy Walter a édité un DVD, sous-titré en plusieurs langues, pour faire connaître leur travail à un vaste public. Ce document présente, images à l’appui, les nombreuses incohérence de la version officielle. Plus de 350 000 exemplaires ont été déjà diffusés aux États-Unis mêmes.

Si vous résidez en France, vous pouvez recevoir ce DVD, offert par M. Walter, en adressant vos coordonnées ainsi que deux timbres à 0,53 euros pour frais de port à Réseau Voltaire, BP 35, 93201 Saint-Denis cedex.
Si vous résidez hors de France, vous pouvez obtenir ce DVD par le site reopen911.org.

Par ailleurs, un exemplaire de « Confronting the Evidence » est offert pour toute commande de livre dans la librairie en ligne du Réseau Voltaire.




Mais de mon côté, je me pose des questions d'intendance et de logistique concernant la thèse du minage des trois tours WTC1 WTC2 et WTC7. Comment acheminer et camoufler tous ces explosifs envisagés pour détruire la structure de coeur, sans que le personnel le remarque et s'inquiète, puis s'affole ? Quels canulars faut-il monter pour les berner ? Cela fait combien d'ouvriers en minage à mettre dans le coup, puis à tenir au secret ensuite pendant vingt ans ?
Il faudrait quand même faire une évaluation, une simulation.

Bon, je sais bien qu'une très large partie du personnel qui aurait pu témoigner de ses doutes, a été liquidée ipso-facto. Mais il doit bien subsister quelques échappés, présents les jours précédents, mais pâles ou adultères le 11 septembre ?

On a bien le cas de l'adultère, qui était avec sa maîtresse quand la tour s'est effondrée. Devant son mensonge flagrant, lors du coup de fil de son épouse affolée, elle a demandé et obtenu un bon divorce...



Posté le 14/11/2005 18:15:52
La technologie Global Hawk, prise de contrôle totale d'un appareil depuis une station au sol.
http://www.rense.com/general15/whoweneedfear.htm
http://mouv4x8.club.fr/11Sept01/911Pho01.html#BM2002
http://www.fas.org/irp/program/collect/global_hawk.htm (c)
http://www.conspiracyplanet.com/channel.cfm?channelid=75&contentid=296 (c)
http://www.rense.com/general15/whoweneedfear.htm (c)
http://www.angelfire.com/ny5/tradecencrimes/page445.html (c)


Bébés d'Iraq, pollution aux projectiles à l'uranium appauvri.
http://www.answering-christianity.com/iraqi_torture.htm



Posté le 14/11/2005 18:17:45
Confidentiel.net :

http://www.confidentiel.net/breve.php3?id_breve=1561

Beaucoup de questions. Pas beaucoup de réponses.



Posté le 23/07/2006 14:45:02
 Et voilà l'info esentielle :

http://reopen911.online.fr/?p=116

36 H de coupure de courant dans le WTC Sud avant les attentats
Posté dans Accueil / Actualités par Alde le 22/7/2006

Scott Forbes était Administrateur de base de données pour FIDUCIARY TRUST et travaillait dans la tour sud du WTC.
Scott a été témoin d’une coupure de courant très inhabituelle de 36 heures dans la section supérieure du WTC2 le week end précédant le 11 Septembre. De nombreux techniciens ont été vus  avec des rouleaux de câble et des boites à outils.


Interview Audio (en anglais) disponible ici :

http://loosechange.markblu.net/060227_- … e_Live.mp3

Killtown : Scott, vous avez une histoire intéressante à nous raconter. Où travailliez vous la semaine précédent le 11/9 ?
Scott Forbes : Dans mon bureau, au 97ème étage du WTC2 (tour sud), comme d’habitude, excepté que beaucoup de mes collègues et moi-même avons aussi travaillé le week end du 8 et 9 septembre.


KT : Pourquoi avez-vous travaillé le week end précédent le 11/9 ?
SF : A cause d’une coupure de courant signalée par les autorités. Le courant allait être coupé pour une durée de 36 heures dans la moitié supérieure de la tour, et comme je travaille dans le Technology Group pour une banque et une institution financière, je travaillais sur l’extinction et la remise en service probables de tous nos systèmes.

KT : Etait–il inhabituel pour vous de travailler le week end ?
SF : Je suppose qu’à ce moment, j’aurais dû travailler 1 week end toutes les 6 ou 8 semaines, alors ce n’était pas "inhabituel"…
Travailler dans la technologie implique de travailler « en dehors des heures de bureau » . Je devine que ce qui était impératif cette semaine était que tout le courant allait être coupé alors tous nos systèmes allaient être éteint. C’était extrême et sans précédent…

KT : Pour qui travailliez vous et quel était votre statut ?
SF : FIDUCIARY TRUST , une banque d’investissement, qui venait juste d’être acquise par le Franklin Templeton Group et j’y étais Administrateur de base de données Senior.

KT : Alors vous êtes un employé des technologies de l’information ?
SF : Oui

KT : Combien de temps avez vous travaillé au World Trade Center 2 avant le 11/9 ?
SF : J’ai démarré en tant que consultant en Juin 1998 puis à temps plein en décembre 1998.

KT : Durant tout ce temps, combien de fois le courant du WTC a-t-il été coupé ?
SF : Aucune dans la tour 2 dont je n’ai pas été informé. Nous avions un générateur de secours pour notre centre de données au 97eme étage en cas de coupure de courant imprévue mais il n’a pas été utilisé pendant ma présence dans la société. Vous devez comprendre combien cette coupure de courant était sans précédent. Eteindre tous nos systèmes financiers, interconnectés avec les vendeurs et acheteurs extérieurs, était un énorme travail. De plus, la panne de courant signifiait que beaucoup de dispositifs ordinaires du bâtiment n’étaient pas opérationnels, tel que le verrouillage de sécurité des portes, les caméras, l’éclairage etc …

KT : Combien d’étages cette coupure de courant a t-elle affecté ?
SF : Je ne peux pas vous donner le nombre exact, mais je sais que c’était le moitié supérieure du WTC2, alors je dirais, 50 étages ou plus.

KT : Y a-t-il eu une coupure dans le WTC 1 aussi ?
SF : Pas à ma connaissance.

KT: Avez vous pensé qu’il y avait un impératif à ce que cette tour (sud) ait le courant coupé et l’autre (nord) ne l’ait pas ?
SF : Pas vraiment – Je me souviens que nous avons été prévenus environ 3 ou 4 semaines auparavant par les autorités –New York/New Jersey qu’il y aurait une panne de courant – Alors nous avons dû coordonner et prévoir des efforts au service IT pour assurer que tout serait éteint à temps et prêt à redémarrer. Franchement, sur le moment je n’ai pas pensé au WTC 1.

KT : Est ce que les autorités ont dit pourquoi le courant serait coupé ?
SF : Aussi loin que je me souvienne c’était pour re-câbler, toutefois je ne me rappelle pas les mots sur le document officiel ou le détail, comme je n’étais pas dans la boucle de gestion.

KT : Est ce qu’ils ont dit à quoi servait ce re-câblage ?
SF : J’ai compris que ça avait à voir avec les alimentions d’énergie.

KT : Avez vous pensé qu’il leur était indispensable de couper le courant pour re-câbler ?
SF : Et bien, sur le moment, je n’ai pas posé de question – Personne d’autre ne l’a fait. Nous avons poursuivit le travail qui devait être effectué. Il y avait beaucoup de marmonnements et de mécontentement, Je me souviens de cela, et j’ai eu mon mardi 11/9 de congé, alors j’étais à la maison regardant les événements depuis la fenêtre de mon appartement ce jour là.

KT : Vous aviez obtenu votre journée (de congé) ce 11/9, c’était parce que vous aviez travaillé le week end précédent ?
SF : Oui.

KT : Si votre société ne vous avait pas demandé de travailler ce week end, seriez vous, normalement allé au travail ce mardi ?
SF : Oui, et j’étais habituellement au bureau à 7 heures du matin (cote EST), alors j’aurais été là forcément. En fait le 11/9, ma première réaction après que le premier avion ait frappé le WTC 1 a été d’appeler mon bureau et parler à mes collègues.

KT : Votre société, FIDUCIAL TRUST, était située aux étages 90, 94-97, exact ?
SF : Oui, nous étions situés à ces étages. Les bureaux de direction étaient au 90, 94-97 se trouvaient les bureaux de l’administration, avec le centre de données et l’équipe technique à l’étage 97.

Normalement Travailliez vous principalement à l’étage 97, ou travailliez vous à chacun de ces étages ?
SF : le 97 était mon étage mais inévitablement j’étais à tous les étages pour les réunions d’équipe , etc.

KT : Aviez vous, vous ou d’autres de vos collègues, déjà entendu ou expérimenté une coupure de courant avant ?
SF : Non, excepté quand la bombe avait été posée dans le parking voiture en 1993.

KT : Est-ce que les autorités avaient dit si elles allaient couper le courant dans la moitié inférieure du WTC 2 ?
SF : Non, pas que je me  souvienne.

KT : Je lisais un article à propos du WTC disant qu’il n’était pas très moderne en termes d’infrastructures de nouvelles technologies. Est-ce vrai ?
SF : Exact, pas si vous comparez le WTC aux constructions récentes et bâtiments ouverts. C’était un peu défraichi et daté, comme j’aimais en fait.

KT : Pourquoi ça ?
SF : Le building était vieillot, certains équipements étaient si vieux, comme le chauffage central et le système de climatisation, lesquels étaient vraiment, vraiment mauvais et inefficaces.

KT : J’ai lu combien cela coûtait cher de chauffer et refroidir les tours .
SF : Oui, en été la température à l’intérieur des buildings pouvait être vraiment terrible. Nous faisions circuler l’air à l’étage manuellement en installant des ventilateurs sur les bureaux .

KT : Een dehors de la coupure de courant le week end précèdent le 11/9, y a t-il eu d’autres activités inhabituelles liées au WTC ? Il y avait un homme, BEN FOUTAIN, qui travaillait à l’étage 47 du WTC 2 qui a dit qu’il y avait eu un nombre inhabituel d’exercices d’évacuation. En avez-vous expérimenté certains ?
SF : Nous avions des exercices normaux d’alerte incendie et d’évacuation, mais pas un nombre inhabituel.

KT : Quel en était le rythme et quand a eu lieu le dernier avant  le 11 septembre ?
SF : Je ne pourrais pas vous dire la fréquence ni quand le dernier s’est déroulé, je ne peux juste pas me souvenir, désolé.

KT : Retour sur le week end de la coupure de courant, quand ont-ils coupé le courant et quand l’ont- ils remis en activité ?
SF: Eteint le Samedi après-midi – aux environs de 12h je pense – et remis en marche vers environ 14h le dimanche (mon timing la dessus est confus )

KT: quand vous étiez en train de travailler ces 2 jours, avez vous remarqué quoique ce soit de suspect qui ait eu lieu à l’intérieur ou autour du World Trade Center ?
SF: Et bien, il y avait plusieurs types en combinaison, portant des appareils de construction, boites à outils, etc. , à l’intérieur du building. Je me souviens qu’il n’y avait pas de verrouillage des portes ni cameras de sécurité, alors l’accès était libre à moins qu’une porte n’eu été fermée à clef manuellement. Voir tellement d’étrangers qui ne travaillaient pas au WTC était inhabituel.
Autre chose, dans les circonstances actuelles, à cause de la coupure, une sauvegarde du système était une absolue nécessité et ils auraient du fermer le site par sécurité. A cause de la coupure de courant tout notre système a été sauvegardé pour être valide à 100 % et disponible en cas d’urgence. Cela en prévision d’une fermeture du site, normalement, par sécurité.

KT: Alors les gens que vous avez vu entrer et sortir du building, avaient- ils des badges et quelle était leur apparence ethnique, étaient-ils arabes ?
SF: Pas de particularité ethnique du tout et je ne me souviens d’aucun badge ou étiquette de quelque sorte.

KT: Où avez vous vu tous ces étranges travailleurs ? Etait-ce juste aux étages où vous travailliez ce samedi et dimanche ?
SF: Je travaillais au 97eme étage et je me souviens avoir vu un type dans le hall principal, au rez de chaussé et dans le hall de l’ascenseur au 76eme étage. C’était le samedi.

KT: Vous signaliez que vous n’aviez pas remarqué qu’ils portaient des badges. Est-ce inhabituel ? Je suppose qu’il devait y avoir beaucoup de travaux en cours dans le WTC de temps en temps. Les ouvriers n’avaient-ils pas besoin de badge d’identité ?
SF : Ils auraient tous dû avoir des badges sur eux, avec leur photo et leur nom. Je ne peux pas me rappeler avoir vu ces badges ou pas.

KT: Après le 11 septembre, y’a t-il quelqu’un avec lequel vous travailliez ou que vous connaissiez dans le building qui a aussi remarqué ces étranges travailleurs s’activer le samedi et le dimanche ?
SF: Et bien quiconque travaillait ces jours là les a vu. Après le 11/9 les choses étaient floues.

KT: Quand avez vous su que vous seriez de congé le mardi, le jour du 11 septembre ?
SF: Le lundi. J’avais pris le vendredi de repos mais j’avais changé avec un collègue, lequel s’en est sorti sain et sauf le 11 septembre heureusement.

KT: Alors, vous étiez censé travaillé ce mardi ?
SF: A l’origine oui, mais j’avais échangé un jour de congé avec un collègue, alors j’avais mon mardi libre et lui était au bureau.

KT : Alors dans un sens, à défaut de meilleur mot, vous étiez vraiment chanceux d’être de repos ce jour ?
SF: Très chanceux. Habituellement, j’étais au bureau à 7heure du matin et je prenais le petit déjeuner avec des collègues à la cafétéria du 96eme étage vers 8h30 du matin. En fait, un de mes collègues était dans la cafétéria quand le premier avion a frappé la tour 1. Il le regardait arriver au dessus de Manhattan.

KT: Il l’a vu arriver ? Comment avez vous trouvé cette info ?
SF: Et bien il a survécu et nous en avons souvent parlé. On avait l’habitude de blaguer à propos des avions au dessus de Manhattan et ce jour, un avion a frappé le WTC. Il a couru en dehors du café et pris ses collègues dans son équipe et quitté le building. S’il n’avait pas vu l’avion de ses propres yeux, lui et son équipe auraient été de loin bien plus tranquilles, j’en suis certain.

KT: Etait-ce le même collègue avec lequel vous aviez échangé votre jour ?
SF : Non.

KT: Pouvez vous nous dire rapidement, où se trouvait le collègue avec lequel vous aviez échangé votre jour de congé, au moment où l’avion s’est écrasé et comment il s’est organisé pour s’échapper ?
SF: Il était à son bureau au 97eme étage, regardant au sud vers la statue de la liberté . Il a entendu l’avion frapper l’autre tour et juste pris son baluchon et quitté notre tour par ascenseur. J’avais d’autres collègues qui ne sont pas partis aussi vite – certains ont survécu, d’autres pas .

KT: Combien de personnes de votre société ne s’en sont pas sorties ce matin là ?
SF: 89 ont été perdues je crois. 20 de mon service . (voir liste)

KT: Beaucoup de ces gens devaient être vos amis et aussi vos collègues, vous les voyiez et travailliez avec eux chaque jour au travail ?
SF : Oui, beaucoup d’amis proches.

KT: Une chose que je dois demander est, lorsque je passais en revue ceux de votre société qui ont péri ce jour, il m’a semblé qu’aucun employé de haut niveau de votre société—tel que les responsables, directeurs, vice président, ect – n’étaient parmi les victimes. Ai-je bien lu ?
SF: Pas exactement. Certains de mon service, six des 20 étaient des responsables. toutefois c’est un fait établit qu’aucun directeur ou vices présidents n’ont été perdu.

KT: Sur les étages occupés par votre société dans le WTC 2, les étages 90, 94 à 97, la plupart des dirigeants étaient au 90eme étage ?
SF : Oui.

KT: Savez vous si la plupart des dirigeants de votre société étaient dans le building quand l’avion s’est écrasé ?
SF: Franchement je ne sais pas. Je sais que certains étaient absents du bâtiment et certains étaient dans le building et se sont échappés

KT: Etiez vous à votre domicile le 11 Septembre. Pouvez vous nous dire ce que vous avez fait au moment ou vous avez entendu que le premier avion s’était écrasé ?
SF: Je prenais mon café à la maison quand j’ai entendu le premier avion frapper la tour nord. J’ai pensé que c’était un accident de voiture dans la rue plus bas (je vivais au 15eme étage) et alors je suis allé à la fenêtre et j’ai  ouvert le volet pour regarder (les volets étaient fermés à cause de la lumière du soleil) et là devant moi, j’ai vu la fumée sortir de la tour nord.

KT : A quoi avez-vous pensé immédiatement concernant ce qui était arrivé à la tour Nord ?
SF: J’ai pensé que c’était une explosion depuis le restaurant “Windows on the world”, mais j’ai allumé ma télé et, au même moment , les informations commençaient montrant l’évènement depuis la direction nord et donnaient l’information qu’un avion s’était écrasé.

KT: Est ce que les informations ont dit quelle sorte d’avion ?
SF : Un “avion de ligne” je crois.

KT: Vous souvenez vous du temps qui s’est écoulé entre le moment où vous avez entendu le crash et celui où les informations disent qu’il s’agissait d’un « avion de ligne » ?
SF : Presque instantanément.

KT: Après que vous ayez entendu qu’un avion s’était écrasé là, avez vous pensé que ce soit quelque chose de douteux ou juste un accident ?
SF: Non je n’ai pas pensé que c’était un accident – J’étais hautement suspicieux, au point d’en appeler le bureau, d’en parler aux collègues et je leur ai dit de partir immédiatement.

KT: Juste pour être clair, vous étiez suspicieux immédiatement après que le premier avion se soit écrasé sur la tour nord et avant que le second avion s’écrase ?
SF : Oui.

Kt: Pouvez vous décrire pourquoi vous étiez suspicieux immédiatement ?
SF: Ca ne semblait crédible. Un avion commercial ne s’écrase pas apparemment intentionnellement en plein jour à Manhattan.

KT : Alors c’était davantage un sentiment viscéral ?
SF: Oui. Lorsque le second avion a frappé la tour sud, J’ai immédiatement pensé aux conditions de coupure de courant dans la tour sud ce week end précèdent et je regardais le second avion arriver au dessus de la baie de New York, au dessus de Staten Island, à des miles de là….

KT: Etiez vous capable de voir nettement le second avion qui arrivait ou avez-vous juste vu sa silhouette ?
SF: Il devait être à peu près à 1,5 miles ( 2,4 km environ) de mon appartement au plus près. Je l’ai vu quelques temps, pas de près , mais un moment.

KT: Etiez vous capable de voir de quelle sorte d’avion il s’agissait, ou de quelle compagnie aérienne ?
SF : Non je ne pouvais pas dire quel type d’avion ni quelle compagnie aérienne c’était – Tout ce que j’aurais pu dire est que c’était un avion de ligne à 2 réacteurs qui allait extrêmement vite.

KT : Aviez vous une idée sur le type d’avion dont il s’agissait (avion de ligne commercial, militaire, grand, petit) ?
SF: Non, en fait ma naïveté m’a fait penser que c’était un “tanker” ou une sorte de “tanker”, venant lâcher de l’eau sur les flammes de la tour Nord.

KT: laissez moi revenir un peu en arrière, après que le premier avion se soit écrasé, avez vous essayé d’appeler vos collègues dans le WTC ?
SF: Oui. J’ai appelé le type près duquel j’étais assis – Son numéro était le premier dont je pouvais me souvenir – il a répondu et je lui ai parlé et à un autre. Ils avaient entendu le crash, se sont précipités aux fenêtres et ont vu la fumée mais ne savaient pas ce que c’était. J’étais capable de leur dire et je leur ai dit de fuir immédiatement.

KT: Sont ils partis immédiatement ?
SF: Certains l’ont fait et d’autres pas. Certains ont pris les ascenseurs et certains ont pris les escaliers .

KT: Avez vous réalisé que vous aviez probablement aidé à sauver certaines de leur vies en leur disant de partir immédiatement et avez vous pu prévenir qui que ce soit dans la tour Nord ?
SF: Je ne connaissais personne dans la tour Nord, et je ne pense pas avoir aidé qui que ce soit. En fait rétrospectivement, je me demande pourquoi je n’ai pas appelé plus de gens .

KT: La prochaine question que je veux poser concerne les nombreux rapports de personnes dans le WTC qui disaient qu’elles avaient entendu des bruits de sauts, des grondements et d’autres bruits associés à des explosions qui avaient lieu dans le building. Y’a-t-il qui que ce soit se trouvant dans le WTC le 11 septembre avec qui vous ayez discuté qui vous en ait parlé aussi ?
SF: Pas directement ceux à qui j’ai parlé, mais je suis au courant d’un membre de l’équipe qui a disparu dont l’épouse a rapporté qu’il lui avait dit au téléphone que des explosions avaient lieu.

KT: Avez vous une idée de l’heure à laquelle il lui a parlé ou de l’heure à laquelle il a entendu ces explosions ?
SF: Entre 9h15 et 9h58 du matin approximativement – Vous pouvez lire le compte rendu de la conversation dans les archives du ”New York Times” [Voir: Edmund McNally]

Kt: A quel étage était-il ?
SF: 97eme

KT: Il a été rapporté des explosions dans les fondations des 2 tours et des preuves vidéos montrant des dégâts dans les 2 secteurs des halls qui ressemblent à ceux qu’une bombe aurait causé . Y’a-t-il qui que ce soit que vous connaissez et qui a pu s’enfuir de la tour Sud qui ait déjà fait mention de quelques dégâts dans la zone du Hall ?
SF : Non hormis le verre brisé de l’impact de l’avion et les ascenseurs qui se sont écrasés. Plusieurs câbles d’ascenseurs ont été sectionné alors ils se sont écrasés au sol.

KT: Etes vous toujours en contact avec quiconque qui se soit échappé de la tour sud ?
SF: Oui

KT: Y a t il certaines de ces personnes, ou n’importe qui d’autre qui se trouvait dans la tour sud, qui auraient parlé publiquement de la coupure de courant du week end précèdent ou rapporté avoir entendu des explosions dans le bâtiment lorsqu’ils y étaient ?
SF : Plein, plein de gens m’ont parlé de la coupure de courant et une a été contactée par un journaliste selon mes informations.

KT: Récapitulons un peu, vous dites que vous avez senti que quelque chose n’était pas normal lorsque le premier crash a eu lieu et lorsque le second s’est produit, vous avez senti que cela avait quelque chose à voir avec la coupure de courant dans la tour sud où vous travailliez. Avez-vous immédiatement pensé qu’il s’agissait d’un sabotage à ce moment et avez-vous pensé que cela impliquait peut être le propriétaire du WTC, ou également suspecté que cela pouvait aussi impliqué quelqu’un du gouvernement ?
SF: Je n’ai pas pensé qu’un groupe spécifique était en cause, mais j’ai immédiatement été très suspicieux à propos de la coupure de courant. La synchronisation coïncidait tellement.

KT : j’aimerais savoir à quel moment vous avez commencé à ressentir que l’avion écrasé était une sorte de sabotage ? Avez-vous pensé qu’il s’agissait d’un sabotage ?
SF: C’est encore un peu précoce . Je rassemble ce que j’ai vu de mes propres yeux et la connaissance de la coupure de courant et j’arrive alors une grande suspicion sur l’histoire “officielle”. Ça ne me semble juste pas être l’entière vérité.

KT: Lorsque les tours sont tombées, Cela a t-il crée une tonne de doutes supplémentaires pour vous ?
SF : Quand la première tour s’est effondrée, c’est là que mes soupçons ont commencé .

Kt: Un aspect du 11 septembre qui a probablement amené la plupart des gens à douter des attaques est, l’effondrement de la tour de 47 étages, la tour 7 du WTC.  Beaucoup de gens ne savaient rien jusqu’à ce que, plusieurs mois après, cela a commence à apparaitre sur des sites « conspirationnistes » (c’est ainsi que je l’ai appris).
Avez-vous été témoin de l’effondrement de la tour 7 du WTC depuis l’appartement de votre immeuble et avez-vous entendu quoique ce soit à ce sujet dans les informations locales de New York City ?
SF: Oui, j’ai été alerté par la télévision (CNN je pense) et lorsque j’ai regardé par la fenêtre j’ai vu un nouveau panache de fumée émerger du site. Je ne l’ai cependant pas vu s’effondrer réellement.

KT: Avez vous vu beaucoup d’infos à propos de cet effondrement immédiatement après ou vu quelques reportages  sur l’effondrement du WTC 7 à la télévision ?
SF : Je me souviens avoir vu un reportage sur CNN sur le moment et sur d’autres chaines et programmes plus tard.

KT : Diriez vous qu’il y avait beaucoup d’information traitant de l’effondrement de la tour 7 du WTC ou relativement peu ?
SF: Peu, c’était seulement pris en compte dans le contexte de l’effondrement des autres tours.

KT : Quand avez vous commencé à parler publiquement de la coupure de courant dans la tour sud et de votre sentiment de suspicion général au sujet des attaques ?
SF: Dès le premier jour, mais plus fort environ 2 mois après lorsque ma société s’est reconstruite sur le site « Disaster Recovery » dans le New Jersey.

KT : A qui avez-vous commencé à en parler en premier ?
SF: Mes collègues et amis.

KT: Quelle fût leur réaction ?
SF: Certains étaient sceptiques dans l’immédiat , dans une réaction mitigée de vengeance et de colère

KT: Certains d’entre eux ont-ils commencé à prendre votre histoire au sérieux, après que la colère et la rage se soient apaisées un tant soit peu?
SF: Bien sur, quelques  uns l’ont fait, mais beaucoup restaient sceptiques et franchement ne voulaient pas se remémorer ce moment qui était très douloureux.

KT: Quand êtes vous retourné en Angleterre ?
SF: Je suis revenu au Royaume Uni en Mai 2003.

KT: Quand avez vous essayé de commencer à raconter votre histoire au gouvernement officiel ? Avez-vous aussi essayé de contacter les médias ?
SF: J’ai envoyé des messages électroniques et des lettres à la commission sur le 11 septembre et aux autorités portuaires de New York/New Jersey, sans réponse, et j’ai envoyé des e-mails et parlé à plusieurs auteurs indépendants et radio diffuseur . Aucune sortie sur les médias classiques.

KT: Donc la commission d’enquête sur le 11 septembre et les autorités portuaires ne sont jamais revenues vous contacter ?
SF : Non.

KT: Avez vous eu le sentiment qu’il devait y avoir une tentative d’étouffement?
SF: Bien sur – C’est naturel n’est ce pas – penser que cela pouvait être juste inefficace . Tout ce que je cherche c’est une reconnaissance, que la coupure de courant a eu lieu et qu’une enquête soit effectuée.

KT: Donc, aucun “officiel” n’a reconnu la coupure de courant dont vous avez été témoin dans la tour sud ?
SF: Pas que je sache.

KT: Combien de fois avez vous essayé de contacter la commission d’enquête sur le 11 septembre ou d’autres officiels ?
SF : Trois fois au total.

KT: Y a t-il quelqu’un d’autre de votre société ou qui aurait été témoin de la coupure de courant qui a essayé de contacter des officiels ?
SF: ça Je ne sais pas.

KT: Quand avez vous essayé de contacter les medias alternatifs pour essayer de raconter votre histoire ?
SF: J’ai écrit 3 ou 4 lignes sur un blog en 2003. Ce fût ma première fois.

Kt: Y a t-il des medias d’information étrangers ou locaux Anglais qui ont déjà essayé de vous contacter à propos de votre histoire ?
SF: Oui, récemment, j’ai parlé en face à face filmé avec un journaliste néerlandais, travaillé pour un documentaire sur le 11 Septembre et j’ai été interviewé par 2 journalistes anglais aussi.

KT: Avez vous le sentiment que les medias traditionnels Etats-Uniens ont été moins intéressés par votre histoire que les medias traditionnels étrangers ?
SF: Oui, énormément.

KT: Une idée de la raison?
SF: Je sens que les medias Etats-Uniens et Américains en général ont un tempérament sécuritaire et aseptisé .
Ils sont moins disposés à critiquer leur gouvernement et leur pays que les médias étrangers et les individus, au point de ne pas remettre en question des demie-vérités. En outre, le 11 Septembre fait désormais parti de l’Histoire Américaine, aimée presque sainte – questionner c’est trahir.

KT: Quel a été l’intérêt de vos medias alternatifs et des autres médias alternatifs étrangers pour votre histoire comparé au medias alternatifs Etats-Uniens ?
SF: J’ai parlé à des journalistes Anglais, Néerlandais et Australiens, autant qu’aux médias Américains populaires. J’ai été surpris que les medias US populaire ne soient pas agressifs – Mais je suis en dehors des Etats-Unis maintenant.

Kt: Avez vous la sensation que davantage de gens dans votre pays et dans le reste de l’Europe sont plus sceptiques à propos du 11 Septembre que la plupart des Américains ?
SF : Certainement ! Laissez moi vous mettre sur la voie, je suis anglais travaillant aux Etats-Unis durant le 11 Septembre. J’ai été contacté par la police de Londres pour m’interroger (me débriefer), mais aucun de mes collègues Américains n’a été contacté par la police ou le FBI ou autre service. Etrange.
« Modifié: 28 mars 2007, 01:47:43 pm par Jacques »

JacquesL

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« Réponse #3 le: 17 février 2007, 11:16:27 am »
Posté le 23/07/2006 15:51:44
 L'état de la synthèse des informations, par Jean-Pierre Petit :
http://www.jp-petit.com/Divers/PENTAGATE/REOPEN911/reopen911_0.htm

Avec un dessin de juge faisant pencher la balance, sous la demande de sa hiérarchie pour museler la presse d'investigation et de réflexion, dont je vais demander à JPP l'autorisation de la reproduire.


Posté le 26/07/2006 11:43:10
L'incendie du gratte-ciel de Madrid, Windsor building :
http://www.whatreallyhappened.com/spain_fire_2005.html
http://www.whatreallyhappened.com/IMAGES/madrid.windsor.fire.ap.wmv
et
http://www.whatreallyhappened.com/IMAGES/madrid.windsor.fire.1.wmv

Une photo avant l'incendie l'hotel est la tour de gauche:
http://www.espanolsinfronteras.com/imágenes/Madrid%20-%20Edificio%20Windsor.jpg

The Collapse of WTC 1:
Madrid Exposes a Fundamental Flaw :
http://www.whatreallyhappened.com/wtc1_core.html

"The building was designed to have a fully loaded 707 crash into it, that was the largest plane at the time. I believe that the building could probably sustain multiple impacts of jet liners because this structure is like the mosquito netting on your screen door - this intense grid - and the plane is just a pencil puncturing that screen netting. It really does nothing to the screen netting."
Interview de DeMartini :
http://www.prisonplanet.com/articles/november2004/141104designedtotake.htm

http://www.whatreallyhappened.com/9-11_wtc_videos.html
Analyse de la vidéo à
http://www.whatreallyhappened.com/911_smoking_gun.html
Vidéo : http://www.whatreallyhappened.com/IMAGES/wtcshake.wmv

Autres témoignages particulièrement accablants, concernant les procédés utilisés pour débrancher toutes les sécurités avant l'impact final :
http://www.whatreallyhappened.com/911security.html

Citer
Both WTC 6 and WTC 7 were evacuated within minutes of Flight 11 striking WTC 1 - this didn't happen in the twin towers.
http://911research.wtc7.net/wtc/attack/wtc7.html
http://911research.wtc7.net/wtc/attack/wtc6.html

 There were no evacuation announcements in WTC 1 following the plane strike, and workers were encouraged to stay in their building...
http://www.whatreallyhappened.com/wtc1_survivor.html

Dan Baumbach - WTC 1 Survivor

Dan Baumbach, 24, a software engineer from Merrick, was stunned to find that building officials in One World Trade Center were telling workers not to evacuate even after the first jet struck.

"You can try it, but it's at your own risk," he quoted one official as telling a group of 100 people on the 75th floor. Many chose to follow that advice; Baumbach continued his descent from the 80th floor and survived, but only after braving the debris that fell when the neighboring tower collapsed.

"The reason we got out was because we didn't listen," he said.
[Newsday http://www.newsday.com/news/printedition/newyork/ny-nyevac132363609sep13.story]

   In the neighboring south tower people were also evacuating, but an announcement over the PA system tells them their building is secure and they can return to their desks..."

WMV video download (43kB) :
http://www.whatreallyhappened.com/IMAGES/911.wtc.2.announcement.wmv

Stanley Praimnath - WTC 2 Survivor

'If they had continued on and exited the building, all of their lives would have been spared. As it was, that's not the way it happened.

"As soon as we reached the concourse level, the security guard stopped us and said, 'Where are you going?'

Stanley explained about seeing the fire in Tower One. According to Stanley, the guard said, "Oh, that was just an accident. Two World Trade is secured. Go back to your office."'
[Mercola :
http://www.mercola.com/2001/sep/19/testimony.htm ]
Jackasses With Bullhorns: "WTC 2 is secure!"
http://www.whatreallyhappened.com/jackasses.html
More accounts :
http://observer.guardian.co.uk/international/story/0,6903,552730,00.html...
Ceux qui travaillaient au dessus du point d'impact, et qui ont survécu, sont ceux qui ont désobéi aux consignes de rester sur place. Ceux qui ont obéi sont tous morts. Il a donc bien eu volonté de liquider tous les témoins des bizarreries des jours précédents, et programmation de l'assassinat en masse.



Posté le 26/07/2006 13:17:35
Abruptly, there was an ear-splitting noise.
http://www.asne.org/index.cfm?ID=3423#awakes

Le bruit de l'explosion de minage précède l'effondrement de la tour. Et pourtant le son voyage nettement moins vite que la lumière...



Posté le 27/07/2006 10:21:02
La WTC7 est la seule à s'écrouler aussi brusquement que les twins towers, les autres tours ont été endommagées mais aucune ne s'est écroulée.

http://archontes.free.fr/WTC7.avi


Autres vidéos encore disponibles :
http://video.google.fr/videosearch?q=WTC+7
Par exemple celle-ci :
http://video.google.fr/videoplay?docid=5653955826753385916&q=WTC+7

De toute évidence, on nous a pris pour des cons. Avec un plein succès.



Posté le 27/07/2006 15:51:36
Sur cette vidéo, vérifiez le temps comme moi : j'ai compté dix secondes entre le moment où le bruit de l'explosion de minage parvient à la caméra, de l'autre côté de la rivière, et le moment où la tour nord (WTC 1) commence à s'effondrer. Je vois le nuage de poussière dans la rue à 9 secondes :
http://video.google.fr/videoplay?docid=2638975558038550089&q=WTC+1
Après réexamen soigneux de la vidéo, je vois le début de la fumée en bas, avant que le bruit de l'explosion parvienne à la caméra.

Par ailleurs, dans une des premières vidéos référencées plus haut, pris de beaucoup plus près, on s'étonne du tremblement général de la caméra plusieurs secondes AVANT le début de l'effondrement, 11 secondes si mon Vindu98 me permet de voir les vidéos à leur vitesse nominale (ce qui reste à vérifier sur un système plus performant) :
http://www.whatreallyhappened.com/shake.html
http://www.whatreallyhappened.com/IMAGES/wtcshake.wmv

On attire aussi notre attention sur la modification de la fumée à l'étage de l'incendie, consécutive à cette explosion du minage. Visiblement, cette fumée a été soudain soufflée vers l'extérieur. Vérifiez vous-mêmes.



Posté le 07/08/2006 09:48:23
Les rapports des pompiers :
Plus tard une troisième explosion, bien plus bas, et nous ne savons pas causée par quoi.


http://www.whatreallyhappened.com/9-11_wtc_videos.html
http://www.whatreallyhappened.com/911_firefighters.html



Citer
9/11 NBC News broadcast
[wma download : http://www.whatreallyhappened.com/IMAGES/SecondaryDevices.wma]

"Shortly after 9 o'clock ... [Albert Turi the Chief of Safety for the New York Fire Department] received word of the possibility of a secondary device, that is another bomb going off. He tried to get his men out as quickly as he could, but he said there was another explosion which took place, and then an hour after the first hit - the first crash that took place - he said there was another explosion that took place in one of the towers here, so obviously according to his theory he thinks that there were actually devices that were planted in the building.
   

Two WTC impacts. Three explosions reported.

One of the secondary devices he thinks that took place after the initial impact he thinks may have been on the plane that crashed into one of the towers. The second device - he thinks, he speculates - was probably planted in the building. ... But the bottom line is that he, Albert Turi, said that he probably lost a great many men in those secondary explosions, and he said that there were literally hundreds, if not thousands, of people in those towers when the explosions took place."
"...then somebody said that they saw an airliner go into one of those towers. Then, an hour later than that we had that big explosion from much, much lower down and I don't know what caused that."
WMV video download (268kB) :
http://www.whatreallyhappened.com/IMAGES/bbc_evans.wmv
http://www.whatreallyhappened.com/eyewitness.html

Clairement, la cause est entendue : le minage est établi, pour les trois tours WTC1, WTC2, WTC7.
« Modifié: 05 juillet 2008, 12:52:31 am par Jacques »

JacquesL

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100 personnalités contestent la version officielle du 11 septembre
« Réponse #4 le: 17 février 2007, 11:21:09 am »
Posté le 07/08/2006 09:48:49
Théorie du Non complot

Extrait des débats passionnés sur fr.sci.physique :
Citer
dm wrote:

> Peut-être que la réponse la plus simple à toutes ces questions
> est qu'il n'y a pas de complot ?



C'est ce qu'on nomme la /théorie du non-complot/ : le riches ne cherchent pas à conforter leur richesse ni les puissants leur pouvoir, et tout le monde travaille dans la plus pure transparence dans un grand élan de youkaïdi et d'amitié vraie, empreinte de totale franchise et s'interdisant toute rétention d'information.

Cela marche d'ailleurs très bien dans les bouquins. Dans les bouquins seulement.
Par fda, ce croquis de la théorie du non-complot.



Posté le 07/08/2006 10:25:47
Citer
jfc a écrit :
> J'ai lu aujourd'hui que la CIA avait sans succès tenté 238 fois
> d'assassiner Fidel castro ! :-)
Dans l'émission de la semaine dernière sur Arte, consacrée aux guerres secrètes de la CIA, la CIA n'en avouait que 30 tentatives environ, toutes approuvées par le président, JFK.
[/size]
Citer

> Il y a des choses comme ca qui remettent les pendules à l'heure
>
> J'était gosse quand mon père m'a dit (il a subi des bombardements
> américains en France) que les américains avaient des moyens énormes mais
> faisaient toujours tout sans finesse (on sait pas ou est l'ennemi=tapis
> de bombe)et se faisaient souvent avoir comme des débutants.
>
> un bonne analyse du problème dont on parle a été à mon avis donné par
> Thomas Vallieres dans Marianne :
>
> Marianne" N° 258, 1er au 7 avril 2002
> dossier de 6 pages consacré à l'affaire Meyssan.
> de Thomas Vallières
>
>  "LES MENSONGES D'HIER CONFORTENT LA PARANO D'AUJOURD'HUI"
>
> (...)il y eut les attentats "communistes"en Iran dont la CIA a fini par
> avouer qu'ils étaient en réalité son oeuvre et lui permirent de
> renverser le gouvernement nationaliste du Dr Mossadegh. il y eut le faux
> "incident du golfe du tonkin", dont on sait aujourd'hui qu'il s'agissait
> d'une intox destinée à justifier l'intervention américaine au Vietnam,
> il y'eut les bobards également répandus par les services secrets
> americains qui préludèrent à l'organisation du coup d'état au Guatémala
> .(...) Guerre du golfe (...) Balkans (...) Presque tous les médias se
> firent involontairement complices de cette mensongère et hystérique
> propagande (...) dans la plupart des pays européens et aux Etats-Unis,
> ils esquissèrent, généralement une autocritique, en France (...) on a
> n'eut droit à aucun méa culpa. C'est évidemment ce constat qui a
> contribué à créer un climat favorable à n'importe quelle théorie, y
> compris la plus démente, se donnant comme démystification d'une thèse
> officielle (...)c'est en France que le terreau est le plus fertile aux
> thèmes du complot les plus abracabrantesques. terrible retour de flamme !
>
Si je comprends bien, il faut faire deux tas :
D'une part les complots du passé qui ont été éventés et prouvés,
ceux-là, on renonce à les démentir. D'ailleurs leur résultat politique est désormais hors d'atteinte, alors bôf !

D'autre part les complots plus récents, pas encore démasqués à 100%,
et dont les effets politiques sont encore fragiles  et pas encore
assaurés à 100%, et ceux là ne sauraient en aucun cas exister.
D'ailleurs seuls de noirs adeptes de la théorie du complot, qui
n'agissent que par cupidité, osent se pencher dessus...



Posté le 04/10/2006 02:41:32
Comment ? Seulement 115 mensonges ?




Le rapport de la « commission d’enquête » présidentielle passé au crible
115 mensonges sur les attentats du 11 septembre
par David Ray Griffin*
Il n’existe toujours pas de version officielle des attentats du 11 septembre 2001. Aucune enquête judiciaire n’a été ouverte sur les attentats eux-mêmes, ni d’enquête parlementaire d’ailleurs. Tout au plus dispose-t-on d’une version gouvernementale explicitée par un rapport rendu par une commission présidentielle. Le professeur David Ray Griffin, qui a consacré un ouvrage de référence à l’étude de ce rapport, y a relevé 115 mensonges dont il dresse ici la liste.
    

(JPEG)
Effondrement de la tour n°7 du World Trade Center
La commission d’enquête n’a pas abordé le sujet. Ce bâtiment n’a été touché par aucun avion et son effondrement présente les caractéristiques d’une démolition contrôlée (cf. vidéo).

Pour chaque mensonge, on se référera aux analyses du professeur David Ray Griffin dans son ouvrage Omissions et manipulations de la Commission d’enquête. Les chiffres entre parenthèse renvoient aux pages du livre dans son édition originale états-unienne.

1. L’omission de la preuve qu’au moins six des pirates de l’air présumés (dont Waleed al- Shehri, que la Commission accuse d’avoir poignardé une hôtesse de l’air du vol UA11 avant que celui-ci s’écrase sur la tour Nord du World Trade Center) sont toujours vivants (19-20).

2. L’omission des preuves concernant Mohamed Atta (comme son penchant signalé pour l’alcool, le porc et les danses érotiques privées – lap dances – ) sont en contradiction avec les affirmations de la Commission selon lesquelles il était devenu un fanatique religieux (20-21).

3. La confusion volontairement créée autour des preuves que Hani Hanjour était un pilote trop incompétent pour amener un avion de ligne à s’écraser sur le Pentagone (21-22).

4. L’omission du fait que les listes des passagers (flight manifests) rendues publiques ne contenaient aucun nom d’Arabe (23).

5. L’omission du fait qu’un incendie n’a jamais causé l’effondrement total d’un bâtiment à structure d’acier, ni avant ni après le 11 Septembre (25).

6. L’omission du fait que les incendies des Tours Jumelles n’étaient ni extrêmement étendus, ni particulièrement intenses, ni même très longs en comparaison avec d’autres incendies dans des gratte-ciels (de structures) similaires, qui eux ne se sont jamais écroulés (25-26).
(JPEG)
« Omissions et manipulations de la commission d’enquête sur le 11 septembre »
Le livre de D. Ray Griffin, en version française, est disponible à la vente sur le site des Éditions Demi-lune.

7. L’omission du fait qu’étant donné l’hypothèse que les effondrements aurait été provoqués par l’incendie, la Tour Sud, touchée plus tard que la Tour Nord et en proie à des flammes de moindre intensité, n’aurait pas dû s’effondrer la première (26).

8. L’omission du fait que le bâtiment n°7 du WTC (qui n’a pas été touché par un avion et qui ne fut le théâtre que de petits incendies localisés) s’est aussi écroulé, un événement que l’Agence Fédérale pour le Traitement des Situations d’Urgence (FEMA) a reconnu ne pouvoir expliquer (26).

9. L’omission du fait que l’effondrement des Tours Jumelles (et du bâtiment n°7) présente au moins 10 caractéristiques d’une démolition contrôlée (26-27). 10. L’assertion que le coeur de la structure de chacune des Tours Jumelles était « un puits d’acier vide », une affirmation qui nie la présence de 47 massives colonnes d’acier qui constituaient en réalité le coeur de chaque tour et qui, selon la théorie de « l’empilement des étages » (the « pancake theory ») explicative des effondrements, aurait dû restées dressées vers le ciel sur de nombreuses dizaines de mètres (27-28).

11. L’omission de la déclaration de Larry Silverstein [le propriétaire du WTC] selon laquelle il décida, en accord avec les pompiers, de « démolir » (to « pull », argot technique) le bâtiment n°7 (28).

12. L’omission du fait que l’acier des bâtiments du WTC fut rapidement déblayé de la scène du crime et embarqué sur des navires à destination de l’étranger AVANT qu’il puisse être analysé pour y déceler des traces d’explosifs (30).

13. L’omission du fait que le bâtiment n°7 ayant été évacué avant son effondrement, la raison officielle invoquée pour le déblaiement rapide de l’acier [sur ce site] (que certaines personnes puissent être encore vivantes sous les décombres) ne faisait aucun sens dans ce cas précis (30).

14. L’omission de la déclaration du maire R. Giuliani selon laquelle il avait été prévenu que le WTC allait s’effondrer (30-31).

15. L’omission du fait que Marvin Bush, le frère du Président, et son cousin Wirt Walker III étaient tous les deux directeurs de la société chargée de la sécurité du WTC (31-32).

16. L’omission du fait que l’aile Ouest du Pentagone [celle effectivement touchée] était la moins susceptible d’être prise pour cible par des terroristes de al-Qaida, pour plusieurs raisons (33- 34).

17. L’omission de toute discussion pour établir si les dommages sur le Pentagone étaient compatibles avec l’impact d’un Boeing 757 se déplaçant à plusieurs centaines de kilomètres/heure (34).

18. L’omission du fait qu’il existe des photos montrant que la façade de l’aile Ouest ne s’est effondrée que 30 minutes après la frappe, et aussi que le trou d’entrée apparaît bien trop petit pour un Boeing 757 (34).

19. L’omission de tout témoignage contradictoire au sujet de la présence ou de l’absence de débris visibles d’un Boeing 757 que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur du Pentagone (34-36).

20. L’absence de toute discussion pour établir si le Pentagone disposait d’un système de défense anti-missile capable d’abattre un avion de ligne commercial, bien que la Commission suggéra que les terroristes d’al-Qaida n’attaquèrent pas une centrale nucléaire parce qu’ils assumaient qu’elle serait ainsi défendue (36).

21. L’omission du fait que les images de différentes caméras de surveillance (y compris celles de la station service en face du Pentagone, dont le film fut confisqué par le FBI immédiatement après la frappe) pourraient sans doute donner une réponse à ce qui a réellement percuté le Pentagone (37-38).

22. L’omission de la référence du Ministre de la Défense D. Rumsfeld à « un missile [utilisé] pour endommager [le Pentagone] » (39).

23. L’approbation apparente de la réponse totalement insatisfaisante à la question de savoir pourquoi les agents des Services Secrets permirent au Président Bush de rester dans l’école de Sarasota à un moment où, selon la version officielle, ils auraient dû assumer qu’un avion détourné aurait pu prendre l’école pour cible (41-44).

24. L’échec à expliciter pourquoi les Services Secrets n’ont pas demandé la protection de chasseurs pour [l’avion présidentiel] Air Force One (43-46).

25. Les affirmations selon lesquelles lorsque le cortège présidentiel arriva à l’école [de Sarasota], personne dans l’assistance ne savait que plusieurs avions avaient été détournés (47-48).

26. L’omission du rapport selon lequel le Ministre de la Justice John Ashcroft fut averti d’arrêter de prendre des lignes aériennes commerciales avant le 11 Septembre (50).

27. L’omission de l’affirmation de David Schippers qu’il avait, sur la base d’informations fournies par des agents du FBI à propos d’attaques prévues dans le Sud de Manhattan, tenté en vain de transmettre cette information au Ministre de la Justice John Ashcroft pendant les 6 semaines précédant le 11 Septembre (51).

28. L’omission de toute mention que des agents du FBI auraient affirmé avoir eu connaissance des cibles et des dates des attaques [terroristes] longtemps à l’avance (51-52).

29. L’affirmation, par une réfutation circulaire qui présume la question résolue, que le volume inhabituel des achats d’options à la baisse avant le 11 Septembre n’impliquait pas que les acheteurs savaient à l’avance que les attaques se produiraient. (52-57)

30. L’omission des rapports selon lesquels le maire [de San Francisco] Willie Brown et certains responsables du Pentagone reçurent des mises en garde sur le fait de prendre l’avion le 11 Septembre (57).

31. L’omission du rapport selon lequel Oussama ben Laden, qui était déjà le criminel le plus recherché des États-Unis, fut traité en juillet 2001 par un docteur américain à l’hôpital américain de Dubai et y reçu la visite de l’agent local de la CIA (59).

32. L’omission des articles suggérant qu’après le 11 Septembre, l’armée américaine laissa délibérément Oussama ben Laden s’échapper (60).

33. L’omission de rapports, incluant celui sur la visite par le chef des services de renseignements saoudiens à Oussama ben Laden à l’hôpital de Dubai, qui sont en contradiction avec la version officielle selon laquelle Oussama fut renié par sa famille et son pays (60-61).

34. L’omission du compte-rendu de Gerald Posner sur le témoignage de Abu Zubaydah, selon lequel trois membres de la famille royale saoudienne (qui périrent tous mystérieusement à huit jours d’intervalle) finançaient al-Qaida et avaient une connaissance anticipée des attaques du 11 Septembre (61-65).

35. Le démenti par la Commission d’avoir trouvé une preuve du financement d’al-Qaida par les Saoudiens (65-68).

36. Le démenti par la Commission d’avoir trouvé une preuve que de l’argent de la femme du Prince Bandar, la Princesse Haifa, alla à des agents d’al-Qaida (69-70).

37. Le démenti, en ignorant tout simplement la distinction entre vols privés et vols commerciaux, que le vol privé transportant des Saoudiens de Tampa à Lexington le 13 Septembre violait les règlements de l’espace aérien en vigueur à cette date (71-76).

38. Le démenti que des Saoudiens furent autorisés à quitter le territoire des États-Unis peu de temps après le 11 Septembre sans avoir été l’objet d’une enquête appropriée (76-82).

39. L’omission de la preuve que le Prince Bandar obtint une autorisation spéciale de la Maison-Blanche pour les vols des Saoudiens (82-86).

40. L’omission de l’affirmation de Coleen Rowley que des responsables au Q.-G. du FBI avait vu le mémo de Phoenix de l’agent Kenneth Williams (89-90).

41. L’omission du fait que l’agent du FBI à Chicago Robert Wright affirme que le Q.-G. du FBI referma son enquête sur une cellule terroriste, puis tenta de l’intimider pour l’empêcher de publier un livre relatant expériences (91).

42. L’omission de la preuve que le Q.-G. du FBI sabota la tentative de Coleen Rowley et d’autres agents [du FBI] de Minneapolis pour obtenir un mandat pour rechercher l’ordinateur de Zacarias Moussaoui (91-94).

43. L’omission des trois heures trente de déposition devant la Commission par Sibel Edmonds, ancienne traductrice au FBI, déposition qui selon une lettre rendue publique par elle et adressée au Président [de la Commission] Kean, révélait de sérieuses dissimulations de la part de responsables du FBI, en relation avec le 11 Septembre, et ce au Quartier Général même du FBI (94-101).

44. L’omission du fait que le Général Mahmoud Ahmad, le Chef de l’ISI [les Services de Renseignement Pakistanais], se trouvait à Washington une semaine avant le 11 Septembre, et rencontra le Directeur de la CIA George Tenet ainsi que d’autres haut-responsables étasuniens (103-04).

45. L’omission de la preuve que Ahmad, le Chef de l’ISI [les Services de Renseignement Pakistanais] avait ordonné l’envoi de $100,000 à Mohamed Atta avant le 11 Septembre (104- 07).

46. L’affirmation de la Commission qu’elle ne trouva aucune preuve qu’un seul gouvernement étranger, y compris le Pakistan, avait financé des agents d’al-Qaida (106).

47. L’omission du rapport selon lequel l’Administration Bush fit pression sur le Pakistan pour limoger Ahmad de son poste de Chef de l’ISI après la divulgation de l’information selon laquelle il avait ordonné l’envoi d’argent de l’ISI à Mohamed Atta (107-09).

48. L’omission de la preuve que l’ISI (et pas seulement al-Qaida) était derrière l’assassinat de Ahmad Shah Massoud (le commandant de l’Alliance du Nord en Afghanistan), qui se produisit juste après une rencontre qui dura une semaine entre des responsables de la CIA et de l’ISI (110-112).

49. L’omission de la preuve que l’ISI est impliqué dans l’enlèvement et le meurtre de Daniel Pearl, journaliste au Wall Street Journal (113).

50. L’omission du rapport de Gerald Posner selon lequel Abu Zubaydah affirma qu’un officier militaire pakistanais, Mushaf Ali Mir, ayant des liens étroits avec l’ISI et al-Qaida avait une connaissance anticipée des attaques du 11 Septembre (114).

51. L’omission de la prédiction faite en 1999 par Rajaa Gulum Abbas, un agent de l’ISI, que les Tours Jumelles « s’effondreraient » (114).

52. L’omission du fait que le Président Bush et d’autres membres de son Administration évoquèrent à plusieurs reprises les attaques du 11 Septembre comme des « opportunités » (116-17).

53. L’omission du fait que le Projet pour le Nouveau Siècle Américain (« The Project for the New American Century »), dont de nombreux membres devinrent des figures clés de l’Administration Bush, publia un document en 2000 disant qu’un « nouveau Pearl Harbour » aiderait à l’obtention de fonds pour une transformation technologique rapide de l’appareil militaire américain (117-18).

54. L’omission du fait que Donald Rumsfeld, qui était le président de la commission de l’US Space Command et avait recommandé l’accroissement du budget alloué, utilisa les attaques du 11 Septembre le soir même pour s’assurer de tels crédits (119-22).

55. Le fait de ne pas mentionner que les trois hommes responsables de l’échec à prévenir les attaques du 11 Septembre (le Ministre Rumsfeld, le Général Richard Myers, et le Général Ralph Eberhart) étaient également les trois principaux promoteurs de l’US Space Command (122).

56. L’omission du fait que Unocal avait déclaré que les Talibans ne pouvaient pas garantir une sécurité adéquate pour commencer la construction de ses pipelines (de pétrole et de gaz) depuis le bassin Caspien au travers de l’Afghanistan et du Pakistan (122-25).

57. L’omission du rapport selon lequel des représentants des États-Unis dirent à l’occasion d’une rencontre en juillet 2001 que, parce que les Talibans refusaient leur proposition de développer la construction d’un oléoduc, une guerre contre eux commenceraient en octobre (125-26).

58. L’omission du fait que dans son livre publié en 1997 Zbigniew Brzezinski avait écrit que pour que les États-Unis maintiennent leur primauté globale, ils avaient besoin du contrôle de l’Asie Centrale, avec ses vastes réserves de pétrole, et qu’un nouveau Pearl Harbour serait utile pour obtenir l’adhésion de l’opinion publique américaine à ces visées impériales (127-28).

59. L’omission du fait que des membres clés de l’Administration Bush, dont Donald Rumsfeld et son délégué Paul Wolfowitz, s’étaient démenés en faveur d’une nouvelle guerre contre l’Irak pendant de nombreuses années (129-33).

60. L’omission des notes des conversations de Donald Rumsfeld le 11 Septembre qui montrent qu’il était déterminé à utiliser les attaques comme un prétexte pour une guerre contre l’Irak (131-32).

61. L’omission de la déclaration contenue dans le Projet pour un Nouveau Siècle Américain que « le besoin pour une présence américaine forte dans le Golfe dépasse le sujet du régime de Saddam Hussein » (133-34).

62. L’affirmation que le protocole de la FAA (Federal Aviation Agency) au sujet du 11 Septembre requérait le long processus de passer par plusieurs étapes dans la chaîne de commandement, même si le Rapport Officiel [de la Commission] cite des preuves du contraire (158).

63. L’affirmation que ces jours-là, seules deux bases de l’US Air Force dans le secteur Nord- Est du NORAD (North American Aerospace Defense Command pour Centre de Commandement de la Défense de l’Aérospatial de l’Amérique du Nord) conservaient des chasseurs en alerte et qu’en particulier il n’y avait pas d’avions de combat en alerte à McGuire ou à Andrews (159-162).

64. L’omission du fait que la base Andrews de l’US Air Force convervait plusieurs avions de chasse en alerte de façon permanente (162-64).

65. L’acceptation de la double affirmation que le Colonel Marr du NEADS (North East Air Defense Sector) devait téléphoner à un supérieur pour obtenir la permission d’envoyer des chasseurs depuis [la base] d’Otis et que cet appel nécessita huit minutes (165-66).

66. L’approbation de l’affirmation que la perte du signal du transpondeur d’un avion rend virtuellement impossible sa localisation par for par les radars de l’armée américaine (166- 67).

67. L’affirmation que l’interception de Stewart Payne n’a pas montré que le temps de réponse du NORAD au vol AA11 fut extraordinairement lent (167-69).

68. L’affirmation que les chasseurs de la base d’Otis restèrent cloués au sol sept minutes après qu’ils en eurent reçu l’ordre parce qu’ils ne savaient pas où aller (174-75).

69. L’affirmation que l’armée américaine n’était pas informée du détournement du vol UA175 avant 9h03, moment exact où il percutait la tour Sud du WTC (181-82).

70. L’omission de toute explication sur (a) la raison pour laquelle un rapport antérieur du NORAD, selon lequel la FAA avait notifiée les militaires du détournement du vol UA175 à 8h43, était maintenant considéré comme faux et (b) comment ce rapport, s’il était faux, a pu être publié et ensuite laissé non corrigé pendant près de trois ans (182).

71. L’affirmation que la FAA n’a installé de téléconférence qu’à partir de 9h20 ce matin-là (183).

72. L’omission du fait qu’un mémo de Laura Brown de la FAA affirme que la téléconférence fut établie à environ 8h50 et qu’elle porta notamment sur le détournement du vol UA175 (183-84, 186).

73. L’affirmation que la téléconférence de la NMCC, (le Centre National de Commandement Militaire ou National Military Command Center) ne débuta pas avant 9h29 (186-88).

74. L’omission, dans l’affirmation de la Commission que le vol AA77 n’a pas dévié de sa course avant 8h54, du fait que des rapports précédents avaient annoncé 8h46 (189-90). 75. L’échec à mentionner que l’annonce du crash d’un jet dans le Kentucky, à peu près au moment où le vol AA77 disparaissait du radar de la FAA, fut prise suffisamment au sérieux par les responsables de la FAA et de l’unité du contre-terrorisme du FBI pour être relayée à la Maison-Blanche (190).

76. L’affirmation que le vol AA77 vola près de 40 minutes dans l’espace aérien américain en direction de Washington sans être détecté par les radars des militaires (191-92).

77. L’échec à expliquer, si le précédent rapport du NORAD selon lequel il fut notifié du vol AA77 à 9h24 était « incorrect », comment ce rapport erroné a pu voir le jour, c’est-à-dire, de savoir si les responsables du NORAD ont menti ou furent « embrouillés » pendant près de trois ans (192-93).

78. L’affirmation que les avions de combats de Langley, dont le NORAD avait tout d’abord dit qu’ils furent dépêchés pour intercepter le vol AA77, furent réellement déployés en réponse à un rapport erroné de la part d’un contrôleur (non-identifié) de la FAA à 9h21 que le vol AA11 était toujours en l’air et se dirigeait vers Washington (193-99).

79. L’affirmation que les militaires ne furent pas contactés par la FAA à propos du probable détournement du vol AA77 avant que le Pentagone soit touché (204-12).

80. L’affirmation que Jane Garvey ne s’est pas jointe à la vidéoconférence de Richard Clarke avant 9h40, c’est-à-dire après que le Pentagone soit percuté (210).

81. L’affirmation qu’aucune des téléconférences ne parvint à coordonner la FAA et les réponses des militaires aux détournements parce « qu’aucune [d’elles] incluait les bons responsables au sein de la FAA et du Ministère de la Défense », bien que Richard Clarke dise que sa vidéoconférence incluait la Directrice de la FAA Jane Garvey comme le Ministre de la Défense Rumsfeld et le Général Richard Myers, le Chef des Forces Armées par intérim (211).

82. L’affirmation de la Commission qu’elle ne savait pas qui, au sein du Ministère de la Défense, participa à la vidéoconférence avec Richard Clarke alors que Clarke affirme dans son livre qu’il s’agissait de Donald Rumsfeld et du Général Myers (211-212). 83. L’approbation de l’affirmation du Général Myers qu’il se trouvait sur Capitol Hill pendant les attaques, sans mentionner le compte-rendu contradictoire de Richard Clarke, selon lequel Myers était au Pentagone et participait à la vidéoconférence avec Clarke (213-17).

84. L’échec à mentionner la contradiction entre le témoignage de Clarke au sujet de l’emploi du temps de Rumsfeld ce matin-là et les propres déclarations de Rumsfeld (217-19).

85. L’omission du témoignage du Ministre des Transports Norman Mineta, donné à la Commission elle-même, que le Vice-Président Cheney et les autres [personnes présentes] dans l’abri souterrain étaient avertis à 9h26 qu’un avion s’approchait du Pentagone (220).

86. L’affirmation que les responsables du Pentagone ne savaient rien d’un avion s’approchant d’eux avant 9h32, 9h34, ou 9h36, et dans tous les cas seulement quelques minutes avant que le bâtiment soit touché (223).

87. L’acceptation de deux versions contradictoires au sujet de l’appareil qui percuta le Pentagone : une qui relate l’exécution d’une spirale à 330 degrés vers le bas (un « piqué à grande vitesse ») et une autre dans laquelle il n’est pas fait mention de cette manoeuvre (222-23).

88. L’affirmation que les avions de chasse de Langley, qui reçurent soit-disant l’ordre de décoller rapidement pour protéger Washington contre le « vol fantôme AA11 » n’étaient nulle part près de Washington parce qu’ils furent envoyés vers l’océan par erreur (223-24).

89. L’omission de toutes les preuves suggérant que ce qui frappa le Pentagone n’était pas le vol AA77 (224-25).

90. L’affirmation que les militaires ne furent pas informés par la FAA du détournement du vol UA93 avant qu’il ne s’écrase (227-29, 232, 253).

91. La double affirmation que le NMCC n’a pas contrôlé la conférence initiée par la FAA et donc fut incapable de connecter la FAA à la téléconférence initiée par le NMCC (230-31).

92. L’omission du fait que les Services Secrets sont capables de savoir tout ce que sait la FAA (233).

93. L’omission de toute enquête sur les raisons pour lesquelles le NMCC lança sa propre téléconférence, si, comme Laura Brown de la FAA l’a dit, cela n’est pas le protocole standard (234).

94. L’omission de toute enquête sur les raisons pour lesquelles le Général Montague Winfield fut non seulement remplacé par un « bleu » (a rookie), le Capitaine Leidig, en tant que Directeur des Opérations du NMCC mais encore l’a laissé au commandement quand il fut clair que le Pentagone était confronté à une crise sans précédent (235-36).

95. L’affirmation que la FAA notifia (de façon erronée) les Services Secrets entre 10h10 et 10h15 que le vol UA93 était encore dans le ciel et se dirigeait vers Washington (237).

96. L’affirmation que le Vice-Président Cheney ne donna l’autorisation de tir qu’après 10h10 (plusieurs minutes après que le vol UA93 se fut écrasé) et que cette autorisation ne fut pas transmise à l’armée US avant 10h31 (237-41).

97. L’omission de toutes les preuves indiquant que le vol UA93 fut abattu par un avion militaire (238-39, 252-53).

98. L’affirmation que [le Tsar du Contre-Terrorisme] Richard Clarke ne reçut la demande d’autorisation de tir qu’à 10h25 (240).

99. L’omission du propre témoignage de Clarke, qui suggère qu’il reçut cette demande d’autorisation de tir vers 9h50 (240).

100. L’affirmation que Cheney ne gagna l’abri souterrain du PEOC [ou CPOU pour Centre Présidentiel d’Opérations d’Urgence]) qu’à 9h58 (241-44).

101. L’omission de multiples témoignages, dont celui de Norman Mineta [le Ministre des Transports] à la Commission elle-même, que [le Vice-Président] Cheney se trouvait dans le CPOU avant 9h20 (241-44).

102. L’affirmation que l’autorisation d’abattre un avion civil devait être donnée par le Président (245).

103. L’omission de rapports que le Colonel Marr donna l’ordre d’abattre le vol UA93 et que le Général Winfield indiqua que lui et d’autres [officiers] au NMCC s’attendaient à ce qu’un chasseur atteigne le vol UA93 (252).

104. L’omission de rapports indiquant qu’il y avait deux avions de chasse dans le ciel à quelques kilomètres de New York et trois à seulement 320 kilomètres de Washington (251).

105. L’omission du fait qu’il existait au moins six bases militaires avec des chasseurs en état d’alerte dans la région Nord-Est des États-Unis (257-58).

106. L’approbation de l’affirmation du Général Myers que le NORAD avait défini sa mission en termes de défense seulement contre des menaces dirigées [vers les Etats-Unis] depuis l’étranger (258-62).

107. L’approbation de l’affirmation du Général Myers que le NORAD n’avait pas envisagé la possibilité que des terroristes pourraient utiliser des avions de ligne détournés comme des missiles (262-63).

108. L’échec de mettre en perspective la signification du fait, présenté dans le Rapport lui-même, ou de mentionner d’autres faits prouvant que le NORAD avait effectivement envisagé la menace posée par des avions de ligne détournés d’être utilisés comme des missiles (264- 67).

109. L’échec de sonder les implications de la question de savoir comment les manoeuvres militaires (« war games ») programmées ce jour-là purent influer sur l’échec des militaires à intercepter les avions de ligne détournés (268-69).

110. L’échec de discuter la pertinence possible de l’Opération Northwoods avec les attaques du 11 Septembre (269-71).

111. L’affirmation (présentée pour expliquer pourquoi les militaires n’obtinrent pas l’information au sujet des avions détournés à temps pour les intercepter) que le personnel de la FAA inexplicablement faillit à suivre les procédures standards quelques 16 fois (155-56, 157, 179, 180, 181, 190, 191, 193, 194, 200, 202-03, 227, 237, 272-75).

112. L’échec de mentionner que l’indépendance proclamée de la Commission fut fatalement compromise par le fait que Philip Zelikow, son directeur exécutif, était virtuellement un membre de l’Administration Bush (7-9, 11-12, 282-84). (ndt : un proche collaborateur de Mme. Condoleeza Rice)

113. L’échec de mentionner que la Maison-Blanche chercha d’abord à empêcher la création de la Commission [Officielle d’Enquête sur les Attaques Terroristes du 11 Septembre], puis plaça de nombreux obstacles sur sa route, comme le fait de lui accorder un budget extrêmement restreint (283-85). (ndt : estimé à environ 15 millions de dollars, quand le film de fiction « Vol 93 » de Paul Greengrass en a coûté 18, et « World Trade Centre » d’Oliver Stone 4 FOIS PLUS soit 60 millions de dollars ; concernant le premier point, il a fallu attendre 441 jours pour que cette Commission soit créée et M. Bush proposa que M. Kissinger en soit le président…avant de se rétracter sous les critiques virulentes de l’opinion publique.)

114. L’échec de mentionner que le Président de la Commission, la plupart des autres Commissionnaires, et qu’au moins la moitié du personnel avait de sérieux conflits d’intérêt (285-90, 292-95).

115. L’échec de la Commission, qui se vantait que la présentation de son rapport final s’était faite « sans dissension », de mentionner que cela n’avait été possible que parce que Max Cleland, le Commissionnaire le plus critique à l’encontre de la Maison-Blanche qui jura « qu’il ne serait pas complice d’un traitement partial des informations » dut démissionner pour accepter un poste à la Banque Export-Import, et que la Maison-Blanche transmit sa nomination seulement après qu’il soit devenu très direct dans ses critiques (290-291).

Je terminerai en précisant que j’ai conclu mon étude de ce que je suis venu à appeler « le rapport de Kean-Zelikow » en écrivant ceci : Au final, le Rapport de la Commission d’enquête sur le 11 septembre, loin de chasser mes soupçons sur une complicité officielle ne servit qu’à les confirmer. Pourquoi les responsables chargés de la rédaction de ce rapport final s’engageraient dans une telle entreprise de supercherie, si ce n’était pour tenter de couvrir de très grands crimes ? (291).

   David Ray Griffin
Ancien professeur de logique et de théologie à l’université de Claremont




Posté le 05/10/2006 10:48:06
Ce texte est une traduction d'un texte originellement écrit en anglais par David Ray Griffin :
The 9/11 Commission Report: A 571-Page Lie. Il est disponible sur le site 9/11 Visibility Project.

Il s'agit d'un résumé succinct de l'excellent The 9/11 Commission Report: Omissions And Distortions où Griffin décortique le rapport de la commission Kean et en montre les nombreuses omissions, distorsions, contradictions et fieffés mensonges. Les numéros entre parenthèses à chacun des points de la liste longue ci haut renvoient à des numéros de page du livre.

Ainsi :

Citation:
92. L’omission du fait que les Services Secrets sont capables de savoir tout ce que sait la FAA (233).


Indique que ce point est explicité à la page 233. Et qu'y lit-on ? Que Richard Clarke lui-même avait révélé ce fait dans son livre Against All Enemies: Inside America's War on Terror.

Qui est Richard Clarke ? Il fut le Counterterrorism Coordinator de la maison blanche sous deux administrations. Et c'est à ce titre qu'il fut appelé à comparaitre devant la commission.

Or, son livre était déjà disponible à ce moment mais aucun des commissaires ne cru bon l'interroger sur cette révélation (et d'autres) au sujet des services secrets.

Il s'agit d'une omission parmi 115 relevées par Griffin dans son ouvrage. Il y montre noir sur blanc non seulement que le rapport de la commission Kean ne vaut pas le papier sur lequel il est imprimé mais que la version officielle des 19 kamikazes ne tient pas la route, que l'administration Bush a menti à ce sujet, que certains savaient où, quand et comment il allait y avoir attentat et que oui, des éléments de cette administration ont manifestement laissé ces événements se produire.

Griffin avant auparavant écrit le non moins excellent The New Pearl Harbor: Disturbing Questions about the Bush Administration and 9/11. Pour qui cherche une introduction claire, concise et détaillée au sujet de la "complicité américaine" dans les attentats, c'est l'ouvrage que je suggère. Il vient aussi d'éditer avec l'ancien diplomate canadien Peter Dale Scott 9/11 and American Empire: Intellectuals Speak Out, un ouvrage collectif rassemblant des analyses d'universitaires américains, canadiens et britanniques, accréditant toutes l'hypothèse de la complicité US.

Commentaires et liens dûs à "Bobi" que je remercie.
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« Modifié: 05 juillet 2008, 12:49:22 am par Jacques »

JacquesL

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« Réponse #5 le: 28 mars 2007, 02:14:14 pm »
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Pas le choix : mis à la suite, cela brouillait tout l'affichage. J'ai dû scinder.
« Modifié: 30 septembre 2012, 01:57:23 pm par JacquesL »