"
Le Mossad est derrière le 11 septembre", écrit le professeur Zabrosky.
En français :
http://www.mecanopolis.org/?p=16956.
Erreur de traduction : "bouillon de sorcière", ou "brouet de sorcière", et non "balai de sorcière".
En anglais :
http://theinfounderground.com/forum/viewtopic.php?f=4&t=10233&start=30#p38783.
http://sabbah.biz/mt/archives/2010/03/10/zionism-unmasked-the-dark-face-of-jewish-nationalism/http://theuglytruth.podbean.com/2010/03/14/the-ugly-truth-podcast-march-15-2010/http://www.redress.cc/zionism/asabrosky20100312En date du 12 mars 2010, par le Dr Alan Sabrosky :
Le visage sombre du nationalisme juif
« Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a dit un jour à une réunion du Likoud qu’ « Israël n’est pas comme les autres pays. » Curieusement pour lui, cette fois là il disait la vérité, et ça n’est nulle part plus évident que dans l’exemple du nationalisme juif, qu’on lui attribue ou pas l’étiquette de « sioniste ».
Le nationalisme dans la plupart des pays et des cultures peut avoir des aspects positifs et négatifs, unifiant un peuple et, quelquefois, le poussant contre son voisin. L’extrémisme peut émerger, et l’a souvent fait, au moins en partie dans presque tous les mouvement nationalistes/d’indépendance dont je me souviens (par exemple, le mouvement nationaliste français avait La Terreur, le Kenya avait les Mau-Mau, etc.)
Mais alors que l’extrémisme des autres mouvements nationalistes est une aberration, l’extrémisme dans le nationalisme juif est la norme, montant les juifs sionistes (laïques ou observateurs) contre les Goyim (le reste du monde), qui sont potentiellement ou bien des prédateurs ou bien des proies certaines, sinon les deux successivement. Cela ne signifie pas, d’aucune façon, que tous les Juifs ou tous les Israéliens ressentent et agissent ainsi. Mais cela signifie qu’Israël est aujourd’hui ce qu’il ne peut éviter d’être, et ce qu’il serait sous n’importe quel gouvernement élu (un point que je vais développer dans un autre article).
Les différences entre le nationalisme juif (le sionisme) et celui d’autres pays et cultures, sont selon moi quadruples :
1. Le sionisme est un véritable brouet de sorcière de xénophobie, de racisme, d’ultra-nationalisme, de militarisme, ce qui le place en dehors d’un simple « contexte nationaliste » – par exemple, quand j’étais en Irlande (dans les deux portions), je n’ai vu aucune indication selon quoi les IRAs ou quelqu’un d’autre faisaient pression pour qu’une Irlande unie planifie d’envoyer les protestants dans des camps ou à l’extérieur du pays, bien qu’il puisse très bien y en avoir une poignée qui pense ainsi – et qui dépasserait de loin les misères infligées par les nazis ;
2. Le sionisme sape la loyauté civique de ses adhérents dans les autres pays, ce que les autres mouvements nationalistes (et même des mouvements ultra-nationalistes comme le nazisme) n’ont pas fait – par exemple, une grande majorité des Juifs américains, y compris ceux qui n’ont pas ouvertement la double citoyenneté, épousent une forme de la bigamie politique appelée « double loyauté » (à Israël et aux États-Unis) qui est tout aussi malhonnête que la bigamie matrimoniale, les tentatives de faire impasse sur la préséance qu’ils accordent à Israël par rapport aux États-Unis (beaucoup de Rahm Emanuel là-bas qui ont servi dans l’armée israélienne mais PAS dans les forces armées américaines), et n’a absolument aucun parallèle dans le sens d’une identité nationale ou culturelle adoptée par n’importe quel autre groupe ethnique ou racial définissable aux États-Unis – même le Bund nazi aux États-Unis a disparu une fois que l’Allemagne et les États-Unis sont entrés en guerre, avec la quasi-totalité de ses membres se portant volontaires dans les forces armées américaines ;
3. L’« ennemi » des mouvements nationalistes normaux est la puissance occupante et peut-être ses alliés, et une fois l’indépendance assurée, des relations normales avec la puissance occupante sont vraiment la norme, mais pour le sionisme presque tout le monde extérieur est un ennemi réel ou potentiel, ne différant qu’en terme de proximité et de position dans sa très longue liste d’ennemis (qui est maintenant la liste des cibles des États-Unis) ; et
4. Presque tous les mouvements nationalistes (y compris les irrédentistes et les variantes sécessionnistes) ont l’intention de créer un État indépendant à partir d’une population en place ou pour réunir un peuple séparé (comme les Allemands des Sudètes dans les années 1930) – il est très rare qu’il comprenne le déplacement massif d’une autre population indigène, qui est beaucoup plus commune dans les mouvements colonialistes réussis tels qu’aux États-Unis – et peut-être une raison expliquant que la plupart des Américains ne se sentent pas concernés par ce que les Israéliens font subir aux Palestiniens, même s’ils le savaient, puisque ce n’est pas tellement différent de ce que les Européens d’Amérique du Nord ont fait aux Amérindiens ici sur une plus longue période de temps et avec une technologie peu développée.
Les implications pour les perspectives de paix au Moyen-Orient, et pour d’autres pays sous l’emprise (ou pas) de leurs lobbies juifs domestiques, donnent le frisson. Le fait que le livre du Deutéronome prenne vie dans un État doté d’un arsenal nucléaire serait suffisant pour donner à réfléchir à quiconque n’est pas soumis par l’argent ou la corruption – qui de nos jours englobe le gouvernement des États-Unis, compte tenu de l’inclination d’Israël à lancer de la boue dans le visage de l’administration Obama et compte tenu de l’inclination visible Obama à accepter cela avec le sourire, l’ « Oncle Tom » de Bibi Netanyahou vient à Washington.
Feu le général Moshe Dayan, qui – sionistes ou pas – fait partie de mon propre Panthéon honorifique des héros militaires, aurait apparemment fait remarquer que la sécurité d’Israël dépend du fait qu’elle soit perçu par autrui comme un chien enragé. Il avait sans doute raison. Mais il a négligé de noter que la réponse préférée de tout le monde est de tuer ce chien enragé avant qu’il puisse décider de se déchaîner et de mordre. Il s’agit d’une option à considérer. »